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 /L'UTILISATEUR DEVRA DESCENDRE LE TEXTE PAR LUI-MÊME AVEC L'AIDE DE SA SOURIS ////>
FIN DE L'AVERTISSEMENT .. . . . />

 TOUS CES TEXTES VIENNENT D'UN FORMAT DE TEXTE ASCII, SI DES CARACTÈRES SEMBLENT ÉTRANGES CELÀ EST DÛ À CE FORMAT LÀ.
MERCI DE VOTRE COMPRÉHENSION

CES TEXTES DATENT DE 1987 À 1992 ET N'ÉTANT ALORS AGÉ QUE DE 12 à 16-17 ANS ILS SONT DONC NON-CORRIGÉS, AVEC FAUTES DE FRAPPE, DE FRANÇAIS...
ILS SONT BRUTS..., TELS QU'ILS ONT ÉTÉ ÉCRITS/TAPÉS...

 

>IMAGE ENGAGÉE

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FICHIER : 1

L ' I N F I N I I M A G I N A I R E

---------------------------- -------------------------------------

 

L'infini est une ligne droite précise transcendante à l'espace.Cet infini se

traduit en nous, comme une force immanente que l'on peut appeler le vide pur.

Au fur et à mesure que l'on vieillit ce vide pur, se transforme en vide.

Ce vide est chargé d'Emotions noires et rouges.Les émotions noires, qui

viennent progressivement, sont des taches sur un plafond blanc du couloir de

l'infini, elles sont faciles à voir.Les taches rouges sont inscrites dans le

vide pur et nous mènent directement à l'infini.Les noires sont enfermées et

nous mènent seulement à la folie.Il suffit, pour faire disparaitre le noir, de

bien nettoyer le plafond.La folie est d'anéantir petit à petit le Rouge grâce

au Noir, et de se retrouver enfermé dans une cage aux délimitations très

précises.

Je qualifie d'ange toute source métaphysique apportant une belle sensation

inconnue flottant entre deux sensations connues.L'amour est un Ange, il flotte

entre deux personnes qui se reconnaissent l'un envers l'autre.Il flotte entre

ces deux personnes.Ce qui peut prouver que deux personnes, ne sont que deux

sensations.Cet amour nous est inconnu.Quand cette belle sensation, nous

emmène avec elle, l'infini et le vide pur nous sourit.

Laissez-vous allez vers l'infini... L'INFINI IMAGINAIRE ...

 

P.S : (Dans ce qui va suivre le vide pur, le juste milieu, la beauté éternelle

sont les mêmes chose.)

 

 

 

FICHIER : 1

La vie est un amour perdu

Elle traverse le temps par amour perdu

on y prend gout à cet amour perdu

et peut-être, ainsi, on aime moins

Le naïf vient du passé.

 

Les gens heureux ne pleureront jamais des gens malheureux.

Ceux sont les gens malheureux qui pleurent des gens heureux.

Agréssion de 1+1=1, annulation de 2

La souffrance n'attend que les gens heureux et ils pleureront de leurs joies

d'antan et deviennent malheureux.

S'agenouiller devant le malheureux ne sera jamais une faute.

S'agenouiller devant le malheureux est une faiblesse du 1.

S'agenouiller devant les joies d'antan est une faute.

Ainsi vous découvrez la peur de l'amour.

Le contraire est une faute par elle-même car elle mène à la haine du

malheureux et à la haine du 1.

Le 1 est 2 dans le milieu de l'amour et le reste en vous 1.

3 finit par être 1 si 2 n'est pas trois.

L'infini est l'addition du milieu.

Si 1 est le malheureux, il n'est pas lui même, il est les autres chiffres,

on est dans le malheur des autres personnes par nous même, 1.

1 ainsi n'est donc pas 1, il est le milieu.

Tu te débats pour me sauver

Dans vos amours je me débat.

Tu te débats pour moi seul.

 

 

 

 

 

FICHIER : 2

Voici un chuchotement.Je le traduis ici :

 

 

Le regard des arbres

--------------------

 

 

Regardes, un humain.

Regardes, un animal.

Regardes, ils ne nous regardent pas.

Pourquoi ?

 

Il fait sombre et l'hiver est là.

Laissons tomber nos feuilles.

Regardes, il fait sombre et on nous voit encore moins.

 

Le printemps est là.Il fait clair.

Regardes les êtres ne nous regardent toujours pas.

Faisons pousser nos branches et nos fleurs pour eux.

Regardes, ils nous regardent.

 

Non, ils regardent nos fleurs.

Pourquoi pas nous ?

Personne ne nous regardent vraiment bien.

Nous sommes souvent un amour perdu.

 

Nous ne vivons ni dans votre présent, ni futur , ni passé.

Nous sommes lÖ pour vous, seulement pour vous.

Et pour vous dire notre amour perdu.

Le sentez-vous, s'il vous plait.

 

Sentez le parfum que l'on vous délivre.

Regardes, ils le sentent.

Mais ils ne nous voient toujours pas.

Vraiment.

 

 

 

 

 

FICHIER : 3

Le présent ne se mesure pas au passé,

Sinon le présent n'existe plus

Si le présent n'existe plus

Le futur est passé

Oó êtes-vous ?

Dans le passé,

Qui se conjugue au futur.

La vie devient passé,

Dés qu'elle se présente dans le futur.

Le présent est notre seul futur.

hélas, vous n'êtes nulle part.

Vous êtes, perdus.

Si le temps existait,

Nous ne serions pas ici

Nous les arbres.

Le temps existe seulement pour mourir,

Mais pas pour vivre.

Si vous utilisez le temps vous êtes mort.

 

Du vide pur est sortie l'infini imaginaire

De l'infini imaginaire est né l'intelligence

De l'intelligence est né la créativité

De la créativité est né l'objet

De l'objet est né notre monde

Notre monde se détourne du vide pur.

Il y retourne inconsciemment.

 

La petite chose qui n'est, peut-être, pas grande chose.

Je vais vous raconter une longue histoire sur cette petite chose

Enfin, longue, elle le restera dans votre tète

Cette chose va vous semblez une éternité

Comme une toute petite chose,

Elle va frapper à votre porte,

Vous demandez si elle peu rentrer

Et vous vous la laissez rentrer,

Le plus normalement possible,

Comme si vous ne la voyez pas

Et si cette chose commencé à vous hantez.

Vous n'avez jamais soupçonnez son existence.

Vous la découvrez en ne sachant jamais ce que c'est exactement.

Elle ne vous fait ni sensations ni émotions,

Mais vous frissonnez tout de même.

Cette toute petite chose.

Enfin, elle semble toute petite cette voix dans votre tête.

Elle ne vous semble pas très importante.

Pourtant elle vous hante belle et bien.

Et cette chose, c'est le vide pur camouflé.

On vient de se cogner sur la vitre de l'infinie

Clic-clac, je m'en vais,

Clac-clic, je reviens, ou l'inverse.

L'inverse fonctionne avec le même mot.

Elle commence à nous faire peur

Elle semble tant nous connaitre,

Alors que l'on ne sait même pas qui elle est.

Et on se recroqueville dans une coin qui n'existe pas.

Pourtant un jour elle reviendra nous voir et nous parlera ainsi:

 

"-Tu m'as manqué, où Etais-tu passé ? Oh, mais je le sais, tu souffre encore

de me voir.Alors ne reviens pas ici.Je ne veux pas te faire peur.Tu te

l'imagine, Cette peur.Je n'aime pas l'imagination dont tu souffres."

 

Et nous nous ne dirions rien, comme Ö notre habitude.Comme si elle nous

contrôle cette toute petite chose.Pour qui elle se prend cette petite chose.

Pour un être ? Oui.

 

"-Voici donc l'histoire des arbres.Ils finissent en expliquant que nous

vivons dans le rêve inachevé du vide pur.Car le vide pur rêve d'une

intelligence menant à un monde physique.Il est inachevé car la sorte

d'intelligence que vous avez, apporte un vide non pur.Le vide pur

rêve d'un être objet pensant l'amour perdu."

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : 4

Un homme sans bouche rentre par la porte de derriäre.Stingo se retourne et le

regarde.Cet homme parle encore, se dit Stingo.

Et l'homme sans bouche parle encore.Ou plutot il lit, car il tient trois

feuilles dans sa main gauche oó sont inscrit ce qu'il pense.

 

 

Le centre de la pensÇe(Le dessein prÇfabriquÇ)

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Ou:la belle sensation de se trouver bloquer dans l'infini de la pensÇe

 

J'ai connu des hommes ou des femmes qui m'ont fait douter de la pensÇe.Comme

je les regardais, meme hativement, je me rendais alors compte que leurs

pensÇes venaient Ö moi avant leur sortie de leur etre, avant qu'ils ne

parlent.Meme une simple et anodine phrase comme :"Pose ce truc par terre."

Cette parole ne m'Çtait pas destinÇe, plusieurs personnes Çtaient prÇsentes

sur les lieux.Il m'est meme arrivÇ qu'un ensemble de phrases me parraisse

familiäre avant leur venue au monde.Je pensais la pharse, elle sortait par la

bouche de l'autre sans que je puisse tout de meme la controler.(Le temps de

reflexion et d'accomplicement Çtant trop court me donne cette impr{ssion).

Existe-t-il un centre connu oó les pensÇes sortent pour venir Ö nous, pour

nous satisfaire, nous faire de la peine, et nous surprendre par leurs sens ?

Le lieu, l'exactitude de mon emplacement, de mon regard Çtaient, eux aussi

dÇjÖ dÇssinÇs et je les reconnaissais immÇdiatement, puis ils s'Çvanouissaient.

Cela ne m'effrayait pas, je trouvais celÖ träs amusant, d'une grande beautÇ

et meme mes yeux, surpris par l'Çclatement de la phrase, restaient figÇs par

la charmante surprise.

Je me suis trouvÇ "enfermÇ" dans un destin, mais qui, tout de meme, me

rÇvÇlait, une nouvelle fois l'infinitÇ des choses.L'emplacement exact de mon

corps pour recevoir cet infini Çtait surprenant.La chose Çtait resentie comme

Çtant enfermÇe dans l'infini.

L'exactitude des pensÇes de notre monde m'intrigue et me ravit quand je

m'imagine qu'elle sont dÇjÖ "programmÇes" (exactitude de la pensÇe, de

l'emplacement de notre corps dans l'espace du lieu, et du temps qui sort du

corps et qui rejoint sa vÇritable origine, le nÇant).

Oó est l'amour que j'ai pour les paroles des autres qui amänent cet infini ?

Ceci est le vide pur, l'infini car :

-Exactitude de l'emplacement.

-Etre l'autre (pensÇe)

-Amour de l'autre puisqu'etre vraiment l'autre (amour-propre concrÇtisÇ)

 

 

Le cercle et la ligne droite(Deux mondes soit-disant impossible Ö joindre).

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Le cercle est une segment dont le milieu, formant un point "hors" de ce

segment, nous intrigue plus qu'un autre et peut facilement nous attirer.Le

cercle semble ne mener nul part, il tourne en rond.La seul faáon de s'en

sortir est de devenir, prÇcisement, le point central (avec lequel le cercle

se rÇalise).On se retrouve alors enfermÇ.Le cercle est un enfer, une prison.

 

Le ligne droite est, et restera, la seule vÇritÇ d'une intersection d'un

autre monde.

 

Vue prÇcise de la ligne et vue imprÇcise de l'infini, sur le meme chemin.

 

La mort de la disparition, l'homme objet (La chose la plus noire)

-----------------------------------------------------------------

 

La seule chose qu'il faut retenir est: "Rien ne meurt vraiment dans l'infini,

qu'il soit imaginaire ou non."

 

Stingo crie et repäte plusieurs fois Ö la suite:"Je ne vous entend pas"

 

"-Je parle aussi fort que je le peux pourtant.Mr l'homme objet."

 

L'homme sans bouche sort de la chambre et retourne Ö l'arriäre de la maison."

 

 

Quand l'homme objet est assis sur une chaise.

---------------------------------------------

 

Je sais que ma chaise me dÇrange et que l'autre chaise Ö ma gauche m'appelle.

Quand je la regarde, je me demande qu'elle est la meilleure.Celle sur laquelle

je suis en ce moment ou celle que je fixe.Elle me manque l'autre chaise et

je ne sais pas si je ne vais pas aller la retrouver.A ce momet lÖ, je vais

surement me demander si celle que je vais quitter ne va pas me rappeler quand

je vais m'assoir sur l'autre.Et puis il faudra que je me läve et que je me

dirige vers l'autre.Et puis quand je vais etre sur le chemin de l'autre, que

va-t-il se passer ? Je vais etre perdu, je vais me retourner vers la d'oó je

viens, vers celle que j'ai quittÇ.Et c'est surement Ö cette endroit prÇcis,

lÖ oó je ne serais plus assis, que je vais me demander si je ne fais pas une

erreur.Alors je ne bouge pas, je reste sur ma chaise.L'autre continu Ö

m'appeler et je me sens tout de meme perdu.Peut-etre, aussi, que l'endroit oó

je ne serais pas assis va m'apporter la rÇponse ? Je me läve et je reste

debout.Je fixe les deux en tournant la tete rapidement vers les deux chaises.

Et lÖ je me rend compte que je ne sais rien sur ces chaises.Mais oó donc

est-ce que je suis entre les chaises ? Je ne trouve plus de rÇponse.Je

n'aurais pas du partir de ma chaise.Mais maintenant je sais trÇs bien que je

ne suis plus assis, je suis perdu.

 

La seule chose qui a changÇ, c'est la faáon dont je vois le noir quand je

ferme les yeux.

 

Les yeux clos.

--------------

La nuit des yeux n'existe pas, fermÇs et ouverts, ils vous procurent des

choses.Vous souvenez-vous de la faáon dont vous raisonniez il y a dix

annÇes passÇes.Vous rappelez vous du noir de vos yeux.A-t-il changÇ ?

Change-t-il face aux jours de vos paupiäres ? Est-il vos pensÇes ? Le

retrouvez-vous, pour vous Çchaper, quand vous ne pouvez plus regarder ?

Vous le regardez, il se fixe, vous attend, et il ne change pas.Le fluide de

l'oeil gauche fait apparaitre des tourbillons de lumiäre et des ombres des

paupiÇres ouvertes, ils se joignent au milieu.Il n'y a pas de gauche, ni de

droite, ni de haut, ni de bas, il n'y a qu'un milieu.Les ombres disparaissent et

les tourbillons persistent.

Pensez qu'il change et ne changera plus, car il se modifie pour ensuite

revenir enchanger.Ce noir est la seule chose qui vous appartie, personne ne

peut vous la prendre.Personne ne peut le changer.Vous souvenez-vous de vos

pensÇes, de la faáon dont elles arrivaient, il y a vingt ans.Ont-elles

changÇes par rapport Ö ce noir, qui n'en est pas un.Ce noir a-t-il changÇ vos

pensÇes ? Ou est-ce vos pensÇes qui ont changÇ votre vue sur ce noir ?

Ceux sont vos v{ritable yeux.Au milieu, je vois une lumiäre.Elle ne m'Çblouit

pas.Je distingue une forme, c'est un Ange.Il a changÇ le noir.Oh, je ne vois

pas ses ailes, elles ont ÇtÇ coupÇ.Je les ai coupÇ, je le sais, il me l'a

fait ressentir.Pourquoi me sourit-il ? Je lui ai fait du mal.Peut-etre que le

mal n'est pas permanent et qu'il ne souffre plus par ma faute.Il se rapproche.

Il faut que je retrouve ses ailes, il faut qu'il vole vers moi.

 

Stingo parle tout seul :

 

Fenätre lumineuse

-----------------

 

"J'ai remarquÇ que le jour venait de se lever.

Ma fenätre est restÇe trop longtemps fermÇe.

Cette fenetre possäde un petit trou,

Et une lumiäre s'en Çchappe.

J'entend le souffle et quelques fois le grondement du vent.

La lumiäre danse sur mon front,

Les branches des arbres d'en face,

Munies de leurs fleurs,

Font danser la lumiäre grace au vent.

Blanche, et verte de temps en temps,

Elle se balance sur le lit de ma chambre,

Et revient sur mon visage.

J'hÇsite Ö ouvrir ma fenätre entiärement,

Je la laisse juste entrouverte.

Je me rassois sur ma chaise.

Regardant les arbres se frotter les uns contre les autres,

J'apperáois une autre maison de l'autre cotÇ.

Je ne l'avais jamais vu auparavant.

Une pancarte avec le nom de la rue est accrochÇe contre la faáade :

"LA RUE DEPLACE."

Le vent souffle plus fort,

Me procurrant un frisson incontrolÇ.

Je monte ma vue vers une fenetre d'en face.

Elle aussi est entrouverte,

Comme si elle m'attendais depuis fort longtemps.

Trop longtemps.

Un souffle balaye mes cheveux vers l'arriäre me faissant reculer la tete.

Une femme dÇnudÇe se faufile devant la fenätre.

Le soleil montre sa splendeur qui aveugle les yeux,

Et mes yeux se remplissent de songes face Ö cette apparition furtive.

Je revois l'ange aux ailes coupÇs.

L'ange Çssaye d'attrapper ses ailes.

Elles sont par terre et se trÇmoussent,

Mais il n'y arrive pas.

Il se courbe le dos,

Tend sa main,

Mais n'y arrive toujours pas.

Montant son regard, il me fixe.

Son sourire n'Çclaire plus sa grace,

Son absence le rend triste et dÇseperÇ.

Je ferme les yeux,

Le noir est de nouveau changÇ,

Et je baisse la tete oubliant le souffle des arbres,

La lumiäre qui les rend si majestueux,

Et surtout la fenätre entrouverte d'en face."

 

Stingo se sent seul, il n'ose plus regarder la fenätre.Quelqu'un passe devant

sa fenätre.Cet homme frappe Ö l'aide de son poing sur le volet gauche.Stingo

lÇve son sourcil droit et laisse apparaitre un oeil noir.L'homme de dehors lui

parle :

 

"-Bonjour, on m'a dit qu'il fallait que je vienne vous voir.Je me prÇsente,

je m'apelle Jack RED.Et vous ? Vous vous appelez ..."

 

Stingo ne rÇpond pas Ö la question de cet homme tout vÇtu de rouge.

 

"-Mr Stingo BLACK, oui je le savais.Je peux rentrer.Je sais que je ne pourrais

plus sortir, mais l'on m'a dit de venir ici, dit l'homme habillÇ de rouge.

-Partez, je n'ai pas besoin de vous.

-Vous plaisantez, certainement.Je suis ici pour vous ouvrir les yeux."

 

 

Jack regarde Stingo en dÇshabillant du regard son costume noir.

 

"-LÖ-bas, ils disent que pour avoir la vue du milieu, il faut voir le

contraire des choses, puis revenir sur la vraie chose.Parait-il qu'elle peut,

alors, se changer en une trÇs belle chose ?

 

Jack demande timidement :

 

"-Je peux rentrer ?

-Non !! Partez, rÇpond sÇchement Stingo."

 

Jack baisse la tete et touche son pouce.Il se tourne vers la maison d'en

face :

 

"-Vous connaissez la femme qui habite en face.

-Non, partez.(Stingo parle moins fort)

-Moi, je la connais, elle s'apelle Annie.Elle vit avec une autre femme que je

ne connais pas.Mais vous devez la connaitre.Vous.

-Oui, je la connais.Elle s'apelle Lolita.Je viens de la rencontrer.

-Je peux rentrer.

-Oui, vous avez un fauteuil qui vous attend, je suppose.Juste Ö ma gauche."

 

Jack passe par la fenÇtre.Et vient s'installer Ö cotÇ de Stingo.

Ils ont chacun une fenÇtre.Celle de Stingo donne sur une vue de la fenÇtre

de Lolita mais un arbre la rend que träs peu visible.Stingo ne peut pas voir

l'autre fenÇtre celle d'Annie.Toujours @ cause de l'arbre.

Celle de Jack donne sur celle d'Annie.Jack a une chose en plus que Stingo, il

peut voir derriäre une mince branche la fenätre de Lolita.

 

"-Je ne vous connais pas depuis longtemps, mais je vous aime bien, dit Jack.

-Moi, je ne vous aime pas du tout."

 

Stingo dÇtourne son regard de Jack, attrape une feuille Ö sa droite et

griffone Ö tout vitesse ceci :

 

La petite conquÇte perdue de l'homme qui aime la vie.

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On dort pour oublier la nuit.

On dort pour oublier le jour.

On dort pour ne plus exister.

On dort pour ràver des autres,

On ràve pour sentir les autres.

On dort et on reste seul.

 

Il ne dormira plus.

Il veut exister le jour et la nuit.

Attention, il s'endort debout.

RÇvant des jours et des nuits oó il est les autres.

Il ràve d'une vie impossible.

Il se rÇveille de nouveau et ne voit plus son ràve.

Il a perdu la conquÇte de sa tendre vie,

Etre les autres, pour pouvoir aimer vraiment sa vie.

Il ressent le vide noir du monde.

 

Il tend Ö Jack le po}me.Il le lit et le lui redonne.Stingo le pose

dÇlicatement sur sa table et se läve pour fermer la fenätre de Jack.Un

Çclatement sonore vient de crÇer un recule de tete de la part de Jack.Stingo

se rassoit.Jack demande Ö Stingo :

 

"-Que me voulez-vous ?

-Je ne sais pas, c'est vous qui àtes venu ici."

 

Jack baisse la tàte :

 

"-Je ne vous aime plus, partez.

-Partir, je viens juste d'arriver chez-vous.Cela n'est pas drole."

 

Un rictus se dÇgage de Stingo et irrite Jack.

 

"-Je ne vous aime plus, je viens de vous le dire.Partez, ou, peut-etre

voulez-vous vous battre ?

-Se battre ? Quelle charmante idÇe.Cette idÇe mÇttait dÇjÖ venu mais

j'attendais.On va se battre.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : ABSTRAIT

Texte abstrait

--------------

 

La vie est un rêve qui m'éclaire,

Je vois alors ton visage,

Le noir est si rouge,

Et avec ce soleil qui l'illumine,

J'ai la sensation d'y tomber

Avec des engins de mort,

Qui me regarde,

Quand je souffle sur ton front.

 

Les insectes grouillent autour de moi,

Ma bouche tremble et transpire.

Leurs antennes ont des frisons de chaleur,

Le papier est si froid

Que j'ai du mal a lire et a écrire ces mots.

L'invisible se rapproche,je le regarde.

Il me touche.

Il me frôle.

Il rêve de moi et de ces insectes.

Je pense a moi...

 

 

 

 

 

 

FICHIER : ALLUMETT.E

Pourquoi avoir {parpiller le paquet sur le chemin

 

Ne pas l'avoir jeter en entier ?

 

Tout au long du chemin, je le ramasse morceau par morceau

 

Quant au bout j'arrive enfin,

 

Je vois le paquet en entier,

 

Dans le creux de ma main.

 

Je le rafistole rapidement.

 

Le paquet ne sert @ rien sans allumettes.

 

L'ouvrant je la trouve cette allumette.

 

Je ne suis pas certain qu'elle s'allume

 

Car elle est peut-etre l{gerement mouill{e.

 

Elle produira de la fum{e sans feu.

 

Le grattoire m'aurait amplement suffit

 

Oh Non !! Car sans boite pas d'allumette.

 

Qui a d{chir{ le paquet ?

 

Qui va l'allum{ ?

 

Il n'y a que moi.

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : AMNESIE

Quand je t'ai d{couvert

j'ai {t{ absorb{

Alors pour m'en ddfaire,

je me suis en all{ dans l'amn{sie,

je suis partit calmement et innocement

Mais j'ai decouvet quelque chose

dans l'amn{sie je t'ai retrouv{

plus brillante que jamais,

@ la place o| je t'ai toujours souuhait avant de m'en aller

dans l'amn{sie nous nous trouvons ensemble

Et par l'amn{sie nous serons rassemble

Car nous sommes tous des amn{siques.

