Parfois mon regard se perd sur le grain de ta peau, sur les rides de ton visage. Je suis sous le charme délicat de celles-ci. Elles me rappellent les temps heureux que nous avons eues, tant est si bien (tenté si bien – temps est si bien) que j’ai envie de mettre vie en ces rides par mes larmes, pour en faire des rivières d’eau douce de mers… pour ainsi te dire que je ne vois dans ces lignes de vies passées ensemble qu’un monde uni par nous deux.