L'amn{sie dont nous essayons de sortit @ rassembl{

Le coeur de tout hommes et de tout naviguant

Elle contient, peut-etre le savez dj@,

Elle contient la v{rit{ et la cr{ation de l'amour.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : ATMOSPHE.RE

Les reves sont des mesages

(Atmosphere)

 

 

Quand vous etes seul dans une piece et qu'une personne rentre.Vous la regardez

Quelque chose passe d'elle en vous.Cela creer des sensation.Comme une

graine qui grandit au fond de vous.Votre esprit la changeait en cela.

Cette sensation semplifie et toute la piece est envahit par une atmosphere

egale a cette personne.Son monde a prit place et petit a petit va se joindre

au votre.Seul La personne va semblait au debut etre englobe dans cette atmospher

puis elle va vous atteindre.Comme si vous apprenez a connaitre cette personne

Si elle parlait cela n'accentuerai pas la chose.Seul son ame ou son esprit

peu le faire.

Quand vous etes triste, un atmosphere envahit la salle et un monde nouveau

s'ouvre a vous.De meme quand vous etes gai ou amoureux ou tout autre chose.

Ces sensations vous creez votre monde."La vie n'est que des sensation".

Les reves en sont aussi.Alors ils sont obliges de nous apporter que des

mesage qui nous apprennent a vivre.Parait-il qu'on devient fou quant on ne

dort plus et qu'on ne reve plus.Parlons de l'amour maintenant.

La femme de vos reve est celle qui vous apporter la meme sensation que

vous avez de votre monde.Elle se complete a vous en etant egale qu'a vous.

L'homme est tellement instable a cause de ses sensation qu'il recherche la

sienne pour etre bien et pour parvenir au Nirvana.

Et cela me fait rire quant une femme dit:

"Atmosphere,Atmosphere.Est-ce que j'ai une geule d'atmosphere?"

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : AMOUR

"Il existe trois sorte d'amour rouge :

-l'Amour inteligent, liant le vide qui nous hante et le monde exterieur.

-L'amour perdue qui est le cote noir du couple(Mechancete, haine, impatience

vis @ vis de l'autre, le non-respect, l'ignorance...)se transformant en cote

rouge(inverse), si il est attrape.

-Le petit amour, le sex qui si il se lie au Grand Amour intelligent et a

l'amour perdue est leur des plus beau, surtout si il conduit @ la naissance

d'un autre monde.Sinon, il est minime et {goiste.

J'esp}re que cette histoire vous a ouvert les yeux et qu'enfin vous pourrait

pleurer de la tristesse des autres, de tous les autres de notre monde.Et enfin

vous le verez differement, vous verez enfin autre chose.

Etre rempli des 3 amours, etre libre dans sa tete(le vide pur), et enfin

vivre.Le pass{ nous a fait vieillir, le futur devrait nous faire rajeunir,

cette pharse restera toujours au pr{sent."

 

Damien ANRES.

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : ANIJACK

Annie retrouva Jack quelque part dans l'immensit{ du cosmos.

 

"-Jack.

-Oui.

-O| {tais-tu ? Je t'ai cherch{ dans tout l'univers.

-Je m'{tais cach{.

 

Il s'arrete et reprend timidement.

 

"-Excuses-moi.

-O| est Stingo ?

-Il est en moi.La mort est en moi.

-Lolita est l@ aussi @ moins que ce ne soit Stingo.Es-tu Jack ?

-Peut-etre Lolita est moi."

 

Jack ne dit rien.

 

"-Que vas-t-on devenir ?

-Je vais me transformer @ un soleil, j'ai {t{ noir durant toute ma vie.Je

veux juste t'{clair{ maintenant.

-Et moi ?

 

Un flash se produit et des explosions dans toutes les galaxies interviennent.

 

"-Je m'{loigne de toi.

-Ne crainds rien, je te retrouver dans une autre galaxie.

 

Un silence s'incrusta et une voix gr{silleuse dit :

 

"-Votre amour sera perp{tuelle et {ternelle et votre son se perdra dans

l'infini."

 

Sur la plan}te Annie-Jack-Lolita-Stingo(C'est un peu long, je vais plutot dire

N{buleuse)Sur la plan}te N{buleuse, un petit enfant d{nom{ petit Jack est

assis sur son lit d'enfant.

La tete baiss{e, sa pens{e s'arr}te, un souffle tourbillon dans le noir de ses

yeux, ce souffle se transforme en musique.(Peut-etre la cause de cette musique

est la radio {tteinte @ cot{ de lui.)

Un etre est debout dans la p{nombre juste @ sa gauche, il regarde dans

l'obscurit{ un {cran oblique plac{ au milieu.Des images se gr{ffent sur

l'{cran.Un chahut de pens{e qui fussent cr{e ces images.

Cet {cran, d{s que la r{unification des pens{es ont {t{ faites, laisse place

@ un autre {cran.Cel@ va plus vite, beaucoup plus vite.Un autre {cran, plus

vite, plus vite, il revoit sa naissance et le sourire affaiblit de sa m}re,

il la voit mourir, un autre {cran.Toute sa courte vie passe devant cet {cran

et l'etre de l'obscurit{ dit :

 

"-Dans un hotel est la vie.Avec quoi payes-tu pour y rentrer ?"

 

Petit Jack tombe.Il ouvre ses yeux et fonce hors de la maison pour aller

retrouver un petite fille dont parlait Aphrodite.Alors que la nuit {tait tomb{

ces deux Petits se retrouv}rent sur le seuil de la maison de Petite Lolita.

Jack tapa @ la porte d{licatement, il se recule regardant le ciel, il voit des

milliers d'{toiles, il voit la lumi}re de la chambre de Lolita s'allumer,

il attend des bruits de pas, il se pr{pare @ la recevoir.Elle ouvre la porte.

 

"-Tu te souviens de moi ?

-Oui, bien sur.

-Tu te souviens de moi avec quels pr{jug{s ?

-Je ne comprends pas exactement.

-On ne se connait meme pas, on se fait des pr{jug{s.

-Tu te moques de moi.

-Pourquoi on s'aime ?

-On est peut-etre tomb{ tous les deux dans la meme amn{sie.

-Est-ce que tu pleureras @ mon ent}rrement.

-Oui (une larme coule lentement sur la joue droite de petite Lolita.)

-Alors, je pleurerais juste pour l'instant o| je t'aurais quitt{ de la vue.

-Tout ceux qui ne seront pas des arbres, deviendront des arbres.Tout ceux

qui sont des arbres, ne seront pas des arbres.Je viens d'entendre |a @ la

radio.

-Tu n'aurais pas un verre d'eau, j'ai beaucoup courru et je suis un peu

{puis{.

-Si, entres."

 

Petit Jack, avant de rentrer, regarde le paillasson qui jonche le seuil.Il

porte une inscription :

 

-N'oubliez pas de vous n{ttoyer le paillasson quand vous sortirez de l'hotel."

 

Jack entre et se retourne en regardant sa main.Une larme coule lentement sur

sa main droite.Il la j}te et l'envoit dans l'Oc}an qui s'arr}te alors qu'une

vague aller frapper la plage.Un "AH" langoureu et doux r{sonne tel la suavit{

d'un air doux, la plan}te n{buleuse explose.Les moindres petits m{torites

flottantes de cette plan}tes disparaissent laissant la place au vide pur.

Dans ce vide pur, une ligne droite jaune transper\e et bouge dans tout les

sens.Sa vitesse acc{l}re, et elle finit par occuper toute la place.

Dans ce jaune le couloir de l'infini se montre, avec tout les divins,

et toutes les personnes qui disparaissent en eux.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : AP

Discour entre aphrodite et venus.L@ o| se situe l'ange qui r{colte l'amour

perdu.L'ange d'aphrodite et de venus (coupe ailes)

 

Quand je vous dit que mon Nirvana @ moi serait d'avoir un homme de mes r}ves.

Mais que cette homme serait un arbre.Vous me demandez Pourquoi un arbre.

Tout simplement parceque cet arbre se trouverait dan mon jardin particulier.

Chaque jours je viendrais la voir, voir comme cette belle plante cer{brale

pousse, si de nouvelle feuilles vielles sont pr}tent @ tomber.Prenant un

baton, je l'ai fait tombe d'un seul coup.

Si cette arbre me parler, je lui dirais :

 

-Je ferais tout ce que tu veux, je deviendrais ton eau, ton aliment, je me

ferai manger par toi.Je devriendrai un soleil pour toi.Je te laisserai libre

de voir ce soleil dans toutes les possitions que tu le souhaites. Je veux ta

beaut{.Cette beaut{ je te la rendrais l'heure venue.Je partirai du soleil, de

l'eau pour entrer en toi et je pourrais enfin t'explorer.Explorer tes

richesses de mon soleil et de mes eaux.Mais ce n'est que mon eau et mon soleil

que j'explore.

Oui, car l'arbre est moi, mais la graine qui la fait grandir est toi et je ne

peu rien en changeais.Je pars, je m'en vais.

Le jours o| les gouttes de pluies tomberont tu appeleras de nouveau mon soleil

AHH, AHH !! J'ai peur de l'espace de l'amour perdu.Regardes un faux soleil

reviens, les oiseaux se perchent dans des pu{riles mani}res.Tes branches de

mes supports s'affaissent tel un saule pleureur.AH, AH Reviens !!

J'ai d{sert{ ton jardin, et regardes des oiseaux mal{fiques, des mauvaises

herbes, un faux soleil te recouvrent.

Je l'ai transper\e, je laisserai la graine qui est ton esprit et je batirai

des arbres autour de toi.Le nouveau jardin, plus beau, remplis de gouttes de

pluies se soul}vent.

Des arbres suivant ton imagination fleuriront autour et @ l'interieur de nous.

Le faux soleil deviendrait vrai de nouveau.On engendrerait une vraie for}t

vierge.Et la libert{ nous comblera, par le primitif soleil, la primitime eau

de mes d{sirs.On sortirait des arbres pour s'arracher de l'eau et rejoindre

le soleil qui est notre amour perdu.Celui qui a fait veritablement grandir le

graine.

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : APH

Attis ou atys :Divinit{ de fertilit{.Aim{ de cyb}le, il repousse ses avances.

Identifie au Dieu Adonis.Il est frapp{ de la folie amoureuse de Cyb}le et se

mutile.

 

Ar}s : fils de Zeus et d'H{ra.Cruel, taille {norme et voix forte.Dieu grc de

la geurre.

 

Aphrodite: fille de Zeus et Dion{.Amant d'Ar}s dont elle a 3 fils Eros,

Harmonie, et Anteros.Idyle avec Adonis.De Dionysos elle a Priape.D'hermes elle

a Hermaphrodite.Idyle avec le berger mortel, Anchise, elle a En{e.

 

Ant{ros :Amour r{ciproque.

 

Harmonie :Fille d'Ar{s et d'Aphrodite, {pouse de Cadmos.Les cadeaux divins

firent le malheur @ leur descandants.

 

Eros :Idylle avec Psych{.Il passa pour la divinit{ de l'amour.Enfant ail{s qui

bl}sse le coeur des gens.

 

Diom}de : perce la main d'aphrodite lors d'un combat, celle-ci prend la fuite.

Combattant invisible d'Ulysse, il blessa aussi Ar}s.

 

Ulysse :

 

Adonis :Divinit{ grecque d'origine ph{nicienne repr{sentant le male de la

reproduction.Jeune homme d'un grande beaut{ aim{ d'Aphrodite, fut tu{ par Zeus

puis r{ssucit{ car invoqu{ par la derni}re, il lui permis de passer une partie

de l'ann{e sur terre et l'autre en Enfer pr{s de Pers{phone.Il devient alors

le symbole de la vie et de la nature.

 

En{e :Fils d'Anchise et d'Aphrodite.

 

Anchise :Beger l{gend}re de Troie, amant d'Aphrodite qui lui donne, En{e.Ayant

commis l'indiscr{tion de parler de cette union, il est puni par Zeus qui le

rend boiteux( ou aveugle) d'un coup de foudre.Lors du sac de Trois, il est

sauv{ par son fils.

 

Priape :Dieu de la f{condit{, pr{pos{ surtout @ la garde des vignobles et des

vergers.Fils de Dionysos et d'Aphrodite, n{ avec un membre viril d{mesur{, il

est abandon{ par sa m}re pres d'un lac.On le repr{sente comme un personnage

ithyphalique, souvent en compagnie d'un Ane.

 

Hermes :Fondateur de toute les sciences, Dieu grec m{ssager de l'olympe.Il

echange sa flutte contre un caduce qui devient un de ses attributs.

 

Hermaphrodite :Fils d'Herm}s et d'Aphrodite auxquels il doit son nom.Rare

adolescent d'un grande beaut{, il repousse les avances d'un Nymphe.Celle-ci

l'enlace et s'unit @ lui, la pri}re des nymphes fut exocer et ils form}rent

une seule et meme personne.

 

Zeus :Zeus est essentiellement le dieu de la lumi}re celeste.Il domine les

ph{nomene physique de la terre.Il est le nouveaux-n{ de Cronos et Rh{a.

Cronos avalait ses enfants nouveaux-n{s.A suivre.

 

Dion{ :M}re d'Aphrodite qu'elle au de Zeus.

 

H{ra :D{esse, fille de Cronos et de Rh{a.Troisi}me et derni}re {pouse de Zeus.

Zeus est son frere dont elle a eu Illithye, H{b{ et H{phaistos.Protrectrice du

mariage et des femmes mari{.Elle est souvent repr{sent{ sous les traits d'une

{pouse quer{lleuse et jalouse.Elle se venge des infid}lites de son divin mari

en pers{cutant ses complices et ses enfants adult{rins.Elle suscite pourtant

quelques fois la jalousie de Zeus.Offens{ du jugement de Paris qui lui pr{f}re

Aphrodite, elle secourt les Grecs et contribu au sac de Troie.M{contente d'un

jugement de Tir{sias, elle le frappe de c{cit{.

 

H{racl}s :

 

Ant{e : nom d'un g{eant fils de Pos{idon et de Gaia( la Terre).H{racl}s

l'{touffa en le maintenant en l'air.Ant{e reprene force @ chaque fois qu'il

touchait terre.

 

Gaia :

 

Pos{idon :

 

Dionysos :Dieu grec de la vigne, du vin et du d{lire extatique, appel{ aussi

Bacchus.

 

Pers{phone :

 

Cronos :

 

Rh{a :

 

Illithye :

 

H{b{ :

 

Paris :

 

Tir{sias :

 

 

 

FICHIER : APHRODIT.E

Avant quand j'{t{ l@, j'entendais les gens parler.Je l'ai entend{ quelques

fois comme \a:

 

-Je parle d'une petite voix, moi elle est comme \a.Et je suis bien ici a

{couter les grandes voix, mais moi petite elle m'{crase.

-Moi J'AIME PARLER FORT, dit la grande voix.ET JE NE T'ECOUTE PAS SOUVENT TOI

PETITE VOIX.

 

Alors moi je suis all{ au milieu, juste entre elle et je disais(Aphrodite

assise, ange d'amour perdu :

 

-Moi voix du milieu, j'aime entendre parler la grande voix.D'en haut elle me

parle, de tout, de rien, de rien et puis un peu de tout aussi.Mais sa voix

je l'entend qui baisse de tonalit{, elle se fait plus petite la voix dans haut

quand elle vient me voir.Quand a celle du bas, elle s'agrandit, grandit.Lui

il me parle de rien, de rien, de tout aussi.

Sa tonalit{ monte vers moi.Et cel@ me fait bouger dans tout les sens.

Pourquoi ?

parcequ'elle me susure du vent dans les oreilles.Oh qu'il me fait frisson{ ce

vent.

Mais je n'oublie pas qu'il ne m'appartient pas ce vent, alors je vous le donne.

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : BASHAUT

L A V I E D E S T I N G O B L A C K S E L O N L' A N G E

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"D'APRES LA VIE HEUREUSE D'UN CERTAIN JACK RED",STINGO BLACK ECRIVAIT DES

POEMES.SON ANGE, QUI LES A TROUVE NOUS LES A AIMABLEMENT APPORTER.

 

LES VOICIS :

 

Amour chaud

-----------

 

Vous avez chaud.

Marchant dans la rue,

Vous croisez une femme.

Vous aviez chaud.

Vous vous retournez

Vous courez la rejoindre

Elle vous a {chapp{

Vous avez de nouveau chaud.

 

Vous vous battez.

Quelqu'un vous harc}le

Rien n'est plus pr{cieux,

Que ce combat.

Vous ne voyez rien autour de vous,

Vous ne voyez plus qu'une personne que vous n'aimez pas.

Une peur de l'amour ?

Et vous avez chaud.

 

N'etes vous pas la tentation la plus dure, vous femmes ?

 

Vous ?

Aux sourires ang{liques

Et aux visages aux yeux ferm{s

De la douleur de mettre au monde

Une {toile de votre homme.

Petite {toile, petit enfant,

Qui viendra vous voir

pour vous rendre votre sourire.

L'appr{cierez vous pour toute votre vie,

ce sourire ?

 

Et vous ?

Hommes, appr{cierez vous toute votre vie,

Ces deux sourires ?

 

Ou avez-vous tous chaud ?

 

 

 

 

 

 

 

Petit po}me {trange sur les sens(6):

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Les yeux de l'imagination.

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Les yeux, paupi}res du visible

Les mains, palper le visible

Le gout, appr{cier le visible

L'odeur, senteur du visible

Ecoutez...

Ecoutez ceci: "FOUTEZ LE CAMP, petits SENS !!!"

 

Concentrez-vous,

Fermez les yeux,

Ne sentez plus,

N'{coutez plus,

Ne tournez plus votre langue dans votre bouche,

Ne touchez plus rien.

Rien, cerveau imaginaire

S{paration des parties du visible et de l'invisible

Revenez, maintenant Sensations !!

 

Sachez toucher l'invisible

Voyez l'invisible

N'ayez plus peur d'appr{cier

Ecoutez-moi, je ne parle qu'@ vous

Et enfin pouvoir, maintenant, ressentir l'invisible

Ouvrir de nouveau les yeux et voir au milieu

 

Voyez plus et moins, voyez stabilit{

Montez plus haut, voyez moins grand le bas

Montez moins haut, voyez plus grand le haut

Restez au milieu, voyez le soit-disant byzarre

 

Tombez de haut, tombez encore plus bas

Tombez du plus bas, ne tombez pas du plus haut

Surtout flottez au milieu

 

Montez plus haut

Descendez encore plus bas que le haut

Restez au milieu, regardez le haut et le bas

 

Je flotte au milieu, et tout me parait bizarre, rien n'a de haut et de bas,

tout est plat.Je ne tourne plus en rond.Je voudrais rester ici et ne plus

bouger vers les deux extr{mit{s.Flottez dans mon univers imaginaire, dans les

yeux de l'imaginaire.

 

 

Petite explication sur les yeux de l'imaginaire.Quand vous imaginez une chose

que vous voulez concr{tisez, le monde exterieur s'{vapore.Vous etes seul,

flottant, sur la chose imaginaire.Plus rien n'existe sauf cette chose.Mais vos

sensations du monde ext}rieur sont toujours l@ et vous guide vers cette chose,

d'une fa\on pr{cise;si elle n'est pas pr{cise, vous ne flottez plus vers la

chose.Pour pouvoir bien flotter et se concentrer sur la chose, il faut savoir

regarder le haut et le bas de cette sensation que vous apporte la chose.Rester

au milieu et flottez.Car si vous etes en haut, la sensation sera trop forte et

il vous semblera que vous tombez encore plus bas que le bas de la sensation.

Elle parait disparaitre et vous vous sentirez perdu.Si vous etes en bas, vous

regardez la sensation et vous vous dites:"Je n'arriverai jamais jusqu'en haut

de cette sensation (de la chose) et vous ne flottez plus.

 

Le seul moyen de voir le haut et le bas de la sensation et de rester au

milieu.De flotter et de r{cup{rer le haut et le bas de la sensation.

 

Bas = petite sensation de la chose.

Haut = trop grande et trop puissante sensation de la chose qui peut amener la

chose @ vous hanter (Ne plus avoir l'impr{ssion que la sensation est l@,

celle-ci est toujours en vous et peut venir vous effrayer si elle est noire et

vous plongerez).

On peut appeler \a palper l'invisible, le voir, le sentir, l'{couter et gouter

l'invisble.Voici donc les yeux de l'imagination.

 

Il existe d'autres et d'inombrables yeux :

 

-Les yeux de l'Odorat, les yeux de l'Ouie, les yeux du Gout, les yeux Noir,

les yeux Rouge, les yeux de la Parole, les yeux Ferm{ et encore beaucoup

d'autres, une infinit{;Le seul @ les avoir tous, et @ la perfection et...

Oh, voici notre Dieu, le juste milieu, l'infini. (Voir chapitre infini)

Notre Dieu est le gigantesque des yeux nous regardant @ travers une vitre.

Enfin...Je peux l'imaginer comme {tant cel@, notre Dieu.

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : DR5

COMBAT A COUP DE POEMES DANS LE VIDE.
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Jack prend le stylo pos{ sur sa table et {crit lentement et surement un
nouveau po}me.Stingo d{shabille du regard Lolita qui vient du lui apparaitre
@ sa fen}tre.Il tourne les yeux rapidement, seulement de temps en temps, vers
Jack.Jack fini son po}me et le tend @ Stingo.

Le Miroir qui vieillit le Clown.

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Qui es-tu de l'autre cote ?

C'est un clown qui se regarde dans un miroir

Jeu de vilain, jeu de se voir.

Qui regarde qui,

L'ombre cr{e par le miroir

Ou le clown qui se refl}te dans le miroir ?

Ce clown ne sait pas qui croire.

Monde invers{.Monde du reflet des yeux.

Oui, ce ne sont que ses yeux qui regardent le miroir.

Il a une fascination de voir le miroir parfait.

Ses yeux le voient comme {tant parfait,

L'est-il vraiment ?

Triche-t-il avec les yeux du clown ?

Veut-il lui ressembler ?

Ou n'est-il rien d'autre que le monde qu'il se fait de lui ?

Il regarde ses yeux.

Le miroir les regarde,

Les lui vole.

Ils ne sont plus @ toi,

Regarde les, ils sont en moi.

Le clown a quarante ans,

Il veut avoir des yeux d'enfant

Non !!

Le miroir regarde, prend, vol, mais...

Ne rend rien.

Tournant le dos au miroir,

Le clown s'int{rroge :

"O| met-il les choses qu'il vole,

Pour que je les reprenne ?"

Il se retourne,

Et le miroir est toujours referm{ sur lui.

Il se rapproche de son reflet,

Le regardant,

Il s'aper\oit que coule lentement une larme de son oeil gauche

Se touchant ses cernes,

Il ne sent et n'efface aucune larme.

O| est cette larme ?

 

 

Les anges (L'autre).

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Volatiles ang{liques,

Envolez-vous et battez des ailes.

Faites des remous dans les airs.

Vents qui m'{meuent.Vents qui me transpercent.

Souffle qui me frole le visage.

Sourire qui s'en d{gage gracieusement.

Vous etes la couverture qui me chauffe le coeur.

Jours rouges passes et je tr{passe dans les jours noirs.

Enfermement, vents glacials, vents des t{n}bres.

Sensations diaboliques, mauvaises sensations de l'espace.

Elargissement des yeux noirs et sifflement d'airs sales.

Je m'accroche, vous m'{cartelez,

Et me tirez par chaque partie de mon corps vers les tr{fonds de mon coeur.

Poussant l'ange rouge dans les roses, vous me criez dans les oreilles.

"Tu es mauvais, ta place est parmi nous.D{mon rouge."

Je vous renie.

Et je porte les roses impr{gn{es de rouge pur vers les t{n}bres.

Esp{rant vous voir disparaitre.Les roses sont vos crucifix.

Vampires, j'ouvre ma fen}tre et vous transperce de ma lumi}re.

Jour rouge revient me voir et l'ange rouge me sourit @ nouveau.

Me disant simplement :

"Je suis content de te revoir."

Et m'emporte vers l'infini, o| je ne revoir plus l'autre.

 

 

 

Petit po}me sur "jeu de mots" @ la fin noire.

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Seulement songe.

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Seulement une pens{e, la jeunesse physique

et on le reste.

Seulement une action, vouloir aimer

et on aime.

Seulement un pas vers moi,

et vous le faites.

Seulement une pens{e, la confiance des autres

Et on l'obtient

Seulement une action, vouloir donner

et on l'aportter

seulement un pas vers moi,

et vous le faites

Seulement une pens{e, celle des autres

et on le pense

Seulement une action, recevoir des autres

et on est tendre envers l'autre

Seulement un pas vers moi,

et vous le faites.

Seul et ne ment qu'envers rien

Et ce n'est qu'absolument songe.

 

 

Tableau de nature sauvage, tableau de nature morte

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La neige effeure ses poils

L'ours s'assoit fatiguer de cette poursuite

Il penche sa gueule,

Regarde la neige qui l'{ssoufle par son froid

Ses yeux sont d{sep{r{s face @ ses deux hyenes.

Elles sortent leurs crocs d{goulinant de bave

L'entourent pour qu'il n'{ssaye pas de s'{chapper.

Ses pattes l'abandonnent et l'ours se couche sur le dos,

Il ne sent plus le froid de la neige et fixe le ciel gris.

Chacun de ses haletements produit un souffle remplit de souffrance.

Souffrance physique, esp{rance d'ach}vement.

Les hyenes ne bougent pas,

Elles le regardent retroussant leurs queues sur leurs vert}bres.

Les quatre pattes bien implant{es, elles commencent @ aboyer de rage.

"Releves-toi en est leur signification."

L'ours reste couch{ facilitant sa respirantion

Il reprend des forces.

Ses yeux divaguent,

Les hy}nes le regardent intrigu{

Elles reculent, toujours leurs crocs ass{r{s par la faim

L'ours fait craqu{ ses pattes, les hyenes se rapproche de nouveau

Il se l}ve et envoit deux coup de pattes ,

Tuant les hyenes par n{ss{cit{ de survie.

Ne vender pas la peau de l'ours avant de le tuer.

 

Le mensonge {rron{ ?

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Attention je ne parle pas de moi.Je d{pend de vous.Je ne veux pas m'{coutes

parler.Je vous dit \a, comme j'aurais pu vous dire l'inverse.

Je parle de d{pendance, je ne dirais pas que je ne pense pas @ l'ind{pandance.

Je vous parle mais je peux vous soumettre aussi l'inversion des mots.

Je vais m'arr{te en continuant de dire l'inverse de mes paroles qui sont

souvent soumise @ la d{pendance des choses.Quand je m'arreterai, vous

continuerai @ me gager que je ne le peux pas, par cause de d{pendance de la

parole et peut-etre de l'ind{pandance de mon etre, j'y pense fortement.Je

m'arrete pour reprendre mon souffle, je ne le fais pas, je n'y arrive pas.Je

m'arrete pour mieux vous dire que je ne continuerai qu'apr{s vous dire ma

d{pendance.Je stopperai une fois que je n'aurais pas fini ou peut etre fini

quand vous serez perdu de ne plus m'entendre.M'entendez-vous continuer, je ne

parle pas s{rieusement.Non, je ne continue pas.Puis je continu.

 

 

 

FICHIER : BEAUTE

A chaque sensations, a chaque pens{es, a chaque geste, a chaque instant

de votre vie, que vous aimez ou que vous n'aimiez pas, un amour est perdu.

Cet amour perdu est une beaut{ {ternelle.

 

 

 

 

 

FICHIER : BL

La vie de la disparition.

 

Les mains regroupe{s entre ses genoux, la tete baiss{e, les {paules ress{r{es,

Mr Black se fait tout petit.Assis sur la terrible chaise en bois.Il a

peur, toujours peur.La pi}ce est vide et tr{s pittoresque par sa petitesse.

Un trou dans le mur lui fait atterit une lumi}re sur le crane.Juste @ son

milieu.Ce Monsieur a les yeux constament ferm}s.Il contemple son noir.Et il a

peur de lui meme;frisonnant et tremblant, sa tete bouge @ chaque instant.

Pourquoi n'ouvre-t-il pas les yeux ?

Il parle doucement :

 

"-J'ai une terrible sensation.Cette sensation est celle d'un amour perdu.

Pourquoi ne l'ai-je pas senti plus tot ?

 

Il soul}ve calmement ses paupi}res ,regarde ses pieds et appe\oit des ailes.

Sont-elles l@ depuis longtemps ? Elles se tortillent toujours ses ailes.

Il l}ve encore un peu plus la tete.Par le trou du mur, il appercoit les

{paules de Jack.Il voit l'autre pi}ce.Il voit ,par dessus les {paules, la

fen}tre entrouverte.Par del} la fen}tre, les arbres et la maison de Lolita.Il

voit une femme juste derri}re Lolita, qu'il a d{j@ rencontrer et hait, Annie.

Toutes les deux.

 

"-Toujours et encore la sensation."

 

La lumi}re lui emp}che d'ouvrir les yeux enti}rement.Mais il finit par s'y

habituer.Et l'ange sort de la lumi}re entour{ de noir.

 

"-Donnez-moi mes ailes, dit l'ange triste."

 

Le Mr s'{tire puis se soul}ve en posant les mains sur les coins de sa chaise

pour ensuite s'agenouiller et ramasser les ailes.Elles bougent dans ses mains.

Les tendant, il revoit la lumi}re et l'ange.Il les lui donne.L'ange laisse

tomber sa tete en arri}re puis change son visage.Il passe de la tristesse @ la

joie.Tete toujours en arri}re, elle bouge de droite @ gauche et se stabilise

doucement, droite et juste au milieu.Mr ne voit plus que l'ange.Et il sentira

l'amour qu'il a perdu toute sa vie.L'amour perdu apporter par l'ange.L'ange

cache le trou du mur, mais Mr Black aime l'ange.Il l'aimera toute sa vie.

Pour Mr BLACK, il a conquit sa peur de l'amour.Il a conquit une nouvelle peur,

peur de l'amour.Cet amour qui lui efface les autres, qu'ils avaient aime.Car

 

Mr BLACK aimait le noir.Lui aussi a chang{ le noir de ses yeux.

 

L'univers {lectrique

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Du haut de ma seule et grande tour,

 

je vois , je sens ,

 

et je percois des Plan}tes remplies d'etre qui s'affrontent,

 

jusqu'@ leur an{antissement.

 

Tumultes {lectriques qui me remplissent de songes {lectriques

 

sortant de cette m{tamorphose, de ce combat

 

Des Bombardement qui expriment d'autres songes {lectriques

 

qui traversent mais moments de bonheur,

 

D'infini qui me ravit d'amour.

 

Explosions de plan}tes, destructions d'id{es malsaines

 

Fissions qui repousent et cr{e deux mondes qui s'affrontent

 

Elles sont n{es du meme bord.

 

Voyageant dans un espace tel une com}te

 

Je me faufile vers un espace qui me repousse,

 

L'espace de l'univers imaginaire.

 

Mince, j'ai rat{, se dit le vide,

 

J'ai rat{ l'accomplissement de la tranquilit{.

 

J'ai cr{{ deux poles qui ne cessent de se refouler

 

Je vais les refouler dans des millions et des millions de plan}tes

 

o| des etres seront confront{s @ ces deux poles.

 

Un qui les endormira pour penser aux autres

 

Et l'autre qui le refoulera vers ses plan}tes internes

 

Et un dernier inconnu qui le guidera vers moi

 

L'homme est un univers.

 

Remplit d'infini, de vide pur

 

Et de vide impur,

 

le bas et le haut de leurs sensations.

 

Moi, com}te voyeagant dans l'univers imaginaire

 

je m'{tais cogn{ sur une plan}te,

 

elle m'avais d{truit mes bras

 

qui {tait mes ailes,

 

je sens que le temps me lance des {clairs

 

des sensations que je savais que j'allais rencontrer

 

Je sens ma destin{ dans cette univers.

 

Je peux juste et simplement dire que mon univers est de nouveau vivant

 

La tete d'un homme contient

 

des idees, comme plan}te,

 

que l'infini procure

 

Pourquoi n'ai-je pas vu cet infini plutot ?

 

 

 

Le singe couch{ dans le creux de l'arbre.

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(Le songe du singe.)

 

Jouant avec sa tete, il se vide de ses d{sirs futiles

 

Couch{ dans le creux d'un arbre, tout seul

 

Ne plus avoir de gestes brusques,

 

Il se tortille simplement pour trouver une accoutumance avec l'arbre

 

Moi com}te de l'imaginaire, je tourne autour de lui.

 

Il ne m'a pas vu, il ne joue pas avec moi.

 

Sa tete repose sur une branche

 

Et il fixe sans le savoir le ciel

 

Sortant du noir du ciel,

 

Je me glisse dans ses yeux.

 

Il soul}ve la tete, et intrigu{ il me suit.

 

Je ne disparais pas de sa vue,

 

je m'{clipse de ses yeux.

 

Divaguant, il s'apper\oit et trouve les {toiles.

 

Et il m'imagine.Il s'imagine traversant mon espace.

 

Le singe sourit et parle :

 

"La vie est une drogue imaginaire.

 

Elle se traduit par une photo flottant dans un fluide.

 

Fluide travers{ par des {clairs de songe.

 

Quand j'embrasse ces {clairs,

 

Ils me brulent,

 

Et je sens son baiser {lectrique,

 

Qui me fait chavirer dans l'espace de l'amour.

 

Quand les mondes rouges se croisent et s'enlassent pour me rejoindre,

 

Et que la com}te traverse mon coeur, il m'arrache du temps.

 

Tel une main aggriper @ son centre, je monte vers vous.

 

Nageant dans le fluide, je vois vos {toiles.

 

Certaines sont mortes, je les fait revivre descendant de ma com}te.

 

Des centaines sont vivantes, et leurs atmosph}res m'{touffent.

 

Je ne veux pas m'{crass{s,

 

Ne me toucher pas,

 

Laissez-moi voler dans votre univers.

 

Ecartez vos plan}tes vivantes, faites revivre les mortes.

 

La place sur la com}te n'est pas unique, elle est en elle-meme infini.

 

L'ange de l'univers me la fait d{couvrir,

 

La com}te est l'ange.

 

Si elle s'{crase, je crainds qu'il y est du feu inexplicable.

 

Je sais que ce feu peut me ronger de nouveau,

 

Et le monde deviendra de nouveau noir.

 

Quand tout les mondes noirs se regardent,

 

Ils fouillent et cherchent la com}te.

 

Leurs tetes sont baiss{es,

 

Ils ne voyent pas l'univers.

 

Ainsi singe, je l}ve la tete et je songe.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : CHAMBRE

'apr{ l'histoire, peut-etre un peu folle, que je vais vous racont{ du mieux

que je peux, vous pourrez vraiment savoir o| mene cette all{e.

Car elle ne nous conduit pas seulement @ un hotel.Par cette all{e de platane

je peux en appercevoir ses lueurs.Le tueur se faufile dans la nuit pour

espionner, grace @ des jumelles, ce majestueu batiment.Il avance vers la

porte de l'hotel.

Comme si quelqu'un l'attender la porte est ouverte.Apr{s avoir pass{ un bas

noir et une cagoule noire sur sa tete,pour rendre son visage peu descriptible,

il p{n}tre dans le vestibule.

 

Le tueur

--------

 

Je ne sais pas par o| passer.il y a un escalier sur ma gauche, je vais le

prendre.Ils dorment tous, mais j'ai pris ma bombe, on ne sait jamais si il se

reveillent.La bombe qui apporte le sable dormeur.

Je monte en faisant attention au moindre de mes gestes.La lame de mon couteau

me gratte.Elle est enfil{ entre mon patalon noir et mon corps.Je glisse ma

main pour enfin me soulager.

Je progresse doucement.Byzarre, ils ont laiss{ la lumi}re.J'arrive @ un

palier.Une glace est accroch{e sur le mur qui se tient en face de moi.Je

r{ajuste mon collant du visage.Tournant la tete @ gauche j'ai une vue sur les

W.C, la porte {tant ouverte.

Une premi}re chambre de l'hotel : la 4.Non ! C'est la 1er o| je dois aller !!

J'enfile ma bombe dans le trou de la s{rrure et je d{livre sa fum{e vicieuse.

J'adore tout ce qui est vicieux.

Je reviens au palier et je continu @ monter.Heuresement il n'y a que 5

chambres dans cet hotel.La fin de ce p{nible escalier est enfin pass{e.

La chambre 5 se d{livre @ moi.Mince j'entend un bruit derri}re moi.Je sors de

sa cachette le couteau, me retourne.C'est un homme.Il est aveugle, c'est

l'homme de la chambre 4, la dose n'{tait pas assez forte ? Il m'a vu et je

presse le pas dans le couloir.J'entend la porte des W.C se refermer, il m'a

vu je le sais.Pourquoi ne fait-il rien ?

Chambre 3 : J'enfile de nouveau la bombe.Le "pssit" siffle @ nouveau.Quelque

chose a cogn{ sur la porte.Le bruit a {t{ m{lang{ @ des paroles :"C'est fini

se boucan."Puis rien.Parfait, la chambre 3 est hors d'atteinte.

Passons @ la chambre 2.Gricement de porte habituelle, l'hotel est quand meme

tr{s peu soign{.j'ai prf}r{ ouvrir la porte, pour assurer la reussite de mon

entreprise.Le couteau toujours dans la main droite, juste devant mes yeux,

je scrute la pi}ce.

Un homme dans le lit me regarde, il est dej@ @ moiti{ endormit.De nouveau la

bombe.Ce n'est pas lassant.Je vous l'ai d{j@ dit, j'aime le vicieux.Je

retourne ma vu et mon corps dans le couloir.

 

"-Et vous ? Qui etes vous ?" Cet homme qui se tient dans le couloir est le

bon.Pourtant il devait etre muet.Il est je le pense.Je range le couteau pour

sortir le revolver de ma poche.Fixe le revolver.L'homme muet me regarde, son

visage est tendu par l'aspect du flingue.Je ne veux pas tirer j'attent un peu.

J'ai le sentiment de m'approcher de lui.Pourtant rien ne bouge.Son regard se

baisse.La pointe du pistolet est calme, juste sur sa jambe.Je veux qu'il

souffre avant de partir.J'ai tir{, il tombe tenant sa jambe avec sa main

droite.Il se soutient avec la main gauche rampant tel un serpent.Sa main a du

lui faire mal quand elle est tomb{e sur le carrelage froid.Et il avance

durement vers l'escalier.Mes yeux le suive du regard.Il tombe dans

l'escalier pour s'arrete sur le palier.Il ne doit plus s'avoir o| il est cet

homme muet de la chambre 1.

Je range mon flingue entre mon patalon et je sort le couteau.J'arrive @

l'escalier.Il me parait plus beau cet escalier.Il a quelque chose de plus

grace @ cet homme.Je dirais que cet homme est la grace de l'escalier meme.

Je l}ve le couteau, il d{passe ma tete.Je descend vers l'homme.J'approche ma

tete de son visage.Il ne me regarde pas.Il inspecte la moquette de l'escalier.

J'ouvre ma bouche faisant semblant de crier.L'homme tourne sa tete vers moi

et il fait crier sa voix muette.C'est bien l'homme muet.L'hotel est

silencieux, mais je sens son vacarme en moi. Et je pointe ma lame dans son

ventre, le bas ventre.Il crit ? Plusieur coups, et je l'ach}ve en un couteau

dans sa geoge.La lame passe par la bouche, et vient se cogner sur le palet

sup}rieur de l'homme muet.Il est 8H00, j'ai d{coup{ l'homme muet, je l'ai mis

dans deux sacs poubelles.Je nettois bien le carrelage, maintenant chaud.

Je traine les sacs en les faisant ricocher sur les marches.De nouveau p{nible

@ descendre cet escalier.Je continu jusqu'@ sortir de cet hotel.

Le soleil s'est lev{ tot ce matin.Les graviers m'enpechent d'aller plus vite.

Je m'arrette et lance les sacs sur un arbre.Ils restent accorch{{s dans

l'arbre.Parfait !! Je cache mon coteau et mon flingue derr}re un autre arbre.

Je les camoufle avec des feuilles mortes et de la terre.Pour finir j'allume

une cigarette avec un paquet d'allumettes que j'ai piqu{ dans un bar hier

soir.J'enfile le paquet dans la poche de mon patalon, et me d{tent l{gerement

en m'{tirant les muscles.Mince !! Les allumettes sont tomb{s par terre.

Quelqu'un vient, je vois sa tete derri}re les buissons.Il faut que je parte.

Pour le paquet d'allumette je m'en contre fiche.Pour un simple paquet !!

Je m'enfuis par l'all{e.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : CHANSON

Enfants de la cite

 

 

A vous peuple des rues,

Toi robinson des iles,

Qui semble etre decu,

Par ta vie qui defile.

 

Sous le soleil brulant,

Qui chauffe le bitume,

Nous avons cependant,

Decouvert tes coutumes.

 

Dans la rue sombre et glacial,

Sous l'ignorance des passants,

Dans un dernier rale,

Simplement,on attend.

 

Lorsque l'aube se leve,

Et que nous ouvrons les yeux,

Ou la raison s'acheve,

Nous pensons a eux.

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : COSMOS

cosmos imaginaire.

------------------

 

Au debut, il y a le vide.Le vide a en son centre un objet.

Cet objet explosa, capable de cr{er, il produit du feu, de l'eau, une

atmosph}re, et la vie.Puis les animaux et l'hommes en sortie.

Je saute la face de cr{ation de l'int{lligence, qui n'est autre que

l'imagination.L'homme est n{ de l'infiniment petit, il est n{ de l'objet du

d{but.Il est en ce moment, 1991 bientot @ une fin, une fin pour commencer une

nouvelle aire.

Description de l'homme :

Voit tout les contraires(nloquer entre l'infiniment petit et l'infiniment

grand).Il est prisonnier entre l'infiniment petit(que meme

si il le voyait ne lui apporterait rien, vu qu'il y est n{) et l'infiniment

grand.(Le vide + l'objet partie en {clat, et qui s'arrete progr{ssivement

Quand il se sera arret cet univers redeviendra petit pour recr{er, de nouveau

Quand je dit petit, cel@ veut dire qu'il redeviendra un objet "compact".)

L'homme est donc bloqu{ et voit tout les contraires.Quand il aura vu tout les

contraire son cerveau va se m{tamorphos{.(Je parlerai de cette m{tamorphose

plus tard).

 

Description psychologique de l'homme :

 

Tombe facilement en un {tat de haine(du @ ses origines), et peut etre d{pr{sif

Quand l'homme est d{pr{sif, il se voit alors comme avant.je m'explique, il est

devenu d{pr{sif mais grace @ la m{moire, il sait comment il {tait avant.Il se

revoit alors avant et veut {ssayer d'y revenir.(Si il n'y revient pas il se

tue car son contraire qu'il d{teste est le temps, sa mort, et quand il est

trop d{pr{sif, trop dans son contraire, il se tue.)Quand Il {ssait de revenir

@ son {tat ini\ial.Alors, il ne se rapelle plus ce qu'il lui est arriv{.

Sauf, et voil@ l'astuce de la fabrication de l'homme, si il se place au

milieu de ses deux {tats, d{pr{sif et "normal", alors il peut les comparer et

seulement si il est dans cet {tat de milieu (M{ditation passive se m{langeant

@ la comtemplation, nous verrons plus tard ce que c'est ).Le cot{

d{pr{sif de l'homme est attrap{ lorsque celui-ci approte de la haine aux

autres, ce qui, sans qu'il s'en rende compte, le renferme sur lui meme.Vu

que les autres sont tout.Il accumele la haine (N'oublier pas l'origine de

l'homme, l'infiniment petit.)

L'homme a remarqu{, depuis son origine qu'il y avait un autre {tat, celui de

l'amour, mais l'amour qui voir n'est pas l'amour car il est "je" {gocentrique.

(Encore L'origine l'infiniment petit, le 1)

cel@ ne lui emp}che pas de continuer sur la voie des contraires car il est

pris dans l'encranage de sa m{moire, de son temps, de ses habitudes.

Voil@ le passage, qui va vous int{rr{ss{, car l'homme quand il aura vu tout

les contraires, se rendra compte de certaines choses.Que l'amour qu'il

croyait indivuduel et qu'il ne voyait qu'individuel, n'est en fait que le

milieu des contraires(voir milieu, plus haut), de tout les contraires.

Et quel est le contraire final, c'est celui qu'il voulait par dessus tout,

c'est @ dire l'amour, le d{sir d'aimer pour la vie, il voulait voir {ternel.

(Il se cr{a meme des Dieux). Ce contraire, ils l'ont apeler, vous le savez

d{j@.

Voil@ le changement.Il voit tout les milieux, si il m{dite passivement au

milieu et regarde les contraires et l'{tat initial(pour lui normal).

La pens{e est commun @ ses hommes, paradoxalement la haine, l'{tat d{pr{ssif,

les {tats durs apportent de l'amour @ ses hommes.Leurs contraires leurs

apportent de l'amour car le milieu leur apporte de l'amour;mais cet amour

n'est pas individuel et ne peut pas l'etre.

Voyez-vous, si quelqu'un vous aime, et que vous lui apporter de la haine,

celle qui vous aime va commencer @ apporter de la haine et devient en

l'accumelent d{pr{sif et nerveu.Les nerfs {tant les principaux signes

descriptif de l'homme.Il voyent leur monde par leur nerfs.

Mais voil@ qu'ils ont enfin compris que l'amour vient de leur contraire celui

qu'il n'aime pas.Ils ont raison de ne pas l'aimer.Mais ils ont oublier

l'objet, leur origine.Ils se rendent compte que les contraire fait partir

simpliment de leur vie.Ce sont les seul @ les voir, @ les percevoir.Ils ont

lutt{ pour avoir se privil}ge pour voir l'amour qui est sortit de leur

contraire, quelqu'uns ne l'ont pas vu me direz-vous? Ils sont mort.

NON !! Ils sont dans le soleil.Leur ame est cach{ de leur vue.La

dedans le vide cr{es leur ADN qui va cr{e lui meme quand on les envoit avec

leur ame sur leur plan}te, leur cerveau, leur caracteur et leur m{moire.

Oui, parcequ'il vont revenir et l@ ils vont se rendre compte que la mort

n'existe pas, tout venait de l@, leur contraire n'existe pas.Ils

n'ont plus peur, leur cerveau change, le sexe disparait, ils vont aimer,

Leurs scientifiques n'existent plus, ils cherchaient de travers, ils ne

fallaient pas regarder le materiel mais le contraire.Ils ont la

vu du milieu, l'amour est tout les etres de leur plan}te, pas un sans

exeption, n'aime pas.

Au fait, j'oubliais, leur mort, pour qu'il ne souffre pas trop, quand l'un

d'eux mourait alors qu'il venait juste sortir de l'origine(de l'infiment

petite),on l'envoyait dans le debut de la r{volution de leur cerveau.

Et quand, ils {taient morts vers la fin de l'origine(La fin de tout les

contraires, l@ o| il ont le plus souffert) ont les envoyait @ la rencontre de

leur pens{e.La pens{ des etres.on les regroupe tous dans la meme pens{e et

ainsi on les envoit dans un trou noir, qui est la porte de sortir.Pour

que cette pens{, qui est devenu un objet soit plong{ dans le vide.Et un

nouveau cosmos apparait.L'objet est appel{ objet pensant qui est la m{ditation

passive m{lang{ @ la comptemplative.. AINSI EST LA MORT.
L'assemblagle de toutes les représentations mentales (pensées) que vous avez pu faire toute votre vie, tout cet assemblage disparaitra... Préparez-vous...

 

 

 

 

 

 

FICHIER : COULOIR

Qui m'a tu{ se dit Jack et il saute, saute par la plage le long de la mer.

Il crit, oui il crit tr{s fort, de son saut dans l'amour.Il demande qui la tu{

Dans la rue ils croissent des fous, des mecs qui se shootent, qui dansent

dans le coin d'une rue, et beaucoup d'autres perdu :

 

Il leurs demande:

 

"-N'y-a-t-il personne qui soit moi.Vous etes vous moi ?"

 

Deux hommes, en laucurance nous allons prendre Jack et Stingo.C'est deux

hommes sont dans un couloir noir, avec des lampes au pieds des murs.Stingo

arrange des fleurs qui sont vraiment tres bien arrang{ sur une petite table

rond.

 

 

"-Cette table ronde symbolise le savoir par ses tiges m{talique qui la

soutiennent, la rondeur @ la couleur jaune, les fleurs pour le savoir qui

fleuri...dit stingo."

 

Stingo est un peu plus loin avec sa table instal{ contre le mur droit, qu'en

t'a Jack il est juste devant vous avec un micro.Sur sa tete est instal{ un

casque.Pourquoi ce casque ? Il doit {couter de la musique, surement.Il

commence @ vous parler.

 

"-L'amour est par le dedans de ce monde.

-Putain, t'a raison Jack, crit Stingo.

-L'amour est pour ainsi dire....

 

Stingo s'est avanc{ et @ attraper le fil du micro.

 

-Je t'ai dej@ dit de ne pas toucher aux fils des micros cel@ fait des

interference.

 

Stingo continue et des craquements envahissent l'espace.

Des bribes du discours entre ces deux hommes sont encore compr{hensible.

 

"-Ils...Stingo crit Stingo....Ils vont nous prendre pour...Stingo, Jack,

Annie,....Ita....FOU...AMOUREUX....FOU...Ils vont nous prendre.....Fou...

Leurs missions est de....CHUTTT fait Stingo....JAck rigole....FOU amoureux

Fou......"

 

Stingo par vers les fleurs, Jack lache le micro et va le rejoindre.Le micro

fait des Larsenes, Jack chatouille Stingo.Stingo rigole.De l'electicit{ sort

des pieds de la table du savoir fleurie.Des {clairs envahisent le couloir puis

rentre dans la table aux fleurs.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : D

D O U G H N U T S

 

 

commencer avec les titres avec images .

Le tueur se prepare ,gants ,cagoule ,flingue ,Couteau,pied.

Fondu au blanc .

cendrier

tableau

cage d'escalier

flash

Scene du meutre:

Noir avec homme avec gant.

panoramique piece ave mec dans lit.

apres zoom avant sur celui qui l'appele.

Habille avec casquette et imper.

Musique Tp.

L'homme la vue,flashs .

Poche il prend le flingue ,l'autre crient "qu'est ce que vous faite";

tete ,il tire ,il le touche a la jambes.

Il s'aproche et le rue de coup d couteaux.Avec flash.

8h00 .Il descsend l'esccalier avec flash

vue d'en bas.

Poubelle ,il y met les deux sac louurds.

Soufle comme fond.

poubelle puis fondu blanc.

10H 00 Scene directeur de l'hotel avec musique tp.

11H00 scene poubelle ,refaire le debut.rire.Flash poubelle.Puis reprendre scene

normale.

Homme qui sort de derrier le buisson.Puis poubelle.

chien

scene Bcbg avec danseur qui coupe les paroles.

Enlever quelques phrases.

Pendant ce temps dehors

Le client scene chien et chat.

Revenir dans chambre et continuer intewiew BcBg.

L'agent du FbI sort et il demande au directeur de l'hotel si il y a un telepjone.

A sa droite:"Ici l'agent du FBI qui est a l'hotel du nord ,il faudrait que vous

disiez au medecin legiste qui est sur l'affaire, qu'il vienne demain avec tout

les resultats des analyses qu'on a trouve sur le cadavre qui est dans la poubelle.

-"daccord mais il est sur une autre affaire en ce moment et...

-ca je m'en fou,qu'il vienne demain de bonne heure a l'hotel.

-Bon d'accord.

-bien ,au revoir.

-au revoir."

Dans la chambre du BcBg.

le bcbg saute par la fenetre.Il etait 18h00.

19h00 Scene ave directeur puis la chambre.

A la fin du reve reprendre jour du meutre avec flash dans escalier.

Puis normale.

Arriver d medecin legiste a l'hotel.

Parlolote Medecin legiste ,Fbi:

Ordinateur.

-"Bon comencons par le debut.L'homme a ete decouper avec un couteau.

-Comment s'apellait-il?

-Stingo Farragut.Pas de casier judiciere.C'etait un brave citoyen en quelques sorte.

- Et au point de vue indice a-t-on trouver quelque chose?

-On a trouver l'arme du crime,Ou plutot les armes du crime.

L'agent regarde les armes.Et on a trouve aussi ca.

Il jete un paquet d'allumette sur la table.

Pas d'empreinte.Mais ce paquet vient de bar pas loin d'ici.

-Le Snow Bar.Et justement figure toi que l'on m'a appellait hier soir au sujet

d'un meutre et c'etait pour identifier un chanteur qui a ete tue et decouper pui

jeter dans une poubelle,et il chantait dans ce Bar.Et il n'y a aucun lien entre les deux defunt

-Alors on a affaire a un Psychopate.

-Ouais ;Ah !tient voila une photo du chanteur et de celui qui etait dans la poubelle

de l'hotel.

Il regarde celle du chanteur ,puis l'autre et se rend compte que c'est l'homme

qui a apparru dans son reve.

-"C'est l'homme que j'ai vu dans mon reve que j'ai fait cette nuit.

L'autre le regarde byzarrement.

-"Et figure toi qu'il m'a parler d'un chanteur.

L'image lui revient.

-Tu devrais arretter de boire du vin de la region.

-APelle le directeur de l'hotel ,j'aurai une experience a realiser,dit-il de prendre

des craies.

Scene Experience.

Scene homme sour et aveugle.

La nuit.

22H00 Meutre de l'homme sourd.Il ecoute la tele mais n'entend rien ,il se leve

pour aller chercher son sonotone et le met dans son orreille le tueur

arrive par derriere et Il l'etrangle cette fois.A la televion il y a un meutre

Fbi qui ce reveille een sursaut.

Il allume et reagarde la photo.

Puis sort de sa chambre.Il va a l'autre porte et appelle Mr SMITH.

La porte est ferme.

A l'interieur l'homme tue l'homme sourd a coup de couteau.

Le Fbi s'en vas.

Le tueur lui coupe un doigt et commence a le decouper.Sang

1H00

Il a fini mais s'endort en regardant le reveil

8H00

L'homme se reveille et decouvre l'huer il se depeche et traine le corps vers la porte

Il entend une voie c'est le FBI:MR smith!!

Il fait demi-tour et jete le cadavre par la fenetre.Ouvrer cette porte Mr le directeur

Bien

Bruit de la cle.

Plus peersonne.

Il regarde par La fenetre et voir le sac dehors.

Il sort de la piece.

Le tueur sort de sa cachette.

L'agent du Fbi et le medecin legiste discute dehors.

-"Bon je te telephone si il y a quelque chose de nouveau."

"-OK."

La voiture du medecin legiste s'en va.

-"Mr l'agent du Fbi.Cri le directeur de l'hotel.Il y a eu un nouveau meutre."

L'gent se tourne et voit le dircteur a la fenetre.

Puis il regarde la voiture du medecin legiste s'en aller.

-"J'arrive"

Le SOIR.

L'agent du fbi assis sur son lit de face avec photo derriere,il se tourne
pour voir la photo.
-photo.
-rire homme cigare.
-fondu.
-assis,il prend son impermeable.
-de derrirere ,il va vers la porte.BANG.Il sort son flingue et sort de la piece
-Dans couloir de face,il fait attention.
-de face,le meurtrier court dans cambre BCBG.
-de face.
-de face ,il voit le directeur sortir precipitament de la chambre dans face.
-de face,il lui fait signe de s'arreter.
-il s'arrete devant la porte du BCBG.et BAANG.
-de face le fbi court et s'arrete a l'escalier et regarde le directeur
-le directeur mort.Le chat s'approche de lui.
-de face ,il rentre BCBG,
-de face dans chambre,il regarde la piece.
-traveling piece,fenetre avec corde.
-de derriere il avance et commence a descendre.
-de dehors ,il descend
-de derrire ,il disparait dans la nuit.
-voiture qui freine brutalement.
- medecin legiste en sort de face.
-entre hotel.precipite.Apele-moi l'agent du fbi.
-receptionniste,mort,de loin puis de pres.
-cage d'escalier d'en haut,il monte traveling,il regarde en bas.
-directeur mort.
-il se retourne et voir ,une porte ouverte ,il entre.
-de face
-aveugle mort.Du sang sort de ses yeux et il a une balle dans le ventre.
-il sort ,des chiotes,et va dans la chambre du BCBG
-de plus pres ,il crie.
-de dehors ,fbi dans foret ,il avance avec son flingue
-faire voir ce qu'il voit
-il avance jusqu'a camera,il retse un moment puis regarde devant et voit une maison
-Voir maison.
-1ermort-"Beautiful cow boy beautiful girl,BCBG"
noir
generique.

 

 

 

FICHIER : DOUGHNUT

DOUGHNUTS
---------


Scene: Chambre ,photo
-----

-gros plan serrure plus cle.
-gros plan poignee qui tourne.
-porte qui s'ouvre plus tete qui regarde la chambre.
-panoramique de la chambre,avec porte qui s'ouvre(eclairage).
-bouton eclairage ,main
-chambre qui s'ilumine.
-tete."Oh,un lit deux places".
-Lit puis se coucher.
-Tete,la tourne ,regarder bibliotheque.
-Bibliotheque.Se leve et prendre un livre.
-De bas,il fait tomber quelque chose du livre.
-pied plus photo.
-de bas,se pencher.
-tete.
-photo,accrocher contre mur.
-tete regarder photo.
-lit coucher.eteindre(autre lampe pour voir dans le noir.
-photo.
-tete.
-photo.
-lit.
-photo.
-Entrer photo.
remplace rideaux pars les rideaux bleue de la chambre.
-tete,de cote se reveiller en sursaut(se lever sur le lit)
-lit de plus loin,aller vers porte et revenir.Regarder a gauche.
-de haut.Jo.
"Je suis jo,le chanteur possede beaucoup de chansons dans se repertoire,l'une d'elle s'appelle beautiful cowboy ,beautiful girl.
-aller de tete a porte.
-photo.
-tete qui regarde a gauche.
-Plus rien.
-lit,se lever et aller vers porte.Ouvrir porte.
-De l'autre cote,tete qui regarde.
-De l'autre cote,commencer a regarder photo.
-photo.Avec Fbi dedans qui tourne la tete.
-gros plan tete.
-Photo ,gros plan tete.
-Rideau ,monter et ouvrir les rideaux.
-de derriere,ouvrir fenetre ,si possible soleil

-duree:5mn environ
-----

FIN

 

 

 

 

FICHIER : DESCRIPT.ION

Description de la pi}ce.

------------------------

Bien que seul Stingo, ne semble pas s'ennuyer.Il est assis sur une chaise,

celle de droite.Il tourne la tete et voit une autre chaise.Monte la tete

toujours vers sa gauche et voit une fen}tre.Il n'a jamais regard{ par cette

fenetre.Il ne veut pas.Il est t{tu cet homme.

Il revient vers sa fenetre, juste en face de lui.La pi}ce a deux chaises, deux

fen}tres, deux lits (un derri}re Stingo et un derri}re l'autre chaise), et

deux petites tables qui ressemblent @ des tables de nuit o| sont d{pos{es des

feuilles vierges et deux stylos (Un deux @ chaque table).Une chose

intriguante, un tableau est au milieu des deux fenetres.Representant un grand

champs {clair{ par un soleil, ce tableau @ une main qui se tend et veut

attraper le champs.Cette main se situe @ gauche, l'opposs{ de Stingo BLACK.

 

J'oubliais, il y a deux portes, toutes les deux @ gauche.Stingo se demande :

 

Peut-etre vais-je, un jour, m'{chaper vers cette porte.Mais pour qui donc est

l'autre ? Pour l'homme de l'autre chaise."

Quelqu'un va-t-il venir le voir ce Mr BLACK ?

Se tournant et regardant la fen}tre Stingo n'a jamais fait attention @ une

autre porte, derri}re son dos.T{tu est cet homme.Mais aussi capable de tout

ce qui n'est rien.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : DESSIN

 

D E S C R I P T I O N I N F I N I

---------------------

D E I M A G I N A I R E

---

L' I N F I N I

--------------

 

 

 

 

- Chaise de Lolita.

 

 

 

- Ange ( Sensations

d'amours

perdus).

 

 

- Lit d'Annie.

 

 

 

- Chaise d'Annie.

 

 

 

- Tableau.

 

 

 

-Porte menant aux

tableaux.

 

 

 

- Tableau

 

 

 

- Chaise de Jack.

 

 

 

- Lit de Jack.

 

 

 

- Ange (Sensations

d'amours

perdus).

 

 

- Chaise de stingo.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : DIEU

si le monde fasait partit d'un cerveau,l'homme qui le controlerai serait notre

dieu.Les autres monde habitaient par des gens,seraient quelques autres des ces

parti du cerveau de dieu.La naissance d'un monde serait la naissan d'une iddee

de ce dieu qui grandirait au fur et a mesure qu'elle se precise;c'est anous

de savoir si l'idee qu'il a eu est bonne.Nous sommes ce qui controle l'iddee

de Dieu.A savoir si cette iddes et bonne,C'est nous qui le lui diront.Ou on

s'entretue eet l'idee n'est pas bonne ou nous creer un paradis et Dieu

la preservera comme onprotege une belle photo que l'on encadre.

Nous ne mourront pas nous changeons simplement,demonde et donc d'iddee.je ne

crois pas que nous nous ne nous souviendront pas du monde dans le quel onvit

mais nous forgerons une autre idde de Dieu en nous appuyant sur les basses

que nou avons acquit de ce monde.

L'amour,la seule femme parfaite pour un homme ou l'inverse ,il la retrouuvera

dans son nouveau monde,car elle aura eu un jugement egale au sien de l'acien

monde;Nous auront un passe sur terre et nous le continueront sur une

autre iddes, un autre monde.Jusqu'a parvenir a un dieu.Et alors nous pourront

construire nos iddeez.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : DO

Douhnuts fin:

L'agent du Fbi est entoure de bougie.Elle s'eteindront a chaque intervention

du clown.les bougies sont le long du corps de l'agent.

Le clown reverse un vere.Revenir au Fbi agent.Il allume une bougie.FBI.

Prenche une ampoule a l'aide d'un escabot.FBI.Colle le drapeau sur la table et

.FBI.allume le ventilateur .Drapeau qui volte.

Corde de suicide.FBI.Vous vous allez ici lui dit le clown,Il pmotre la corde

a l'agent qui vient d'arriver.FBI qui se rerouve dans le noir presue total

sauf une bougie.Il se pend.PLus de bougie.

Clown il disparait.Il reappariat.Dans la chambre oruge.ET discute avec homme

cigare.

áa-y est on a fini avec lui.Il est pret.

-bien.Ou est-il ?

-Dans la piece de la mort divine.Que va-t-il devenir.

-Un tueur de vielle dame ou peut_etre un voileur,ahahahhahahh !!!!!

Plan d'ensemble avec clown.Hommme cigare disparut.

Clown qui se leve et qui rigole.Et sort par les rideau.

L'agent dans la piece;Il crit laisser moi sortir je vais tous le tuer !!!

Maison de dehor,je vais tous les tuer.AHAHAHAH!!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : DOCUME~1.SHS

A l'ext\'e9rieur de l'h\'f4tel se trouve une for\'eat et un jardin. La for\'eat est plus loin que le jardin, environ cinq cent m\'e8tres. Le jardin est juste en face de l'h\'f4tel, il est vaste et s'\'e9tend jusqu'\'e0 la for\'eat. En plein milieu du jardin se trouve un chien attach\'e9 au cou au seul arbre. La corde qui va sur le tronc, monte le long et tourne jusque en haut. Le collier est solidement ferm\'e9. Le chien ne peut

\par presque plus aboyer, la corde qui l'emp\'eache de partir l'\'e9trangle encore plus. Et cette corde est toujours tendu, comme si le chien, qui est un boxer, voulait partir loin d'ici. Pour aller o\'f9?

\par

\par Dans un coin du jardin un enfant a trouv\'e9 un oiseau fra\'eechement mort. Il l'a vu tuer par un corbeau cette pie. Une tr\'e8s jeune pie. Attrap\'e9e par le cou, qui tombe du ciel et s'\'e9crase sur la verdure du jardin. L'enfant le tient dans ses deux mains, supportant le cou cass\'e9. Il lui parle, pas d'une fa\'e7on triste mais glacial, pendant que le sang s'\'e9coule du cou de l'oiseau.

\par

\par "- Reviens ici, dans les airs que tu as l'habitude de battre ou va -t en loin, vers la lumi\'e8re jaune. Choisis. Ne reste pas sans voix, parles toi, ce que tu sens le mieux pour toi, pour tes ailes et tes yeux clos. Vois."

\par

\par L'enfant creuse avec ses mains, faisant un trou dans la terre. Il soul\'e8ve l'herbe couverte du sang de l'animal. Le pose d\'e9licatement dans le trou, le recouvre et s'en va lentement dans la for\'eat pour dispara\'eetre.

\par

\par Le chien force toujours sur sa corde. De l'arbre tombe des pommes, le chien les mange. Des pommes jaunes et grosses comme le poing.

\par Un client sort de l'h\'f4tel, en fait c'est le directeur de l'h\'f4tel et vient le voir.

\par

\par "- Alors le chien le plus hargneux du monde, cela va ce soir.Fait de beau r\'eave."

\par

\par Le directeur de l'h\'f4tel s'en va, laissant le chien dans la boustifaille.

\par

\par Le soir commence \'e0 sortir et le rideau tombe sur la propri\'e9t\'e9. Le chien se couche avec sa corde toujours tendue et il \'e9coute les bruit qui viennent de l'h\'f4tel. Des claquements de portes, une femme qui crie quelle ne veut rien savoir sur le festival de Cannes. Il voit sortir un aveugle, tenant dans sa main droite une tasse de tisane et de sa main gauche une canne blanche. Il t\'e2te le mur de l'h\'f4tel pour trouver un banc et s'y asseoir.

\par

\par "- Je sais que tu es l\'e0 mon chien, j'attend tes grognements depuis ma chambre, mais tu ne me fais pas peur."

\par

\par Il boit sa tisane d'un seul trait, se l\'e8ve et rentre. La nuit est l\'e0.

\par \pard\li1134\ri1134\tx4253\plain\f4\fs20 Dans l'h\'f4tel tout le monde dort. La cage d'escalier est silencieuse. Le couloir est vide. Dans la chambre n\'b02, le client vient de se coucher. Son oreiller pos\'e9 derri\'e8re la t\'eate, il s'endort. Il r\'eave de femmes qui flottent dans des piscines \'e0 demi recouvertes par des toitures,.. des piscines rondes. L'eau est bleue. Les femmes ont des peaux blanches. Sa conscience est une cam\'e9ra et il voit des milliers de piscines o\'f9 des femmes nues flottent. Un bruit de verre bris\'e9 le r\'e9veille, il est 4h52. Le bruit se r\'e9p\'e8te, il soul\'e8ve sa t\'eate est gueule:

\par

\par "- Quel est ce vacarme, Putain c'est pas possible, on ne peut pas dormir tranquille."

\par

\par Il prend une chaussure qui est pos\'e9e \'e0 cot\'e9 de son lit et la jette contre la porte. Dans la cage d'escalier le tueur monte les marches doucement, ces pas ne font pas de bruit sur ce semblant de velours. Arriver \'e0 une porte \'e0 gauche, il introduit dans la serrure un tuyau, y fixe une bombe et appuie sur cette derni\'e8re. Un Psssit se d\'e9gage et un gaz qui endort se vaporise dans la chambre d\'e9sign\'e9e n\'b01. Au premier \'e9tage, il n'y a qu'une chambre, il continue donc a mont\'e9 l'escalier. Quand il arrive \'e0 la fin, il se retourne rapidement vers la d'o\'f9 il vient et une porte s'ouvre. La porte des W.C, il l'avait oubli\'e9 celle la. Un homme portant des lunette et une canne blanche se pr\'e9sente \'e0 lui.

\par

\par "- Que faites-vous ici? Lui demande l'homme aux lunettes noires."

\par

\par Le tueur s'\'e9chappe dans le couloir et l'homme aux lunettes rentre dans la chambre n\'b01 pour aller se coucher comme si de rien \'e9tait. La chambre n\'b05 est la prochaine victime du tueur. Il pousse le tuyau et appui sur la bombe. Le Psssit de nouveau se fait bruyamment entendre. Pour la chambre N\'b03, cette fois, il sort un couteau de sa poche et le tient dans sa main droite. Il refait encore le m\'eame rituel et va vers la chambre n\'b04. Il ouvre la porte et dresse son bras droit armer de son couteau, qu'il fait tourner. Un bruit de porte l'inqui\'e8te , cela vient de derri\'e8re. Il ferme la porte et se tourne vers la chambre n\'b02. Un homme habill\'e9 en cuisinier est l\'e0 face \'e0 lui. Le tueur au bout du couloir et le cuisinier \'e0 l'autre bout. Un pi\'e8ge p\'e9rilleux.

\par Le tueur sort un flingue qu'il avait cach\'e9 dans la poche arri\'e8re de son jeans. Il le sort tr\'e8s rapidement et le pointe vers le cuisinier. L'atmosph\'e8re est tendue, la pupille des deux hommes se fixe dans un silence glacial. Le cuisinier baisse la t\'eate et avale de la salive, son nez sent quelque chose, il sort sa langue et la rentre rapidement. Le coup de feu est parti. Du sang gicle sur la seule ampoule du couloir. Il touche le cuisinier \'e0 la cuisse gauche. Celui-ci s'affaisse et laisse tomber sa main gauche par terre, se tenant la cuisse avec la main droite. Le tueur le regarde avancer jusqu'au l'escalier avec un regard bas.

\par

\par Le cuisinier d\'e9gringole dans l'escalier et atterrit t\'eate la premi\'e8re pr\'e9s de la chambre n\'b01. Le tueur range son revolver dans sa poche arri\'e8re et avance avec son couteau tr\'e8s grand et tr\'e8s pointu. Il s'arrete et regarde le cuisinier du haut de l'escalier puis descend rapidement et le poignarde dans le bas ventre \'e0 plusieurs reprises. Le feu d'artifice ne finit pas sans bouquet final est celui-ci est l\'e0. Le tueur prend le couteau bien serrer dans sa main et l'enfonce dans le palet, la langue et jusque en haut de l'ar\'eate du nez. Du sang coule lentement du nez

\par Le tueur se repose un instant sur les marche et retire le couteau de la gorge. Il le nettoie avec un morceau de chiffon noir et il commence \'e0 d\'e9couper le corps. Il est huit heures pr\'e9cises \'e0 la montre du tueur. Il a fini de d\'e9couper le corps et l'a mit dans deux sacs poubelles. Il nettoie le carrelage du couloir avec son chiffon et prend les deux sacs poubelles, un dans chaque main, les faisant ricocher sur les marche de l'escalier. Il arrive \'e0 une fen\'eatre o\'f9 un carreau est cass\'e9 et sort hors de l'h\'f4tel. Traversant le jardin, il s'arrete devant le chien, sort un morceau de morbac et le lance dans la gueule du boxer. La corde se tend.

\par \pard\plain\f4\fs20 Le tueur arrive \'e0 l'entr\'e9e de la foret et il jette les sacs sur l'arbre en faisant tomber un paquet d'allumettes. Il sont \'e0 5 m\'e8tres de hauteur, accroch\'e9s comme des boules de sapins. Leur couleur sont bleue et m\'eame un aveugle pourrait les voir de l'h\'f4tel. Le tueur se cache derri\'e8re un arbre, que fait-il? il cache le couteau et le flingue sous de la terre pr\'e9s du premier arbre qu'il a trouv\'e9. Il dispara\'eet dans la for\'eat.

\par }

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : DR

 

Un homme sans bouche rentre par la porte de derri}re.Stingo se retourne et le

regarde.Cet homme parle encore, se dit Stingo.

Et l'homme sans bouche parle encore.Ou plutot il lit, car il tient trois

feuilles dans sa main gauche o| sont inscrit ce qu'il pense.

 

 

Le centre de la pens{e(Le dessein pr{fabriqu{)

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Ou:la belle sensation de se trouver bloquer dans l'infini de la pens{e

 

J'ai connu des hommes ou des femmes qui m'ont fait douter de la pens{e.Comme

je les regardais, meme hativement, je me rendais alors compte que leurs

pens{es venaient @ moi avant leur sortie de leur etre, avant qu'ils ne

parlent.Meme une simple et anodine phrase comme :"Pose ce truc par terre."

Cette parole ne m'{tait pas destin{e, plusieurs personnes {taient pr{sentes

sur les lieux.Il m'est meme arriv{ qu'un ensemble de phrases me parraisse

famili}re avant leur venue au monde.Je pensais la pharse, elle sortait par la

bouche de l'autre sans que je puisse tout de meme la controler.(Le temps de

reflexion et d'accomplicement {tant trop court me donne cette impr{ssion).

Existe-t-il un centre connu o| les pens{es sortent pour venir @ nous, pour

nous satisfaire, nous faire de la peine, et nous surprendre par leurs sens ?

Le lieu, l'exactitude de mon emplacement, de mon regard {taient, eux aussi

d{j@ d{ssin{s et je les reconnaissais imm{diatement, puis ils s{vanouissaient.

Cel} ne m'{ffrayait pas, je trouvais cel@ tr{s amusant, d'une grande beaut{

et meme mes yeux, surpris par l'{clatement de la phrase, restaient fig{s par

la charmante surprise.

Je me suis trouv{ "enferm{" dans un destin, mais qui, tout de meme, me

rev}lait, une nouvelle fois l'infinit{ des choses.L'emplacement exact de mon

corps pour recevoir cet infini {tait surprenant.La chose {tait resentie comme

{tant enferm{e dans l'infini.

L'exactitude des pens{es de notre monde m'intrigue et me ravit quand je

m'imagine qu'elle sont d{j} "programm{es" (exactitude de la pens{e, de

l'emplacement de notre corps dans l'espace du lieu, et du temps qui sort du

corps et qui rejoint sa v{ritable origine, le n{ant).

O| est l'amour que j'ai pour les paroles des autres qui am}nent cet infini ?

Ceci est le vide pur, l'infini car :

-Exactitude de l'emplacement.

-Etre l'autre (pens{e)

-Amour de l'autre puisqu'etre vraiment l'autre (amour-propre concr{tis{)

 

 

Le cercle et la ligne droite(Deux mondes soit-disant impossible @ joindre).

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Le cercle est une segment dont le milieu, formant un point "hors" de ce

segment, nous intrigue plus qu'un autre et peut facilement nous attirer.Le

cercle semble ne mener nul part, il tourne en rond.La seul fa\on de s'en

sortir est de devenir, pr{cisement, le point central (avec lequel le cercle

se r{alise).On se retrouve alors enferm{.Le cercle est un enfer, une prison.

 

Le ligne droite est, et restera, la seulle v{rit{ d'une intersection d'un

autre monde.

 

Vue pr{cise de la ligne et vue impr{cise de l'infini, sur le meme chemin.

 

La mort de la disparition, l'homme objet (La chose la plus noire)

-----------------------------------------------------------------

 

La seule chose qu'il faut retenir est: "Rien ne meurt vraiment dans l'infini,

qu'il soit imaginaire ou non."

 

Stingo crie et rep}te plusieurs fois @ la suite:"Je ne vous entend pas"

 

"-Je parle aussi fort que je le peux pourtant.Mr l'homme objet."

 

L'homme sans bouche sort de la chambre et retourne @ l'arri}re de la maison."

 

 

Quand l'homme objet est assis sur une chaise.

---------------------------------------------

 

Je sais que ma chaise me d{range et que l'autre chaise @ ma gauche m'appelle.

Quand je la regarde, je me demande qu'elle est la meilleure.Celle sur laquelle

je suis en ce moment ou celle que je fixe.Elle me manque l'autre chaise et

je ne sais pas si je ne vais pas aller la retrouver.A ce momet l@, je vais

surement me demander si celle que je vais quitter ne va pas me rappeler quand

je vais m'assoir sur l'autre.Et puis il faudra que je me l}ve et que je me

dirige vers l'autre.Et puis quand je vais etre sur le chemin de l'autre, que

va-t-il se passer ? Je vais etre perdu, je vais me retourner vers la d'o| je

viens, vers celle que j'ai quitt{.Et c'est surement @ cette endroit pr{cis,

l@ o| je ne serais plus assis, que je vais me demander si je ne fais pas une

erreur.Alors je ne bouge pas, je reste sur ma chaise.L'autre continu @

m'appeler et je me sens tout de meme perdu.Peut-etre, aussi, que l'endroit o|

je ne serais pas assis va m'apporter la r{ponse ? Je me l}ve et je reste

debout.Je fixe les deux en tournant la tete rapidement vers les deux chaises.

Et l@ je me rend compte que je ne sais rien sur ces chaises.Mais o| donc

est-ce que je suis entre les chaises ? Je ne trouve plus de r{ponse.Je

n'aurais pas du partir de ma chaise.Mais maintenant je sais tr{s bien que je

ne suis plus assis, je suis perdu.

 

La seule chose qui a chang{, c'est la fa\on dont je vois le noir quand je

ferme les yeux.

 

Les yeux clos.

--------------

La nuit des yeux n'existe pas, ferm{s et ouverts, ils vous procurent des

plaisirs.Vous souvenez-vous de la fa\on dont vous raisonniez il y a dix

ann{es pass{es.Vous rappelez vous du noir de vos yeux.A-t-il chang{ ?

Change-t-il face aux jours de vos paupi}res ? Est-il vos pens{es ? Le

retrouvez-vous, pour vous {chaper, quand vous ne pouvez plus regarder ?

Vous le regardez, il se fixe, vous attend, et il ne change pas.Le fluide de

l'oeil gauche fait apparaitre des tourbillons de lumi}re et des ombres des

paupi}res ouvertes, ils se joignent au milieu.Il n'y a pas de gauche, ni de

droite, ni de haut, ni de bas, il n'y a qu'un milieu.Les ombres disparaissent et

les tourbillons persistent.

Pensez qu'il change et ne changera plus, car il se modifie pour ensuite

revenir enchanger.Ce noir est la seule chose qui vous appartie, personne ne

peut vous la prendre.Personne ne peut le changer.Vous souvenez-vous de vos

pens{es, de la fa\on dont elles arrivaient, il y a vingt ans.Ont-elles

chang{es par rapport @ ce noir, qui n'en est pas un.Ce noir a-t-il chang{ vos

pens{es ? Ou est-ce vos pens{es qui ont chang{ votre vue sur ce noir ?

Ceux sont vos v{ritable yeux.Au milieu, je vois une lumi}re.Elle ne m'{blouit

pas.Je distingue une forme, c'est un Ange.Il a chang{ le noir.Oh, je ne vois

pas ses ailes, elles ont {t{ coup{.Je les ai coup{, je le sais, il me l'a

fait ressentir.Pourquoi me sourit-il ? Je lui ai fait du mal.Peut-etre que le

mal n'est pas permanent et qu'il ne souffre plus par ma faute.Il se rapproche.

Il faut que je retrouve ses ailes, il faut qu'il vole vers moi.

 

Stingo parle tout seul :

 

Fen}tre lumineuse

-----------------

 

"J'ai remarqu{ que le jour venait de se lever.

Ma fen}tre est rest{e trop longtemps ferm{e.

Cette fenetre poss}de un petit trou,

Et une lumi}re s'en {chappe.

J'entend le souffle et quelques fois le grondement du vent.

La lumi}re danse sur mon front,

Les branches des arbres d'en face,

Munies de leurs fleurs,

Font danser la lumi}re grace au vent.

Blanche, et verte de temps en temps,

Elle se balance sur le lit de ma chambre,

Et revient sur mon visage.

J'h{site @ ouvrir ma fen}tre enti}rement,

Je la laisse juste entrouverte.

Je me rassois sur ma chaise.

Regardant les arbres se frotter les uns contre les autres,

J'apper\ois une autre maison de l'autre cot{.

Je ne l'avais jamais vu auparavant.

Une pancarte avec le nom de la rue est accroch{e contre la fa\ade :

"LA RUE DEPLACE."

Le vent souffle plus fort,

Me procurrant un frisson incontrol{.

Je monte ma vue vers une fenetre d'en face.

Elle aussi est entrouverte,

Comme si elle m'attendais depuis fort longtemps.

Trop longtemps.

Un souffle balaye mes cheveux vers l'arri}re me faissant reculer la tete.

Une femme d{nud{e se faufile devant la fen}tre.

Le soleil montre sa splendeur qui aveugle les yeux,

Et mes yeux se remplissent de songes face @ cette apparition furtive.

Je revois l'ange aux ailes coup{s.

L'ange {ssaye d'attrapper ses ailes.

Elles sont par terre et se tr{moussent,

Mais il n'y arrive pas.

Il se courbe le dos,

Tend sa main,

Mais n'y arrive toujours pas.

Montant son regard, il me fixe.

Son sourire n'{claire plus sa grace,

Son absence le rend triste et d{seper{.

Je ferme les yeux,

Le noir est de nouveau chang{,

Et je baisse la tete oubliant le souffle des arbres,

La lumi}re qui les rend si majestueux,

Et surtout la fen}tre entrouverte d'en face."

 

Stingo se sent seul, il n'ose plus regarder la fen}tre.Quelqu'un passe devant

sa fenetre.Cet homme frappe @ l'aide de son poing sur le volet gauche.Stingo

l}ve son sourcil droit et laisse apparaitre un oeil noir.L'homme de dehors lui

parle :

 

"-Bonjour, on m'a dit qu'il fallait que je vienne vous voir.Je me pr{sente,

je m'apelle Jack RED.Et vous ? Vous vous appelez ..."

 

Stingo ne r{pond pas @ la question de cet homme tout v{tu de rouge.

 

"-Mr Stingo BLACK, oui je le savais.Je peux rentrer.Je sais que je ne pourrais

plus sortir, mais l'on m'a dit de venir ici, dit l'homme habill{ de rouge.

-Partez, je n'ai pas besoin de vous.

-Vous plaisantez, certainement.Je suis ici pour vous ouvrir les yeux."

 

 

Jack regarde Stingo en d{shabillant du regard son costume noir.

 

"-L@-bas, ils disent que pour avoir la vue du milieu, il faut voir le

contraire des choses, puis revenir sur la vraie chose.Parait-il qu'elle peut,

alors, se changer en une tr{s belle chose ?

 

Jack demande timidement :

 

"-Je peux rentrer ?

-Non !! Partez, r{pond s}chement Stingo."

 

Jack baisse la tete et touche son pouce.Il se tourne vers la maison d'en

face :

 

"-Vous connaissez la femme qui habite en face.

-Non, partez.(Stingo parle moins fort)

-Moi, je la connais, elle s'apelle Annie.Elle vit avec une autre femme que je

ne connais pas.Mais vous devez la connaitre.Vous.

-Oui, je la connais.Elle s'apelle Lolita.Je viens de la rencontrer.

-Je peux rentrer.

-Oui, vous avez un fauteuil qui vous attend, je suppose.Juste @ ma gauche."

 

Jack passe par la fen}tre.Et vient s'installer @ cot{ de Stingo.

Ils ont chacun une fen}tre.Celle de Stingo donne sur une vue de la fen}tre

de Lolita mais un arbre la rend que tr{s peu visible.Stingo ne peut pas voir

l'autre fenetre celle d'Annie.Toujours @ cause de l'arbre.

Celle de Jack donne sur celle d'Annie.Jack a une chose en plus que Stingo, il

peut voir derri}re une mince branche la fen}tre de Lolita.

 

"-Je ne vous connais pas depuis longtemps, mais je vous aime bien, dit Jack.

-Moi, je ne vous aime pas du tout."

 

Stingo d{tourne son regard de Jack, attrape une feuille @ sa droite et

griffone @ tout vitesse ceci :

 

La petite conqu}te perdue de l'homme qui aime la vie.

----------------------------------------------------

On dort pour oublier la nuit.

On dort pour oublier le jour.

On dort pour ne plus exister.

On dort pour r}ver des autres,

On r{ve pour sentir les autres.

On dort et on reste seul.

 

Il ne dormira plus.

Il veut exister le jour et la nuit.

Attention, il s'endort debout.

R{vant des jours et des nuits o| il est les autres.

Il r{ve d'une vie impossible.

Il se r{veille de nouveau et ne voit plus son r{ve.

Il a perdu la conqu}te de sa tendre vie,

Etre les autres, pour pouvoir aimer vraiment sa vie.

Il ressent le vide noir du monde.

 

Il tend @ Jack le po}me.Il le lit et le lui redonne.Stingo le pose

d{licatement sur sa table et se l}ve pour fermer la fen}tre de Jack.Un

{clatement sonore vient de cr{er un recule de tete de la part de Jack.Stingo

se rassoit.Jack demande @ Stingo :

 

"-Que me voulez-vous ?

-Je ne sais pas, c'est vous qui }tes venu ici."

 

Jack baisse la tete :

 

"-Je ne vous aime plus, partez.

-Partir, je viens juste d'arriver chez-vous.Cel} n'est pas drole."

 

Un rictus se d{gage de Stingo et irrite Jack.

 

"-Je ne vous aime plus, je viens de vous le dire.Partez, ou, peut-etre

voulez-vous vous battre ?

-Se battre ? Quelle charmante id{e.Cette id{e mettait d{ja venu mais

j'attendais.On va se battre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : DR2

Le clown laisse place @ Stingo.Il {crit lentement de nouveau et rigole en meme

temps.Il fait passer le r{sultat :

Grand po}me sur "jeu de mots" .

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Seulement songe.

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Seulement une pens{e, la jeunesse physique

et on le reste.

Seulement une action, vouloir aimer

et on aime.

Seulement un pas vers moi,

et vous le faites.

Seulement une pens{e, la confiance des autres

Et on l'obtient

Seulement une action, vouloir donner

et on l'apporte

seulement un pas vers moi,

et vous le faites

Seulement une pens{e, celle des autres

et on le pense

Seulement une action, recevoir des autres

et on est tendre envers l'autre

Seulement un pas vers moi,

et vous le faites.

Seul et ne ment qu'envers rien

Et ce n'est qu'absolument songe.

 

Jack riposte.

Les anges (L'autre).

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Volatiles ang{liques,

Envolez-vous et battez des ailes.

Faites des remous dans les airs.

Vents qui m'{meuent.Vents qui me transpercent.

Souffle qui me frole le visage.

Sourire qui s'en d{gage gracieusement.

Vous etes la couverture qui me chauffe le coeur.

Jours rouges passes et je tr{passe dans les jours noirs.

Enfermement, vents glacials, vents des t{n}bres.

Sensations diaboliques, mauvaises sensations de l'espace.

Elargissement des yeux noirs et sifflement d'airs sales.

Je m'accroche, vous m'{cartelez,

Et me tirez par chaque partie de mon corps vers les tr{fonds de mon coeur.

Poussant l'ange rouge dans les roses, vous me criez dans les oreilles.

"Tu es mauvais, ta place est parmi nous.D{mon rouge."

Je vous renie.

Et je porte les roses impr{gn{es de rouge pur vers les t{n}bres.

Esp{rant vous voir disparaitre.Les roses sont vos crucifix.

Vampires, j'ouvre ma fen}tre et vous transperce de ma lumi}re.

Jour rouge revient me voir et l'ange rouge me sourit @ nouveau.

Me disant simplement :

"Je suis content de te revoir."

Et m'emporte vers l'infini imaginaire o| je ne revois plus l'autre.

 

Stingo s'amuse follement d'une fa\on abstraite :

 

Le mensonge {rron{ ?

--------------------

 

Attention je ne parle pas de moi.Je d{pend de vous.Je ne veux pas m'{couter

parler.Je vous dis \a, comme j'aurais pu vous dire l'inverse.

Je parle de d{pendance, je ne dirais pas que je ne pense pas @ l'ind{pandance.

Je vous parle pour vous soumettre l'inversion des mots.

Je vais m'arr{ter en continuant de dire l'inverse de mes paroles qui sont

souvent soumise @ la d{pendance des choses.Quand je m'arreterai, vous

continuerai @ me gager que je ne le peux pas, par cause de d{pendance de la

parole et peut-etre de l'ind{pandance de mon etre, j'y pense fortement.Je

m'arrete pour reprendre mon souffle, je ne le fais pas, je n'y arrive pas.Je

m'arrete pour mieux vous dire que je ne continuerai qu'apr{s vous dire ma

d{pendance.Je stopperai une fois que je n'aurai pas fini ou peut etre fini

quand vous serez perdu de ne plus m'entendre.M'entendez-vous continuer, je ne

parle pas s{rieusement.Non, je ne continue pas.Puis je continue.

 

Jack sent ses forces faiblir.Il se recroqueville.

 

Tableau de nature sauvage, tableau de nature morte

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La neige effleure ses poils

L'ours s'assoit fatigu{ de cette poursuite

Il penche sa gueule,

Regarde la neige qui l'{ssoufle par son froid

Ses yeux sont d{sep{r{s face @ ses deux loups.

Ils sortent leurs crocs d{goulinant de bave

L'entourrent pour qu'il n'{ssaye pas de s'{chapper.

Ses pattes l'abandonnent et l'ours se couche sur le dos,

Il ne sent plus le froid de la neige et fixe le ciel gris.

Chacun de ses haletements produit un souffle rempli de souffrance.

Souffrance physique, esp{rance d'ach}vement.

Les loups ne bougent pas,

Ils le regardent retroussant leurs queues sur leurs vert}bres.

Les quatre pattes bien implant{es, ils commencent @ aboyer de rage.

"Releves-toi en est leur signification."

L'ours reste couch{ facilitant sa respirantion

Il reprend des forces.

Ses yeux divaguent,

Les loups le regardent intrigu{es

Ils reculent, toujours leurs crocs ass{r{s par la faim

L'ours fait craquer ses pattes, les loups se rapprochent de nouveau

Il se l}ve et envoie deux coup de pattes ,

Tuant les loups par n{ss{cit{ de survie.

 

Stingo se frotte les mains laissant apparaitre des flammes.

 

La veritable louange de Dieu

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Je ne vois que soleil qui me brule les yeux

Je ne palpe que l'armertume des jours

Goudron qui m'arrache la peau,

Du haut de ma seule et grand tour

Je ne sens que tas d'os

Qui bougent aux gr{s des pens{es vicieuses

Sorciers m{langeants la mort et la vie

Je me lasse de voir vos bouches crapauteuse

Et vos visages si enfantins

Mon aveu n'est que solitude

Ma vie n'est pas le contraire

Ma mort, je n'en ai pas peur

Ma pratique est de m'effacer de la vie

Pour enfin vous voir vrais

Et insensibles aux autres.

Quels autres ?

Ils vous attirer tous vers moi,

Car de toute mani}re,

Je sais que vous viendrez me voir et me sentir,

Vous ? Oui, vous.

Vous me connaissez et,

Je suis votre veritable visage,

car je vous change et vous rechange

en ce que vous etes vraiment.

Vieillard un jour,

Mort le lendemain.

Traits plats la veille,

Traits perc{s au couteau le lendemain.

Bouche qui ne rira plus,

Vous allez tous mourir

Et vous voulez etre plus que les autres ?

Ce n'est pas vous qui riez, c'est moi.

Et Dieu sait que je ne fais que \a.

Je vous domine que vous le vouliez ou non.

Non ?

Que voulez-vous ?

Vous n'avez rien.

Rien !

Stingo tape des pieds et fixe sans rien dire Jack.Quant @ Jack il pleure.Il

quitte sa chaise et se r{fugie dans le coin droit de la pi}ce.Stingo se l}ve

et ferme sa fen}tre plongeant la pi}ce dans l'oscurit{ totale.Seul le stylo de

Jack brille.L'ange pleure.Les minutes s'{coulent lentement, les ann{es sont

fixes.Jack finit par plier le po}me en forme d'avion et l'envoie sur la tete

de Jack.Cel@ d{clenche une folie chez Stingo.Il d{ambule dans la pi}ce, se

cognant sur chaque chose.Il lit le po}me en gueulant et en laissant des train{es

de flammes sur le sol, met le feu @ son lit.

Il gueule le po}me :

 

Amour chaud

-----------

 

Vous avez chaud.

Marchant dans la rue,

Vous croisez une femme.

Vous aviez chaud.

Vous vous retournez

Vous courez la rejoindre

Elle vous a {chapp{

Vous avez de nouveau chaud.

 

Vous vous battez.

Quelqu'un vous harc}le

Rien n'est plus pr{cieux,

Que ce combat.

Vous ne voyez rien autour de vous,

Vous ne voyez plus qu'une personne que vous n'aimez pas.

Une peur de l'amour ?

Et vous avez chaud.

 

N'etes vous pas la tentation la plus dure, vous femmes ?

 

Vous ?

Aux sourires ang{liques

Et aux visages aux yeux ferm{s

De la douleur de mettre au monde

Une {toile de votre homme.

Petite {toile, petit enfant,

Qui viendra vous voir

pour vous rendre votre sourire.

L'appr{cierez vous pour toute votre vie,

ce sourire ?

 

Et vous ?

Hommes, appr{cierez vous toute votre vie,

Ces deux sourires ?

 

Ou avez-vous tous chaud ?

 

Jack se l}ve pr{cipitament :

Une peur que vous connaissez mais que vous n'arrivez pas @ controler Mr BLACK.

Pupitre d'avocat se l}ve devant moi Jack RED, et je vous condamne, VOUS MR

BLACK.Peur de l'amour.Jur{ que condamnez-vous.Peur de l'amour, une peur que

votre personne n'arrive @ combattre disent les jur{s.Prison.Prison @ Mr BLACK.

Ext{nu} MrBLACK, s'assoit sur sa chaise.L'homme sans bouche r{@pparait.Il

court, s'agenouille devant la chaise de Mr BLACK, frappe dans ses mains et se

giffle.Il rigole de Mr BLACK.Ce Mr attrappe ses po}mes.L'homme sans bouche

arrache la chaise de Mr et la traine vers la porte.L'ange apparait.Tout se

bloque dans un halot de lumi}re et il prend les po}mes de Stingo.H}las, les

ailes ne sont pas l@.Il disparait et la d{chirure continue.L'homme sans bouche

sort Mr par la porte de derri}re et la claque.Jack se rapproche de sa fen}tre

et l'ouvre, la lumi}re r{apparait.

"-J'ai chang{ le noir de mes yeux."

Une lumi}re intense {clabousse la pi}ce, la paralyse un instant.La pi}ce est

tranform{e.

 

Naissance d'un homme respectable.

---------------------------------

Un aveugle doit aimer la vue des autres

Un muet doit aimer la parole des autres

Un sourd doit aimer le son des autres qui rend son silence pur

Un homme qui a perdu l'odorat et le gout des saveurs doit aimer manger

Un homme qui n'a rien de tout cel@ manque de savoir.

 

Petit po}me {trange sur les sens(6):

------------------------------------

 

Les yeux de l'imagination.

--------------------------

 

Les yeux, paupi}res du visible

Les mains, palper le visible

Le gout, appr{cier le visible

L'odeur, senteur du visible

Ecoutez...

Ecoutez ceci: "FOUTEZ LE CAMP, petits SENS !!!"

 

Concentrez-vous,

Fermez les yeux,

Ne sentez plus,

N'{coutez plus,

Ne tournez plus votre langue dans votre bouche,

Ne touchez plus rien.

Rien, cerveau imaginaire

S{paration des parties du visible et de l'invisible

Revenez, maintenant Sensations !!

 

Sachez toucher l'invisible

Voyez l'invisible

N'ayez plus peur d'appr{cier

Ecoutez-moi, je ne parle qu'@ vous

Et enfin pouvoir, maintenant, ressentir l'invisible

Ouvrir de nouveau les yeux et voir au milieu

 

Voyez plus et moins, voyez stabilit{

Montez plus haut, voyez moins grand le bas

Montez moins haut, voyez plus grand le haut

Restez au milieu, voyez le soit-disant byzarre

 

Tombez de haut, tombez encore plus bas

Tombez du plus bas, ne tombez pas du plus haut

Surtout flottez au milieu

 

Montez plus haut

Descendez encore plus bas que le haut

Restez au milieu, regardez le haut et le bas

 

Je flotte au milieu, et tout me parait bizarre, rien n'a de haut et de bas,

tout est plat.Je ne tourne plus en rond.Je voudrais rester ici et ne plus

bouger vers les deux extr{mit{s.Flottez dans mon univers imaginaire, dans les

yeux de l'imaginaire.

Petite explication sur les yeux de l'imaginaire.Quand vous imaginez une chose

que vous voulez concr{tiser, le monde exterieur s'{vapore.Vous etes seul,

flottant, sur la chose imaginaire.Plus rien n'existe sauf cette chose.Mais vos

sensations du monde ext}rieur sont toujours l@ et vous guide vers cette chose,

d'une fa\on pr{cise;si elle n'est pas pr{cise, vous ne flottez plus vers la

chose.Pour pouvoir bien flotter et se concentrer sur la chose, il faut savoir

regarder le haut et le bas de cette sensation que vous apporte la chose.Restez

au milieu et flottez.Car si vous etes en haut, la sensation sera trop forte et

il vous semblera que vous tombez encore plus bas que le bas de la sensation.

Elle parait disparaitre et vous vous sentirez perdu.Si vous etes en bas, vous

regardez la sensation et vous vous dites:"Je n'arriverai jamais jusqu'en haut

de cette sensation (de la chose) et vous ne flottez plus.

Le seul moyen de voir le haut et le bas de la sensation et de rester au

milieu.De flotter et de r{cup{rer le haut et le bas de la sensation.

Bas = petite sensation de la chose.

Haut = trop grande et trop puissante sensation de la chose qui peut amener la

chose @ vous hanter (Ne plus avoir l'impr{ssion que la sensation est l@,

celle-ci est toujours en vous et peut venir vous effrayer si elle est noire et

vous plongerez).

On peut appeler \a palper l'invisible, le voir, le sentir, l'{couter et gouter

l'invisble.Voici donc les yeux de l'imagination.

Il existe d'autres et d'inombrables yeux :

-Les yeux de l'Odorat, les yeux de l'Ouie, les yeux du Gout, les yeux Noir,

les yeux Rouge, les yeux de la Parole, les yeux Ferm{ et encore beaucoup

d'autres, une infinit{;Le seul @ les avoir tous, et @ la perfection et...

Oh, voici notre Dieu, le juste milieu, l'infini. (Voir chapitre infini)

Notre Dieu est le gigantesque des yeux nous regardant @ travers une vitre.

Enfin...Je peux l'imaginer comme {tant cel@, notre Dieu.

 

 

 

 

 

 

FICHIER : DR6


La vieille femme le suit, elle se fait presque renverser par un cycliste qui
distibue les journaux et qui crie:

"-Encore un viol de vieille femme."

Le cycliste s'arr}te et regarde le journal :

"-AH NON !! La femme n'{tait pas vieille, elle avait trente ans environ.
AH NON !! Elle ne sait pas faite violer, c'{tait son mari.Peut-etre est-ce
toutes ces choses en meme temps."

Il continue @ rouler et crie encore:

"-Rien, pas aujourd'hui, il n'y a pas eu de meutre. Circulez il n'y a rien
@ voir ici.C'est byzare tout de meme, je suis celui qui dit qu'il y
a meurtre tout les jours et l@ je ne sais pas ce que font ces gens dans
leur maison.L@, les maisons de Mr et Mme Red et Black.
Mais que font-ils, et que veulent-ils, je ne comprendrais jamais le
clown ambulant d{livreur de meurtres.Jamais, je suis peut-etre fou.
Hep Mr, l@, oui, VOUS !!"

Le cycliste parle @ un fou dans une camisole.

"-Vous, vous me croiyez fou.
-Vous vous prenez pour fou, et moi je ne suis pas fou alors on {change."

Le faux fou prend la place du cycliste et le vrai met la camisole de force
puis s'assoit dans l'herbe fraiche du jardin de la rue D{plac{.
Le cycliste part rapidement et s'arr}te pour couper un bout de branche.Il
{ssaie de lecher la s}ve.Le fou @ la camisole se l}ve et court vers lui.
Il lui dit :

"-Vous etes fou, ne l{chez pas la s}ve de cette arbre."

Le cycliste n'{coute pas.
Le fou bouscule le cycliste et le fait tomber sur son v{lo.
Un homme avec des lunettes vient les voir et dit :

"-Ce fou qui se croit fou, entend les deux voix de sa tete mais pas celle
du milieu."

Ils disparaissent.
Les arbres arr}tent de bouger et un homme se roule dans l'herbe du jardin.
Il parle de l'amour perdu.

"-Venez approcher, venez checher l'amour perdu, approchez.Donnez le nous que
l'on vous d{livre un ange.Personne ne l'ach{te, personne ne s'en amuse.
Amour perdu aime jou{.Prenez place entre les arbres.Au fond de vous je vois
l'amour perdu, je vous donne l'ange."

Et l'ange apparut, se divise en trois.Un ange enfant vole vers la maison de
Jack, et un autre vers la maison d'Annie.Le dernier vola jusqu'@ vous.

Un hommme assis dans la pelouse fume un joint, il nous dit d'aller plus pr{s,
nous y allons.L@ !! c'est suffisament pr{s, cet homme a trente ans.C'est tout
ce que nous pouvons en dire.

"-Chutt, fait l'homme et nous montre les arbres.
-Qu'ont-ils de particuliers ses arbres ?
-Ils font un bruit {trange.Ecoutez, c'est comme le bruit du bambou, comme
une plume qu'il siffle par sa chute dans l'air quel coupe, {coutez le vent.
Mettez ces bambous sur le vent, mettez le son @ l'envers, et c'est planant.
Tout ce vent et ces bambous pour vous tout seul.

L'homme aux lunettes revient :

"-Cet homme entend la voix de sa tete gauche, mais, peut-etre quelque fois
il plonge de l'autre cot{ et entend la voix de la tete droite, cot{ de la
voix obcure.
Mais il s'en sort, alors tout va bien, mais attention @ ne pas le faire
souvent, cette voix et ses sensations peuvent s'impirer.Cet homme entend
une voix dans sa tete, mais pas celle du milieu.AH NON !! Pas celle du
milieu !!
Et eux, en haut, les BLACK et RED entendent-ils la voix du milieu ?
\a, personne ne le sait.Allez-y vous !! Faites tourner la voix dans votre
tete.
Regardez cet homme a travers{ cette plan}te en 3 jours.Il a battu un
record, non ??
Faites, faites tourner la voix dans votre tete.Tournez !! tournez !!
S'il vous plait !!
Je pense qu'il faut arr{ter cet amusement, cette voix n'existe pas.CHHUUT!!"

L'ange les survole et ils disparraissent tous.


Neuf ans plus tard, un enfant passe devant la fen}tre de Jack et tire la
langue d'une fa\on r{p{titive.Il montre du doigt le tableau de Jack.Puis
s'enfuit dans la rue D{plac{.Ce tableau repr{sente une vaste prairie o| il
pourrait courrir et bouger.Une grande prairie vivante illumin{es par un soleil
doux et chaud @ la fois.Un immense champ avec une seule personne avec vous.Ou
plusieurs, c'est vous qui choisissez.Bien sur vous allez choisir celles que
vous aimez.C'est ce que l'on peut appeler un paradis.
Mais les prairies sont dehors, il faut mourir pour y acceder comme le paradis.
C'est pour cel@ qu'il faut {ssayer d'aimer quelqu'un pour que la vie dans
votre maison soit la mieux possible.Mais les gens meurent alors qu'ils ont le
paradis dans leur maison.Mais la vie dans la maison ne sera jamais comme
celle dans la prairie.

La prairie sera toujours plus grande que votre maison.Et \a Jack le sait.
Il voit sa femme, Annie, se faire enlever par un ange du d{mon ? Non surement
pas !!
Jack sort par la porte @ sa droite et se fait enlever par l'ange de Stingo.Il
fait rejoindre Jack et Annie dans le couloir de l'infini.
L'ange d'Annie est Lolita.L'ange de Jack est Stingo.

Des ma\ons viennent d{molir les maisons @ l'aide de grosses boules, b{liers
qui fourmillent dans l'air, pendu @ un fil d'acier, et qui fraccassent murs,
fa\ades et fen}tres.Avant de la d{molir, ils trouv}rent un po}me, une sorte de
testament {crit @ l'encre rouge, couleur de son sang :

Je n'en peux plus, il faut que je sorte
Mais comment puis-je passer cette porte
La prairie n'est pas loin
Mais tout est noir, et je ne sui plus serein

Ma femme est d{j@ morte
Et moi, je le suis aussi en quelque sorte
La prairie va me r{chaufer le coeur par derri}re
(Pour ne pas me bruler)
Le vent me frollera la moele {pini}re
(C'est telement bon de fr{mir pour celle qu'on aime)
N O I R
- - - - Ca y est, c'est pour bientot
Je n'ai qu'un seul regret et c'est bien trop
C'est de ne jamais avoir eu un soleil @ moi
Je me crois Roi
Car j'ai tout de meme eu une fenetre me laissant passer un
grand rayon

Maintenant, je sort est tout devient ROUGE pour moi et je
l'esp}re pour vous.Je suis un petit rouge-george, et je
vole dans un jardin rempli d'arbres.

Jack RED
--------

 

 

 

 

 

FICHIER : DR7

 

Les ma\ons sortent Stingo des ruines.Ils le tirent par les pieds.L'un d'eux
apporte une civi}re, la pose sur les gravats, et regarde Stingo.

"-Pourquoi faut-il que ses hommes se sentent @ l'article de la mort ?"

Les cinq ma\ons mettent Stingo sur la civi}re.

"-Vous allez bien Mr ? Ne vous inqui{tez pas tout va bien se passer."

Stingo attrape la main d'un ma\on, et porte son regard sur ses yeux.

"-Je ne vais pas bien, je vais mourir, dites-moi le.
-Oui, vous allez mourrir, r{pond le ma\on en tournant le dos.Vous n'allez
vraiment pas bien.
-Vous savez, je n'ai pas v{cu."

Ils sortent Mr des ruines et passe par une clairi}re.Mr regarde le soleil
allong{ et port{ par ses ma\ons.Le vent souffle lentement.C'est une sorte de
c{r{monie mortuaire, ou plutot post-mortuaire.Le chef des ma\ons pointe son
doigt vers une chose.Trois des cinq ma\ons partent en courant vers la foret
environnante.Les deux autres continuent et arrivent @ un terrain vague.
Au milieu de ce terrain vague, un semblant de piscine.
Ce n'est pas exactement une piscine, ses bords sont en roche.Grace aux ma\ons
Stingo se retrouve, jeter, dans cette petite piscine.Enfin petite, mais tr{s
profonde.Deux hommes sont dej@ dans la piscine ainsi qu'une femme aux cheveux
noires.

"-On l'a recup{r{ dans les bois, comme vous l'avez dit."

Ceux sont les trois ma\ons qui reviennent.

"-Elle dit s'appel{ Lolita.
-Elle veut sans doute rejoindre son mari, fait le chef."

Et il la jete elle aussi.Les nombreuses vagues que produient Lolita en tombant
dans la piscine font souffrir Mr et les autres.Le haut de la piscine est @
quatres metres du niveau de l'eau.Cette eau est constament ennuy{ par les
remouds.Elle monte de deux metres, ce qui fait aller ces etres se cogner sur
les bords, puis elle redescend les attirant vers ses fonds.Cette eau bouge
sans arret.Le haut, personne ne peux arriver @ l'attraper.Meme les vagues n'y
peuvent rien.La main tendu Stingo essait, mais il ne racle que les rebords.Il
fait Noir dans cette piscine.
Quand l'eau arrive au plus haut qu'elle peut, personne n'arrive @ parler.
Mais, apr{s avoir essayer de reprendre une seconde leur souffle, quand elle
redescend elle peut permettre de lacher quelques pharses, quelques bulles.

"-Cel@ fait logntemps que vous etes dans cette eau, demande Stingo.
-Moins que vous Mr Black, r{pond un des deux hommes."

L'eau remonte.Personne ne parle.

"-Peut-etre que l'on peut essay{ tous ensemble de remonter.Non ?
-Il parait que vous maltraiti{ votre femme, il a d{truit l'amour de Jack,
acquieste un homme en montrant Stingo du doigt."

L'eau remonte.Personne ne parle.Lolita avale de l'eau.

"-Il parait meme qu'il la s{questrait dans un placard.
-Ce n'est pas vrai, dit Lolita.
-On ne parle pas de vous Mme."

L'eau remonte.Personne ne parle.Stingo avale de l'eau sal{e.

"-Qui vous a racont{ \a ? demande Stingo.
-Le chef des ma\ons, nous l'a dit Mr.
-Il parait meme qu'il a tuer son chien.
-Ouaf, Ouaf fit la femme."

L'eau remonte, un des hommes s'accroche au bord grace au deuxi}me homme qui la
pouss{ par les pieds.Stingo s'approche en sautant vers l'homme accroch{.L'eau
redescend tr{s rapidement et Stingo tombe vers les fonds.Lolita est sur les
bords, elle regarde la sc}ne.L'autre femme, apr{s que Stingo soit remont{ @ la
surface, prot}ge l'homme accroch{.

"-Ouaf, Ouaf, Ouaf aboit-elle."

L'eau monte, l'autre homme sort de l'eau et attrape les pieds de l'homme
accroch{.Il lui sert d'{chelle et sort de la piscine.
L'eau descend.Stingo {ssait d'attraper la femme qui aboit.Elle le mord, l'eau
remonte plongeant Stingo dans l'eau, la femme attrape les pieds de l'homme
accroch{ et elle sort.L'homme accroch{ en fait autant.Stingo ressort la tete
de l'eau.Lolita est dans un coin inexistant.Les deux hommes et la femme sont
entour{s par les cinqs ma\ons.
Ils sont munient de lampes torches et {blouissent Mr et Mme BLACK.Puis ils
partent tous en riant.
L'eau monte et descend.Mr et Mme n'y font plus attention.Ils finissent par
ne plus voir l'eau et arrive @ se voir.Ils sont tr{s fatigu{s et les yeux
entrelass{s, ils s'{vanouissent dans le fond de la piscine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : ENFANT1IM.P

Quand on est un b{b{, les choses nous parraissent gigantesques, quelque fois
belles et effrayantes.Une fois grand, elles sont normales.Le monde est fait
pour grandir, et pour etre grand.
Les choses belles sont @ garder et celles effrayantes @ repousser.Mais ces
derni}res s'insurgent souvent contre notre gr{ au cours de notre vie.
Petit Jack est n{ il y a 6 ans de cel@.Sa m}re est morte dans un accouchement
douloureux, et son p{re est oblig{ de travailler pour leur permettre de vivre.
Ils vivent dans leur maison plant{e en haut d'une colline.La foret est
omni-pr{sente, et effrayait petit Jack quand il {tait vraiment tout petit.Qui
n'a pas {t{ effray{ par la foret dans sa jeunesse.Se promener et avoir la
sensation que quelqu'un vous suit, puis courir sans se retourner.Sentir les
branches racler la peau des bras et des jambes.On est tous pass{ par l@.Mais
avec petit Jack, c'est l{g}rement diff{rent, il aime bien se promener.Pas
encore tout seul mais avec son p}re, durant le week-end.
Il l}ve la tete et voit ces grands pins toujours verts qui, maintenant le
fascinent.Il se demande si un jour il sera aussi grand que ces arbres, qui
meme aux personnes adultes, parraissent immenses.Le soleil {blouit les yeux de
Petit Jack et forme des ombres noires sur les aiguilles de pin qui jonchent
le sol.Elles se rassemblent par milliers.Avec ses mains, il touche l'{corse
des arbres et ainsi ils lui semblent plus familier.La vue de certaines choses
fait peur @ petit Jack, il faut qu'il les touche pour vraiment savoir @ quoi
il a affaire.D{j@ @ son age petit Jack @ une petite personnalit{, il commence
@ rever et @ refuser certaines choses, certes b{nignes et enfantiles, mais il
reve.Il apprend @ grandir en observant et en touchant.
Sa main dans celle de son p}re, ils se prom}nent tranquillement.

"-Pourquoi les arbres sont-ils si grands, papa ?
-La nature nous gouverne, et les hommes cherchent tout de meme @ la
dominer "

Peut-etre un peu compliquer pour petit Jack.

"-C'est bien ou c'est mal ?
-Je ne sais pas, fiston.
-Pourquoi y-a-t-il tant de feuilles par terre ?
-Ceux ne sont pas des feuilles, ceux sont des aiguilles de pin.
-Ah, et pourquoi sont-elle par terre ?
-Elles grandissent sur l'arbre et quand il grandit celles-ci
tombent au fur et @ mesure.
-Quand je serai grand et que je partirai loin de toi, est-ce que
je vais tomber et mourir cach{ du soleil, comme le font ces
aiguilles ?
-Non, tu ne mourras pas, tu continueras @ grandir.Tiens, je crois
que le t{l{phone sonne, dit le p}re en se tournant vers la maison."
-Oui, tu as raison, le t{l{phone sonne.
-Restes l@, je vais r{pondre."

Petit Jack se retrouve seul dans la foret.Il regarde tout autour de lui;
avan\ant sur les aiguilles qui craquent sous ses pas, il p{n}tre seul dans une
atmosph}re noire due aux ombres des arbres.Le soleil frappe sur son front,
mais, au fond de la foret, une grosse partie est soumise @ la p{nombre.C'est
terrible d'etre {bloui par une lumi}re alors que le reste est sombre et
inqui{tant; le noir devient encore plus profond et "vide".Un petit gar\on se
tient tranquilement debout devant petit Jack.Il ne mesure qu'un m}tre trente
mais semble d{gager une certaine force.Petit Jack le scrute en {tant
l{g}rement sur la d{fensive.Il penche sa tete sur sa droite et recule
instinctivement.

"-J'ai coup{ les ailes @ cet oiseau de malheur.Il faut que je l'attrappe
maintenant, dit le petit gar\on.Tu ne veux pas venir dormir avc moi.
-Je ne vous connais pas, lui r{pondit petit Jack intimid{.
-Tu apprendras @ me connaitre.Il fait vraiment chaud ici.Viens avec moi
je t'apprendrais beaucoup de choses que tu ne connais pas.Tu veux
grandir.
-Je dois rentrer maintenant.
-Je te reverais.Tu es moi, et je suis toi dans tes reves o| surgissent le
cauchemard.Ne t'inqui{tes pas, je te reverais, tu peux en etre sur."

Petit Jack, sans quitter des yeux le petit gar\on se dirige en courant vers la
sortie de la foret.Il ne sentait meme plus les branches lui racler ses bras.
Il retrouva son p}re sur le palier de la porte d'entr{e.

"-C'{tait un faux num{ro.C'est byzarre, tout de meme, car j'entendais
quelqu'un respirer @ l'autre bout de la ligne.Tu as l'air essoufl{.
Jack tu vas bien ?
-Je ne sais pas, j'ai chaud et froid.
-Va-t'allonger quelque temps.Je vais t'apporter des m{dicaments."

Petit Jack s'avance f{brilement vers sa chambre.Il retrouve une atmosph}e
qu'il aime ressentir, la s{curit{ d'un endroit qu'il reconnait.Sa bouff{e de
chaleur persist{ tout de meme et il se couche dans son {troit et rassurant
lit d'enfant.La lumi{re {teinte, il distingue sur ses rideaux en velour rouge
des formes qui ressemblent @ des animaux.Il s'amuse pour faire passer ce
malaise @ s'imaginer des cr{atures sur ce rideau, lourd et organique.Ce noir
l'aidant @ les faire apparaitre.Son p}re arrive avec un verre d'eau et un
comprim{ blanc.Petit Jack les prend d'un trait et s'endort.
Des cauchemars le reveillent au beau milieu de la nuit.Toujours avec cette
chaleur {pouvantable, ce cauchemar le fait fr{mir jusqu'@ froler son ame
ou sa sensibilit{.Il reve qu'un m{chant se tient dans l'ombre et le force @
ranger ses jouets.Ceux-ci sont d'une texture {trange, lui rapellant celle du
rideau rouge aux cr{atures imaginaires.Est-ce un homme o| une femme ? Il sent
sous sa main droite des petites bosses accrocheuses qui sont propre au velour
de sa chambre.Les jouets sont {parpill{s de chaque cot{ de ses mains, puis
elles forment de minuscules bulles et petit Jack a les mains qui glissent
dessus.Ils deviennent imprenables, et l'etre cach{ le forcer @ les ranger en
ordre.

"-A chaque place son objet, disait-il."

Son poignet se referme et il casse les jouets.Il crit apr{s l'etre en disant
que c'est impossible, ce qu'il lui demande est malsain.Que si ces objets ne
veulent pas se ranger, il les laissera @ leur place.L'homme, car c'est un
homme, lui r{pond qu'il est m{chant et qu'il va le punir, d'une fa\on o| d'une
autre.Et petit Jack se met @ pleurer.Je ne vous vois plus, mais je sais que
vous etes l@.Mes larmes me cachent la vue.La douleur me rend muet.
Et il pleure, cet homme ,il ne l'aimera jamais.
Il s'assit et se mit @ prier :

"-Faites que cet endroit sois recouvert par la neige, n'arretait-il pas
de dire @ voix haute."

Il se rendort en esp{rant que sa pri}re va se r{aliser.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : ENFAN2IM.P

Il se r{veille apr{s cette nuit mouvement{e, avec un terrible vide.il se l}ve
et va dans la salle de bain.Regardant par le fenestrou, il apper\oit les arbres
recouvert d'un manteau blanc.Il court vers son p}re, oubliant de se laver les
dents, pour lui annoncer la nouvelle.

"-Tu as vu, il a neig{.
-Oui, il y en @ trente centim}tres.Tu pourras aller d'amuser avec tes
copains.
-On pourra aller sur la pente faire de la luge.
-Si tu veux, tu iras cet apr{s-midi.Mais tu feras attention.
-Ne t'inqui}tes pas."

Petit Jack, court prendre son petit d{jeuner pr{par{ par son p}re.La
matin{e fut longue car impatient, petit Jack tourne en rond.Il ne veux pas
s'amuser avec ses jouets.Ils lui rapellent trop le cauchemard de la nuit
pr{c{dente.Il regarde par la vitre, cette chose qu'il a tant demand{.Quelqu'un
l'avait entendu.Mais qui ?
L'apr{s midi arrive enfin et petit Jack s'est pr{par{.Avec son imperm{able,
ses bottes, et un vieux pantalon,il va @ la pente, lieux de rendez-vous avec
son ami.Sa luge rouge racle la neige, il arrive et voit un voisin accompagn{
d'une fille.

"-Salut, Jack.C'est ma cousine Lolita."

Petit Jack lui fait la bise.

"-C'est un miracle qu'il ait neig{e, dit Petite Lolita.Mais je
sens que l'on va bien s'amuser.
-Je le pense aussi, r{pond Petit Jack.Tu viens souvent dans ce
coin perdu ?
-Non, c'est la premi}re fois, mais si j'avais su que tu y habitais je
serais venu plus tot.J'ai d{m{nag{ aujourd'hui meme, ma maman m'a
permis de venir.J'en avais marre, moi, de les voir, bouger des objets,
de les ranger, de les rebouger.C'est lassant, non ?
-Je suis enti}remnt d'accord avec toi, dit Petit Jack ravi qu'elle
ait prononc{ ces paroles.
-Je ne connais pas tr{s bien le coin, mais j'adore ces arbres.
-Si on y allait maintenant, dit le voisin."
-Tu peux me preter ta luge, j'aime bien le rouge, demanda petite
Lolita @ petit Jack.
-Si tu veux, j'aime le noir, je vais prendre la tienne.
-C'est gentil \a Jack, sourit le voisin."

Apr}s des heures de glisse, ils s'assoient dans un coin en bas de la pente.
On peut aper\evoir le bout de celle-ci en levant la tete.Il commence @ neiger
fortement et petit Jack sent le froid venir.Petite Lolita et son cousin
veulent faire une derni}re glissade.

"-Non, je n'ai pas envie, dit petit Jack glac{.J'ai trop froid.
-Viens, cel@ prendra @ peine deux minutes.
-Bon, mais c'est la derni}re fois alors."

Arriv{ en haut,le voisin part en premier.Petit Jack le suit et petite Lolita
en fait autant.Une branche se prend dans la luge du voisin, il d{gringole @
grande vitesse.Freinant avec sa main, il s'arrete au beau milieu.Petit Jack
n'a pas eu le temps de frener;le voisin lui sert de tremplin, et il s'{crase
sur un tronc d'arbre en d{chirant son imperm{able.Petite Lolita saute hors de
sa luge rouge.Cette luge descend la pente puis s'arr}te et coule dans un petit
ruisseau en remuant les fonds.
Terrifi{ de peur, petit Jack se releve et prend sa luge dans ses mains.Il
avance vers le voisin et le frappe en pleine tete @ l'aide de la luge noire.
Petite Lolita lui hurle d'arr{ter, mais petit Jack n'entend plus rien.La
souffrance l'aveugle tellement qu'il ne se rend pas compte que Lolita et son
cousin, couvert, de sang partent en courant.Pauvre petit Jack s'{croule par
terre.La neige a commenc{ @ le recouvrir enti}rement, quand une demi-heure
plus tard, il reprend ses esprits et rentre chez lui en passant par les bois.
Petit Jack avait trouv{ petite Lolita tr{s sympathique et tres belle.Il se
demande :

"Si je revois Lolita, sera-t-elle aussi belle ?Si je la retrouve aussi belle,
c'est qu'elle est vraiment belle."

"-Mais que s'est-il passer, dit le pere de petit Jack.Tu saignes.
Montre moi ton {paule.Qui t'a fait \a.
-C'est Paul.
-Le voisin.Mais il est tr{s gentil ce gar\on."
-Ouais... J'ai une question a te poser.C'est maman qui m'a mis au
monde ?
-Oui, et alors ?
-Est-ce que c'est elle qui va me retirer la vie.Et si c'est vrai
comment va-t-elle faire puisse qu'elle ne m'a jamais connu ?
Comment va-t-elle savoir a quel moment je dois mourir ?
-Arretes de dire ce genre de chose."

Petit Jack retourne dans sa chambre et s'assoit sur son lit d'enfant.Il se
raconte une histoire le m{langeant lui et petite Lolita.Et si @ chaque fois
que l'on avait peur, on vieillissez.

Voici son histoire.
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FICHIER : ENFAN3IM.P


A cette epoque l'herbe {tait verdoillante et le ciel se perdait jusque dans
de lointaine montagne enneig{es.Nombreux disaient que la vie se vivait jour
le jour.Marchant d'un pas lent, son sac d'ecolier sur le dos, Jack faisait une
fois de plus le trajet maison-coll}ge;l'oppressant college.Il s'arr{tait de
temps @ autre pour v{rifier, dans un r{troviseur de voiture, que sa coiffure
{tait bien sur sa tete.Personne ne pouvait le voir et lui dire que OUI il
{tait bien coiff{, ce qui l'aurait irrit{.Personne n'{tait l@.
Et puis peut-etre meme que les gens s'en aurait fichu de lui, surtout un matin.
Arriver devant le college, des groupes s'{taient d{j@ former.Il dit "bonjour"
@ quelqu'un d'entre eux, avec un sourir force par le soleil qui vient juste de
se lever.C'est la rentr{e de classe aujourd'hui.De nouveaux visages et de
nouveau monde.L'appel se fait dans le calme meme si les anciens {l}ves se
retrouvent et parle de tout et de rien.De la vie {ternelle a leurs yeux.

"-Tu as vu la fille derriŠre toi, dit un ami de notre jeune homme."

Il se retourne et la regarde avec int{ret.Cheveulure soignee et yeux verts,
habill‚e jeune.

"-Oui, je l'avais d{j@ remarquer, il baisse son regard.
-H{, on t'a apelle, lui dit son ami."

Dans quel classe je vais tomber se demande-t-il.Et le repugnant destin frappe
encore, car la septi}me personne a etre apelle est cet fille, qui ressemble
{trangement @ Lolita.Les rangs se forment comme brebis obeit au chien qui les
guide.D'un regard discret il se retourne vers elle.Mince,elle le regarde !!
Que peut-il faire se retourner @ nouveau, non c'est trop facile pour un
imb{cile, et il ne la regardera plus de toute la journee.Tu me fais tourner
la tˆte,peut-etre demain;j'ai mal @ cette tete.
Un chant de coq pour un nouveau jour.Jack, notre jeune homme se r{veille.
Il s'{tire et se l}ve.Ton indiference ne me touche pas.
Dans la rue, comme les autres jour, il n'y a personne.A part un homme qui
s'avance vers lui.

"-Je sais que vous ne me connaissez pas et que vous ne voulez pas
entendre mes idioties, mais il faut que je vous parle."

Que veut-il ?

"-Je suis rest{ des heures dans une pi}ce avec une femme, {coutez moi je
vous en prit.Moi, et elle on s'est embrass{ sur la bouche et sur les
{paules...Pendant des heures d'affil{es.Elle et moi, vous voyez,
embrasser.Mais je ne l'aime pas.Dit-moi ce que je doit faire, je vous en
prit."
-Idioties ?"

Et Jack s'en alla, laissant cet homme debout qui n'arretait pas de bouger
lentement de gauche @ droite,il se balancait.
Jack se mit @ courir.Et arriva dans sa classe sans avoir verifie sa coiffure.

"-Excusez moi, mais un imbecile m'a retenu ce matin.
-Qu'avez-vous sur votre jambe, dit le proffesseur de francais qui,
d'ailleur, est une femme."

Il regarde sa jambe et d{couvre un ruban rouge accroche.

"-Cel@ ne fait rien asseyez-vous."

Il s'assit et plongea dans ses pens{es.Mais retourne toi, Lolita est dans le
fond de la salle.Oui, derri}re.Voil@ qui est fait, il s'est retourn{ et ne
fait plus semblant de regarder le tableau de cours.Elle est @ 5 m}tres de lui
et le regarde.Pendant au moins trentes minutes, enfin pour lui cel@ @ durer
trentes minutes, Jack n'a pas arr{te et Lolita non plus.
C'est mercredi aujourd'hui, et il ne travaille que le matin.Encore la rue qui
m}ne au coll}ge.Et l'homme est encore l@, il se balance toujours.

"-Vous avez la r{ponse, lui demande l'homme.
-J'ai regard{ une fille hier, pendant de longues minutes, ses yeux
semblaient brill{s et j'ai entendu une petite voix en sortir, vous
savez la petite voie que l'on a dans la tete, et elle me dit"je t'aime".
-Je t'aime ?
-Oui, mais je ne sais pas si elle a vu et entendu la meme chose que moi
dans mes yeux.Pourtant je le pensais fortement."

Il {tait remplit de songe;peut-etre ridicule.Est-ce moi qui est forme cette
voix.L'amour que j'ai pour elle l'a-t-elle form{.Pourtant je ne l'ai jamais
entendu ailleurs, jamais.Je ne l'ai vu qu'avec elle.Il cherchait la r{ponse,
il se retourne pour la demander @ l'homme maintenant derriere lui.Mais non
il ne l'aura pas.
"je suis sur qu'il ne l'a pas,pensa-t-il."

Il dit bonjour @ ses amis, quand Isabella s'avanca vers lui.

"-Alors,on a bien dormit !!!"

Elle lui dit cette pharse avec un sourir glacial qu'il lui heurta son coeur.

"-Qu'a-t-elle de bon matin ? demande-t-il @ des copains."

Ils lui sourient et de quel sourir?Est-ce qu'elle joue au meme jeu que lui.
Ils ne se regard}rent plus de toute la journ{e, ou seulement furtivement mais
ce n'{tait pas assez.
Il a neig{ aujourd'hui, et les montagnes au loin en sont recouvertes.Il fait
sombre et les reverb}res sont encore allum{s.Les quelques arbres tranchent la
neige de leur noirceurs.Un vent se l}ve et brise des branches qui tombent par
terre en faisant une trace ind{lebile.On ne revient pas en arri}re avec le
blanc @ moins qu'il en retombe.
Si cel@ endort tout le monde quand le temps est lourd, Lolita en pense
autrement.Elle fait "l'imb{cile" et glisse sur une plaque de verglas.Elle a
l'air de s'etre fait mal car elle se tient la jambe.
Jack ne fait rien et la regarde.Les autres personnes rigolent et se moquent
d'elle.

"-Avec le cul que tu as, cel@ n'a pas du te faire tres mal."

Jack envoit un coup de poing @ ce jeune homme en lui fracassant la joue.Sa
tete se cogne sur une vitre et la fait exploser.Des bouts de verre tombent sur
la neige en la d{coupant.
Lolita ne dit rien.Ils s'en fichent royalement de blesser les gens.

"-Oui,arrete,elle n'a pas un si gros cul,comme vous dites, que cel….

Elle lui sourit en ayant comprit ce qu'il a voulut dire.Sacre Willem.
La neige a fondu et le soleil brille sur les lointaines montagnes enneig{es.
En haut, il en reste, et ca fait mal au coeur.

"-J'ai une copine avec qui je sort mais je veux sortir avec une autre
qui me plait plus, dit-un enfant dans la classe en se balancant sur sa
chaise."
-Qu'est que tu en pense Jack ?dit-Isabella a qui la question {tait
pos{e."

Jack sourit et elle le regarda @ nouveau d'un air interrogateur.30 minutes
non @ peine dix secondes.Choqu{ ou intimid{, elle se rassit en aillant ses
yeux qui divague.Le cours de math est pass{.Elle se recoiffe en faisant
s'{lance ses cheveux dans l'air.Ce spectacle ne laisse pas indifferent Jack
qui trouve cel@ d'une grande beaut{.
Comme dans tout les coll}ge, les couloirs sont inombrables et ressemble @ des
tunnels ou a des sorte de vaisseaux sanguins qui innonde notre cerveau.


"-Elle a dit oui, crit une fille en courant."

Il n'y a plus de neige nul part.
Jack est avec un homme qui se balance.Jack a des idees noires.Mettre le feu au
coll}ge en forme de cerveau et se balance.Danse autour d'un feu.
L'ann{e tire @ sa fin.Ton indifference ne me touche plus.
Il aime bien le basket et il est le capitaine de l'{quipe.Choissir son {quipe
rien de plus dur.Lui,elle,lui,lui,et Lolita.

"-Moi."

Elle.

"-Tu aurais pu choisir quelqu'un d'autre, je ne l'aime pas cette fille,
lui sort Lolita vis @ vis d'une autre fille de l'{quipe.
-Moi non plus mais je ne savais pas qui prendre.
-Tu aime etre le cap'taine !!"

Toujours les pharses {gnimatiques.Que veut-elle ?Je ne sais plus.Demande lui?
Non je ne peux pas.Je suis un imbecile.La connerie a bon dos.
Est-ce que c'est les branches, qui tombent sur la neige, qui parlent ?
Jack saute bien en longueur.4m70 c'est bien non pour 16 ans ?

"-Il m'{coeure,ce type."

Il passe en seconde, brevet des coll}ge reussit
Adieu ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : ENSOLLEIL.E

Amour ensoleill{
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Le soleil fait l'amour avec la plan}te N{buleuse.
Quand nous faisons l'amour,
telle la plan}te n{buleuse avec le soleil,
Ils nous montrent dans quel infini ils sont.

Ils nous montrent que la plan}te n{buleuse est l'image du soleil
Le soleil tombe amoureu de celle qui lui ressemble
Il est N{buleux et l'autre terre qu'il imagine
Il aime la plan}te N{buleuse et lui envoit son image.

La plan}te n{buleuse re\oit cette image, la retranscrit
Mais ne sachant pas qui elle est,
Le soleil ou la plan}te ?

Se perdre dans l'amn{sie,
Le soleil ne sait plus si ce qu'il sent est lui ou non
Se perdre dans l'amour,
L'amour divin est de se retrouver dans le meme infini
Ne plus savoir qui est qui.

De cette amn{sie tout les contraires sortent.
Ils gardent leur amour parcequ'ils ne savent toujours pas.
Est-ce moi qui donne o| est-ce lui ?
Que puis-je lui donner qu'il ne m'ait pas dej@ donn{ ?

Mes souvenirs me for\ent @ revenir @ n'}tre qu'une goutte d'eau,
Glissant sur une feuille d'arbre.
Une femme m'avale quand je tombe
Elle dit juste :

"Allons dormir.
J'ai comme l'impr{ssion que ma tete a tourn{ autour d'un soleil
Je vais juste faire un tendre r{ve."

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : FIN DOUG.NUT

FIN DE DOUGHNUTS
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-agent du fbi assis sur son lit de face avec photo derriere,il se tourne
pour voir la photo.
-photo.
-rire homme cigare.
-fondu.
-assis,il prend son impermeable.
-de derrirere ,il va vers la porte.BANG.Il sort son flingue et sort de la piece
-Dans couloir de face,il fait attention.
-de face,le meurtrier court dans cambre BCBG.
-de face.
-de face ,il voit le directeur sortir precipitament de la chambre dans face.
-de face,il lui fait signe de s'arreter.
-il s'arrete devant la porte du BCBG.et BAANG.
-de face le fbi court et s'arrete a l'escalier et regarde le directeur
-le directeur mort.
-de face ,il rentre BCBG,
-de face dans chambre,il regarde la piece.
-traveling piece,fenetre avec corde.
-de derriere il avance et commence a descendre.
-de dehors ,il descend
-de derrire ,il disparait dans la nuit.
-voiture qui freine brutalement.
- medecin legiste en sort de face.
-entre hotel.precipite.Apele-moi l'agent du fbi.
-receptionniste,mort,de loin puis de pres.
-cage d'escalier d'en haut,il monte traveling,il regarde en bas.
-directeur mort.
-il se retourne et voir ,une porte ouverte ,il entre.
-de face
-aveugle mort.
-il sort ,des chiotes,et va dans la chambre du BCBG
-de plus pres ,il crie.
-de dehors ,fbi dans foret ,il avance avec son flingue
-faire voir ce qu'il voit
-il avance jusqu'a camera,il retse un moment puis quelqu'un l'etrangle et lui
mais son flingue sur sa tempe.
-de plus loin il se debat ,lui prend le flingue et le fait tombe par terre.et point
son flingue vers lui.
-de profil fbi,
-meutrier.
-fi
-meutrier qui sort un couteau.
-fbi qui tire
-meutrier
-de face fbi
-meutrier de face
-fbi qui se penche.
-meutier enleve cagoule de face en plongee.
-contre plongee fbi.
-de face normale;il se releve la tete et dit -c'est vous.
-fondu
-homme cigare-"vous savez qui je suis ?".
-1ermort-"Beautiful cow boy beautiful girl,BCBG"
noir
generique.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : FINDR

 


Quand les yeux de l'imaginaire se referment.
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(Le contraire)

Le ciel se quadrille devant mes yeux.

Il se d{coupe en d'infinies petites parcelles.

M'engouffrant dans l'une d'elles,

Je reviens vers un semblant de vie

Ou tout les contraires sont possibles

Rien n'a de d{limitation ou semble ne pas en avoir.

Jaillissant sans limite,

Je n'appercois pas le fond de ce rien

Je le pr{ssent sans le voir,

Je me referme vers mes limites.

Bombant le dos,

Je me rend compte que je ne peux rien attraper

L'infini rien veut s'{chapper

Il s'appuit sur nous pour prendre son {lan

Sortant du quadrillage.

Je tend la main, le ciel est trop haut.Vraiment trop haut.

La prochaine fois que je le vois,

Il reviendra pour me chercher,

Pour m'emmener avec lui.

Et si cette fois je n'en veux pas,

Il m'arrachera du quadrillage

Et me conduira vers le ciel.

Ou je perdrai vie des autres,

Et certainement pas la mienne.

Ne dites plus quand quelqu'un meurt :

"Il est mort maintenant."

Mais dites plutot :

"Il a quitt{ la vies des autres maintenant."

Maintenant ?

Juste une histoire de temps.
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L'imagination est une drogue dangereuse
Qui peut vous enfermer mentalement.
Mais elle est aussi une chose diabolique pour vous liberer
La seule chose @ voir est le contraire pr{cis des mauvaises choses,
Et ces choses vous paraitront chang{es,
Quand vous y reviendrez.
Vous verez le juste milieu des choses.
Le pass{ nous @ fait vieillit,
Le pr{sent nous fait vivre,
Le futur doit nous faire rajeunir,
Vous cherchez le juste milieu ?
Regardez plus haut !!
Vivre.
Vous souvenez vous des arbres ?

DAMIEN ANRES
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FICHIER : FINDR2

P.S: Si vous voulez {ssayer la non-pens{e, il faut arriv{ @ "sentir" la
non-sensation qui est (par exemple) tel une feuille morte qui tombe d'un arbre,
tel une feuille verte accroch{e @ cet arbre.Ainsi le milieu d{couvre un arbre.
Ce n'est pas la mort, mais la feuille morte laisse place @ une autre feuille
verte.En quelque sorte, c'est ce que l'on peut appel{ n{ttoyer sa conscience.
Je ne sais pas si il faut suivre un chemin pour vider toutes les mauvaises
sensations avant de pouvoir faire la non-pens{e.Je ne sais pas si les
mauvaises sensations emp}chent de faire la non-pens{e.Je ne sais pas si je
dois vous dire tout cel@.Je ne sais pas si vous comprenez.Mais je vais quand
meme continuer.
Pour atteindre ceci, il faut etre dans un complet abandon, (S'isoler du monde,
le faire pendant la nuit, pas le moindre bruit, cel@ fiche tout en l'air, et
fermer les yeux).
Prendre une position convenable, avoir une respiration lente et se concentrer.
Pour sentir la non-sensation, cel@ prend @ peu pr{s 10 @ 20 minutes.
Quand vous la sentez, cel@ veut dire ne rien sentir, c'est comme un tourbillon
impossible @ arreter, cel@ fait tr{s peur (Ici, on a tendance @ ne pas vouloir
aller plus loin et ouvre les yeux).
Ce qui arrive apr{s ce stade est impossible @ d{crire.
Quand j'{tais dans ce stade, un appareil radio {tait @ mes cot{s.Et le fait
que j'{tais dans cet {tat, la musique (alors que la radio {tait {teinte) est
venue dans ma tete.Et il y eu beaucoup d'autre chose ensuite.
J'avais l'impr{ssion d'etre un immense r{cepteur, et cel@ @ durer 5 jours.
5 jours pleins de suprises.Non !! je vais m'arreter l@, c'est stupide.


 

 

 

FICHIER : FRED

Vue du soleil puis descendre sur un homme couche sur une chaise longue qui
jonche un pre, traveling avant sur l'homme qui se tient la poitrine.
Gonflement d'une bulle de shewing gum.
Suite du traveling avant sur l'homme il a sa main pose sur l'emplacement de
son coeur.
Explosion de la boule de shewing-gum.
Visage de l'homme qui se crispe.
Plan d'un ciseau qui s'ouvre et qui se ferme.
Un petit garcon s'amuse avec ce ciseau, une petite fille s'approche de lui et
le regarde alors qu'il son dans une allee jonche d'arbres.
Main du petit garcon qui la pousse.
Panoramique gauche sur la fille qui part derriere un arbre de l'allee.
Visage du garcon qui leve le regard sur la petite fille.
Fille qui se cache derriere un arbre.
Visage du petit garcon qui la scrute.
Visage de la fille qui sourit a moitie camoufle par l'arbre puis elle se
recache derriere.
Plan plus eloigne de l'arbre.
Visage du garcon qui se baisse sur le sol.
Plan du ciseau qui se ferme.
Plan de l'arbre.
Plan d'une branche accroche sur un mur eclairee du cote gauche.
Plan de fumee de cigarette.
Plan trouble et noir du cote gauche d'un cendrier.
Oeil d'un homme qui s'etire l'oeil droit et qui a l'oeil gauche clos.
Plan de l'homme assis sur un lit s'etirant l'oeil gauche et l'oeil droit clos,
derriere lui la branche eclaire du cote droit, la partie droite est dans une
semi-penombre.
Homme qui se leve et sort par une porte qu'il ferme brutalement, zoom rapide
sur la porte.
Mouvement rapide de spot vers une femme qui danse dans une foret.
Plan de la femme qui danse avec faisceau de lumiere allant sur elle.
contre plongee sur les branche des arbres.
Ciel etoile avec lune.
Panoramique de haut en bas sur une escarbille et un feu avec une personne qui
l'atise.
Plan de la femme qui touche un rideau d'eau avec sorte d'oiseau qui passe
derriere, seul le rideau est eclaire.
Plongee de l'homme couche dans l'herbe, il se leve.
Plan ou il avance vers la camera avec arbre derriere.
Plan de l'homme qui se leve et va a la fenetre.
Plan de son visage de la lumiere passe devant ses yeux.
Plan de ses yeux ou la lumiere passe.
Plan d'une femme qui danse derriere une branche garnie de feuilles, on ne vois
que les pieds, travelling sur le base de la branche.
Plan de l'homme qui prend une scie de la chambre.
Plan de l'homme passant avec une echelle.
Plan de l'echelle qui se pose sur l'arbre.
Panoramique montant de l'homme sur l'echelle.
Plan de la scie.
Plan des jambes de la femme derriere les feuilles.
Plan de la scie qui se pose sur l'arbre.
Plan des yeux de l'homme.
Panoramique des jambes de la femme vers les feuilles de l'arbre.
Plan de la scie qui commence a couper.
Plan eloigne de l'homme qui coupe et des jambes de la femme et du reste de son
corps derriere les feuilles.
Plan de l'echelle qui bouge.
Plan de la scie qui coupe.
Plan de l'echelle.
Plan eloigne de l'echelle qui tombe et de l'homme qui se retient de tommber en
s'accrochant sur la branche avec la main gauche.
Plan rapprocher de la main droite qui bat les airs.
Plan du bras qui bat de l'air.
Plan d'une gifle d'une femme a un homme.
Plan eloigne de l'homme qui s'accroche a la branche.
Panoramique verticale de la main ou l'homme se tient vers la scie.
Plan de la main qui reste sur la branche et du bras qui s'en va.
Plan eloigne de l'homme qui tombe.
Plan de l'homme qui tombe par terre dans les herbes.
Contre plongee sur l'homme par terre avec le bras qui gicle du sang, vue de
la main sur l'arbre.
Plan de la main sur l'arbre avec nerfs de poule et os.
Plan du visage de l'homme qui a le regard vide.
Plan des jambes de la femme qui s'eloigne.
Plan de l'homme alonger dans l'herbe et personne qui arrive avec civiere.
Plan de la civiere qui s'eloigne et sang qui s'ecoule.
Plan rapide du visage de l'homme.
Plan rapide ou il coupe un gros shewing-gum en deux et y met l'empreinte d'une
cle envers et endroit de l'autre sur les deux partie du shewing-gum.
Plan d'un lit ou l'on pose l'homme, avec branche derriere, l'homme se leve
doucement va pour touche la branche avec sa main droite.
Plan de la main qui touche la branche morte et feuille qui revient.
Plan d'une autre feuille qui revient.
Plan du visage de l'homme.
Plan dune autre feuille qui revient grace a son doigt.
Plan du visage de l'homme.
Plan de l'homme et de la branche avec tous ces feuilles, l'homme la regarde.
Plan rapproche de la tete de l'homme qui tourne la tete.
Plan de l'homme qui sort en courant de la piece, il laisse la porte ouverte.
Plan de l'homme qui court a l'envers vers la salle de bain.
Panoramique du visage de l'homme vers le visage de l'homme qui se reflete dans
le miroir.
Plan du film que l'on passe a l'envers.
L'homme est couche sur une chaise longue au milieu d'un champ il se tient a
l'aide de la main gauche l'endroit du coeur, du sang s'ecoule de celui-ci,
Travelling arriere.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : GAMINERI.E

Ce jour l… il y avait un soleil de plomb.38ø pour etre precis.l'asphalte etait
brulante,il etait impossible de marcher dix minutes sur cette route sans voir
ses chaussures chauff‚es a une vitesse grand V.Elle etait goudron‚e mais
les voitures ne passaient que tres,tres rarement.Il fallait etre fou pour
sortir par une chaleur pareil et en plus marcher de longue heure.Mais cet
homme la fait,et du reste il en est mort.Depuis deux jours.Il avait juste eu le
temps de se coucher sous un arbre.Pas se coucher mais s'ecrouler plutot.On
l'a retrouver il y a peine deux heure,alors qu'une pluie torrentielle s'abatter.
-Monsieur,monsieur reveillez-vous,dit un jeune homme.
Il lui prend le pou.Ce n'etait pas neccesaire vu son aspect violet et ses yeux
convultionnes.Les flics sont venus,ainsi qu'une ambulance.Cause du deces
insolation.(Pas etonnant)Personne ne sait qui il est et plusieurs semaine sont
pass‚s sans la reponse a cette question enigmatique.
Des affiches pas plus grosse qu'un tracte on etait distibu‚ dans la rue d'avigon
Jusqu'au jour ou une femme arrive;on l'ammene a la morgue pour la confrotation.
L'atmosphere a l'interieur etait calme, et curieuse.Il y regnait une paix
divine.Vous avez deja vu un mort.Generalemant quand on entre dans une piece
ou un cadavre est instale,on a une impression de calme que j'amais on ne
ressent nul part,et quelque soit le cadavre;meme si vous ne connassez pas cette
personne.Un bruit de chariot se detache.C'est la sorte de coffre-fort qui
contient le tresor de mon histoire.La femme le regarde.Les moindres rides
du mort sont passe au scanner.
-On a estime son age … 55 ans,dit le surveillaance de la morgue en regardant
ses fiches.
-Vous le reconnaissez ?dit- l'inspecteur de police.
-Oui,c'est lui.Meme en etant mort,il a toujours son visage creu qu'il le
caracterise.

 

 

 

 

 

FICHIER : GARDENBLACK

Tout commenca lorsque j'ai rencontre cet fille,resplandisante et plein de fraicheur.
Il n'y avait plus qu'a l'arrosser;nos regard se sont croiser.On marchait chacun
de son cote.Mon coeur battait,pres a exploser.La rue qui nous separaient ete deserte.
Il fallait que je sache qui etait cette fille.Que voulait elle vraiment a me regarder comme elle le faisait?
J'etais empli de songes et je ne savais pas comment les caracterises,comment les
comprendre,les exteriorises.
Je decidais donc de rentrer chez moi et de ne jamais oublier son visage.
Le lendemain matin,alors que le facteur etait passe.Je me pricipite vers la boite aux lettres.
J'ouvrit la seule lettre qui y etait,elle contenait une graine pres a germer.
Des mois,et des annees ceux sont passee.Je revoyait de temps en temps cette fille,
mais jamais je n'eprouva le sentiment de la premiere rencontre.
J'etait pauvre;j'habitait alors dans un grenier,sale et minuscule.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : HORYZON

Horyzon d'amour perdu.

O| est l'ange de l'amour perdu ?
Il est parti dans l'horyzon
J'y ai mis un trait dessus
qui refl}te un volume
Ces ailes en grattant les recoins de ce volume fait enflamm{ mon coeur
Cet ange j'y met un trait dessus @ tout jamais, il sera perdu dans mon horyzon
@ tout jamais
Il ne me fera plus rizete.
Il fera battre seulement mon coeur, quand je plongerai dans l'horyzon de son
amour.
Infini en est sa Grace.
Sa grace est cet amour perdu.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : I

 

Que sommes nous et o| sommes nous ?
Comme le dit Pascal : il existe l'infiniment petit et l'infiniment grand.
O| somme nous ? Je pense que nous sommes entre les deux.Nous percevons les
deux "extr{mit{" mais nous sommes toujours au milieu.Le cerveau doit r{agir
sur ces deux faits, il doit se comparer @ ces deux chemins.Ainsi les deux
chemins doivent se croiser en nous et nous obliger @ y r{flchir.
Nous ne sommes pas le plus grand n'y le plus petit, nous sommes des embryons
des deux.Nous ne pouvons, ni agir sur le grand, ni sur le petit.Certes nous
pouvons les d{truire phyquement, mais mentalement ils subisteront toujours.
Comment se reflete en nous ces deux chemins ?
L'exterieur nous forme, il est donc oblig{ que nous nous sentions bloqu{s par
cet exeterieur qui diverge de nous.Ceux qui nous parrait normal ne l'est pas,
car elle se fonde en nous pour que l'on le voit comme tel et si il n'est pas
comme tel nous le refoulons.Ce qui cr{e les tramatismes sont les illusions
du monde exterieur.Tout cel@ est tr{s simple, mais mene beacoup plus loin.
L'infiniment petit est en nous, il existe en nous.Si il nous attire sont
pouvoir nous retient, et nous enferme.La peur est le plus petit.Pour combattre
cette peur(mort et vivant n'est pas physique), il faut la voir comme {tant
l'inverse de nous.La peur est n{ dans l'animal de notre etre.Nous ne sommes
pas animaux nous sommes des animaux qui r{fl{chissent.Ce qui consiste @
enlever la peur consiste @ enlever l'animal de nous.La peur n'est ni dans le
pass{ ni le futur, elle est dans l'ex-animal.Animal est un etre qui veut
garder ses biens, il veut ses droits.L'homme n'est pas intt{ligent, il est
malade de devinir int{ligent, d'enlever l'animal.L'homme quand sa peur arrive
ne peut pas la d{crire, car il ne veut pas voir l'animal.Quand vous enlevez
la peur, l'animal disparait.Comment enlever la peur ? Imaginez ce qu'elle est
cette peur ? Vous la voyez cette peur ? Peur de ne plus exister est animal.
L'existance est objet.La peur n'est pas objet, elle n{ de l'objet mais n'est
pas un objet.La peur n'est pas existance.L'infiniment petit est l'animal,
Nous, humain sommes n{ dans l'infiniment petit notre futur est d'etre
infiniment grand.
La pens{e n'est pas le futur, ni le pass{, ni le pr{sent, elle est l'infinment
grand.La pens{e ne parait pas exister en elle-meme, elle n'existe pas
reelement dans notre cerveau, elle n'est donc ni pass{, ni futur, ni pr{sent.
La pens{e ne vieillie pas, elle ne use pas.
La m{moire est la pens{e, elle est comme la pens{e, donc elle est la pens{e.
Pour vraiment voir la pens{e, il faut voir le contraire de ce que je viens de
dire.Pas le contraire en m'{tant des n{gations quand il y a des affirmations,
ou l'inverse.Il faut voir l'inverse.Car la pens{e n'est pas affirmation ni
n{gations, elle est abstraite de toute chose.Si quelqu'un vous dit que la
pens{e est ceci, elle n'est pas cel@.Elle est le milieu de toute chose.
Si vous avez peur, ou si vous etes heureux, cel@ n'est pas votre pens{e.Votre
pens{e sort de ces deux choses vers l'infiniment grand.
Ceci est la non-illusions, ceci est ne plus etre animal, ceci est etre
humain.
L'amour est la pens{e de vous meme, la pens{e ne vous apporte que l'amour.
L'amour est votre pens{e et si vous n'aim{ pas, vous vous d{tester vous meme.
Vous avez peur de vos pens{es , l'animal revient.Car la haine est dans votre
animal.L'amour est donc l'infiniment grand car elle est la pens{e.
Nous ne sommes pas l'infinment grand, nous ne sommes pas la pens{e, nous ne
sommes pas l'amour.Nous sommes un m{lange, nous naissont en batard.Il faut
donc se pencher sur la pens{.Le seul chemin que l'on peut connaitre est
l'amour mais cet amour est aussi abstrait.Il faut donc voir le monde comme
n'existant pas, est cel@ est l'amour.L'etre humain est fait pour ne pas
exister dans son existance.Car la vie est un hasard.
Ceci est la peur.Quand vous aurez per\u cette peur, vous percevrez le monde
diff{rement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : IDEEUNI.VERS

Apr{s avoir explorer le puit de Lolita(Annie), Jack se sert d'un ballon gonfl{
@ l'amour pur pour remonter @ la surface.L@, un rouge-george(Stingo) va
l'aider @ atteindre le champs ensoleil{.
Be carreful Lolita !! Des amants noirs ont p{n{tr{ dans le continum de ton
amour.
L'espace du rouge-george est propre de tout scrupule.
Bien souvent quand on explore le puit d'un femme, on tombe sur un monde rempli
d'indulgence mais, h{las, de rancoeur d| aux amants noirs.La seule solution
est de se cr{er un amour pur(assemblage de solicitude et de passion nettoy{e)
et ainsi de s'accrocher @ son soi-inverse pour acceder @ un amour perdu(reste
de la m{chancet{ r{ciproque du puits profond des amants noirs qui se cache
dans le monde rancoeur) qui flotte autour de la carapace humaine qu'un ange
(femme ou homme parfait) a collect{ et peut vous donnez d'une fa\on purement
royaliste(Je te le donne @ condition que tu explore la profondeur !).
Tout ceci n'est pas sexuel, je ne me l'avoue pas !!!

P.S : L'ange qui recolte l'amour perdu est traduit sur le dessin( fort bien
tripatouiller !!) par les empreintes de mes mains car je suis un homme parfait.
Autrement dit, je suis un ange qui attrape et recolte l'amour perdu.C'est un
sensation fort bien {trange.

"Une id{e, quand elle murit peut se d{sagr{ger mais, le principe de base est
le meilleur qu'il soit.C'est @ vous de savoir la controler.Votre univers vous
appartient."

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : INTRORED.IMP

 

E S T - C E I R E E L ?

ATMOSPHERE
----------

Quand vous etes seul dans une pi}ce et qu'une personne entre,vous la regardez.
Quelque chose passe d'elle en vous.Cel@ cr{er des sensations.Comme une graine
qui grandit au fond de vous.Votre esprit la change en cel@, en une graine.
Il faut savoir d'o| vient cette graine.
Cette sensation s'amplifie et toute la pi}ce est envahie par une atmosph}re
{gale @ cette personne.Son monde a prit place, et petit @ petit, va se joindre
au votre.Seul LA personne va semblait, au d{but etre englob{ dans cette
atmosph}re, puis elle va vous atteindre.Comme si vous appreniez @ connaitre
cette personne.Si elle parlait cel@ accentuerai un peu plus les choses.Et vous
rentrerez encore plus dans son monde, et \a grace aux six sens.Quand vous
{coutez de la musique, n'avez vous jamais eu la sensation que l'esprit du
chanteur ou du compositeur venait vous efflerez ?
Quand vous etes triste, une atmosph}re envahie la salle et un monde nouveau
s'ouvre @ vous.De meme quand vous etes gai ou amoureux, ou tout autre chose.
Ces sensations vous cr{aient votre monde."LA VIE N'EST QUE SENSATION."
Les reves en sont aussi.Oh !! Et si cet homme rentr{ dans la pi}ce en baissant
la tete.De son doigt cinglant, qu'il pointe vers vous, il l}ve la tete et vous
provoque une drole de sensation :

"-J'ai envie de tuer quelqu'un aujourd'hui, peut-etre vous."

Il bouge son doigt et montre une autre direction.

"-Non vous, ou vous, et puis vous, et je reviens @ vous pour vous finir."

Puis il sort en courant de la pi}ce, toujours avec sa tete bais{e.
"LA VIE N'EST QUE SENSATION".Les r}ves en sont aussi.Alors pourquoi ne nous
apporteraient-ils pas des m{ssages qui nous apprennent a vivre.Parait-il
qu'on devient fou, quand on ne dort plus et que l'on ne reve plus ?
Parlons de l'amour maintenant.La femme de vos reves, hormis l'aspect physique,
est celle qui vous apportera la meme sensation que vous avez de votre monde.
Elle se compl}te @ vous en {tant {gale qu'@ vous.L'homme est tellement
instable @ cause de ses sensations qu'il recherche la sienne pour etre bien et
pour parvenir @ son "Nirvana".Et cel@ me fait rire quand une femme dit:

"Atmosph}re, Atmosph}re.Est-ce que j'ai une geule d'atmosph}re !!"

En fait, ce que j'ai voulu expliquer dans ce receuil, c'est ce qu'il arrive
quand les sensations de deux personnes, qui sont reunit pour la vie sont
diff}rent.Le Rouge et le Noir.
Si votre monde cr{{ par votre cerveau, ou plus pr{cisement par votre m{moire
qui est le mur qui retient ses sensations, la mort serait la fin de tout,
puisque la m{moire est dans notre cerveau et que le cerveau meurt.
Et ne perdons nous pas la m{moire quant on viellit.
Tout ce que j'esp}re, c'est que le monde dans lequel je vis va cr{er une
petite etoile qui continuera @ vivre.C'est le but de tous ici.
Peut-etre sera-t-elle dans l'espace.Et vous de quelle couleur etes-vous ?
Il me reste @ cr{er un autre monde.C'est @ dire de trouver chez quelqu'un mon
monde, d'aimer quelque pour former un petit monde, un b{b{ qui grandira et
mourra comme je le ferai, en laissant derri}re lui son {toile.Cette {toile
s'ajoutera aux autres {toiles, et on appelera \a la Terre.
MON monde est fabriqu{ @ partir de VOTRE monde.
Au fait, je m'appele Petit JACK et j'esp}re devenir Grand.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : IREEL

 


Le pr{sent ne se mesure pas au pass{,
Sinon le pr{sent n'existe plus
Si le pr{sent n'existe plus
Le futur est pass{
O| etes-vous ?
Dans le pass{,
Qui se conjugue au futur.
La vie devient pass{,
D}s qu'elle se pr{sente dans le futur.
Le pr{sent est notre seul futur.
H{las, vous n'etes nulle part.
Vous etes, perdus.
Si le temps existait,
Nous ne serions pas ici
Nous les arbres.
Le temps existe seulement pour mourir,
Mais pas pour vivre.
Si vous utilis{ le temps vous etes mort.

Du vide pur est sortie l'infini imaginaire
De l'infini imaginaire est n{ l'int{lligence
De l'int{lligence est n{ la cr{ativit{
De la cr{ativit{ est n{ l'objet
De l'objet est n{ notre monde
Notre monde se d{tourne du vide pur.
Il y retourne inconsciement.

La petite chose qui n'est, peut-etre, pas grande chose.
Je vais vous raconter une longue histoire sur cette petite chose
Enfin, longue, elle le restera dans votre tete
Cette chose va vous semblez une {ternit{
Comme une toute petite chose,
Elle va frapper @ votre porte,
Vous demandez si elle peu rentrer
Et vous vous la laissez rentrer,
Le plus normalement possible,
Comme si vous ne la voyez pas
Et si cette chose commenc{ @ vous hantez.
Vous n'avez jamais soup\onez son existence.
Vous la decouvrez en ne sachant jamais ce que c'est exactement.
Elle ne vous fait ni sensations ni emotions,
Mais vous frissonez tout de meme.
Cette toute petite chose.
Enfin, elle semble toute petite cette voix dans votre tete.
Elle ne vous semble pas tr{s importante.
Pourtant elle vous hante belle et bien.
Et cette chose, c'est le vide pur camoufl{.
On vient de se cogner sur la vitre de l'infinie
Clic-clac, je m'en vais,
Clac-clic, je reviens, ou l'inverse.
L'inverse fonctionne avec le meme mot.
Elle commence @ nous faire peur
Elle semble tant nous connaitre,
Alors que l'on ne sait meme pas qui elle est.
Et on se recroqueville dans une coin qui n'existe pas.
Pourtant un jour elle reviendra nous voir et nous parlera ainsi:

"-Tu m'as manque, o| etais-tu pass{ ? Oh, mais je le sais, tu souffre encore
de me voir.Alors ne reviens pas ici.Je ne veux pas te faire peur.Tu te
l'imagine, Cette peur.Je n'aime pas l'imagination dont tu souffres."

Et nous nous ne dirions rien, comme @ notre habitude.Comme si elle nous
controles cette toute petite chose.Pour qui elle se prend cette petite chose.
Pour un etre ? Oui.

"-Voici donc l'histoire des arbres.Ils finissent en expliquant que nous
vivons dans le r}ve inachev{ du vide pur.Car le vide pur r}ve d'une
int{lligence menant @ un monde physique.Il est inachev{ car la sorte
d'int{lligence que vous avez, apporte un vide non pur.Le vide pur
r}ve d'un etre objet pensant l'amous perdu."

 

 

 

 

FICHIER : J

 


C'est l'histoire d'un homme.
Il est dans une rue d'unne sorte de geto.Il rentre chez.
Ages de 19 ans ses parents sont divorces.Sa mere s'est suicide deux ans apres
la separation.De race blanche son,pere de meme
Celui-ci l'attend,baton en main et son piong serre,il
est debout dans le salon.A la vue de son pere il n'est pas surprit de le
voit l'attendant pour le battre.Il fait nuit dehors.Il est Quatre du matin.
J,c'est comme cel… que l'on appele ce petit dans son metier.Il es sous la solde
de plusieurs hommes.Et tous malhonnette;Il a deja tuer 3 ou 4 personnes;Une
sorte detueur a gage.Ildeal estvex faire sa prope afaire ce qui lui met
beaucoup de gens a dos;Et son pere le sait.
-"Ou etait tu encore avce tes amis.dit-il avec mepris.
-Ouais ,mais cela ne te regarde pas.
-Tu crois que je ne sais pas ce que tu fait.
-Oh,laisse moi tranquille;
Il avance aavec son gourdin:
-"Fait attention,a ce que tu va faire M,c'est comme cela qu'il appeler son
pere.
-Que tu le veuille ou non,tu es mon fils,qui d'ailleurs ne sera jamais un
homme.
-Ton fils!!ton fils laisse moi rire.Tu as tuer ma mere avec ton caractere a
chier.
Le pere frappe J.J sortson flingue et tire.
10 ans plus tard.J a monter son affaie et a sur ses epaues une diaine d'homme.

Il est dans une petite rue avec un atre homme;
-Tucrois en la reincarnation.
-Non,dit j visiblemenr in quieter de quelque chose;
-Pourtant moi je suis persuader d'avoir vrcu une vie pase‚;
-Ouais,si tu le dit.Ah!!le voila qui arrive.
Une ombre s'approche portant une malette.Ceraineement quelque chose de precieu
Il s'approche de J.
-"Tu as l'argent.
-Bien sur.
Lesdeux hommes parlent en forme de code;
L'hombre tire sur le colegue de J.Et J sefait desendre deux seconde apres;
Tunnel et lumiere blanche dise quelque personne.LumiŠreintense et attirante;
Floter et ne plu rien sentir.Un jardin remplitde personne defunt.
L'une d'elle s'approche de ui.
-Je ne me suis jamais suicide,onm'a tuer;Tes amis m'ohnt tuer.
-Maman.
Elle s'eloigne et une autre personne arrive;
-Salop,j'aurai ta conscience.
Surpriy par les gens qui apparaissent subitemment,Jsursaute
-Salo,on aura tous ta conscience;Ange blanc,Tu ne pass amourr.
flash noir;Et beaucoup de choses encore.Une porte .....

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : JESUS

 

Soyez les Bienvenues,


Le Christ est un {crivain, il a r{alis{ un livre pour les gens qui avaient
peur du noir et de la mort.Ils avaient peur de la mort, Jesus est arriv{ et
leur a propos{ une fa\on de vivre.H{las, les gens ont toujours peur de la
mort et du noir.Ils ont compris ce que voulait dire J{sus, mais ils sont
toujours {ffray{s par la mort.Le livre n'est pas parfait pour certains, il
n'est donc pas parfait du tout, sinon on aurait tous compris sa fa\on de vivre.
Tous.La mort leur fait peur.Ils croient alors que J{sus leur ment.Ils
repoussent certaines parties de son livre, et deviennent noirs au fond d'eux.

Le livre religieu n'est pas une fa\on de mourrir mais une fa\on de vivre.

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : L

Pourquoi des gens comme BLACK, ne savent pas que mourrir dans les autres,
c'est vivre ? Pourquoi ne peuvent-ils que vivre par les autres et mourir dans
leurs corps ?
Voir l'{tandue des autres en restant chez-soi, permet de voir l'infini.
Voir les prairies s'{loignant dans l'horizon, et se deplac{ sans bouger en
tenant une main fr}le et d{licate qu'est encore la vie.
Un homme qui vit dans l'espace, vivra une vie dans l'escape
un homme qui est un animal, vivra une vie dans un animal
un homme qui croit @ la mort, vivra une vie dans la mort
un homme qui croit @ la vie d'homme, vivra une vie en homme
un homme qui se croit Dieu vivra dans l'invisible
un homme qui croit que la vie n'a aucun sens, vivra une vie en {lectron
Un homme qui ne croit pas en cel@ est mort.
Un animal, sera la meme chose,
un homme qui croit aux temps, ne vivra nul part.
Ceci n'a aucun rapport avec la mort.

Aimez et pleurez, la vie ne se r{sume qu'en une phrase.
Aimez et pleurez, pour vivre.
Et vous vous demandez ce qu'est la vie, vous me d{goutez.
Quand Stingo est enferme mettre des hommes qui sautent pieds li{s et bougent
la tete de bas en haut, avec de la batterie rapide.

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : LOLIT

39 ANS PLUS TOT.
A cette epoque l'herbe etait verdoillante et le ciel se perdait jusque dans
de lointaine montagne enneig‚es.Nombreux disaient que la vie se vivait jour
le jour.Marchant d'un pas lent, son sac d'ecolier sur le dos,notre jeune homme
faisait une fois de plus le trajet maison-college;l'oppressant college.Il
s'arretait de temps en temps pour verifier, dans un retroviseur de voiture,que
sa coifure etait bien sur sa tˆte.Personne ne pouvait le voir et lui dire
que OUI il etait bien coiffe,ce qui l'aurait irriter.Car personne n'etait l….
Et puis peut-etre meme que les gens s'en aurait fichu de lui.Surtout un matin.
Arriver devant le college,des groupes s'etaient deja former.Il dit "bonjour"
a quelqu'un d'entre eux,avec un sourir force par le soleil qui vient juste de
se lever.C'est la rentree de classe aujourd'hui.De nouveaux visages et de
nouveau monde.L'appel se fait dans le calme meme si les anciens eleves se
retrouvent et parle de tout et de rien.
"-Tu as vu la fille derriŠre toi,dit un ami de notre jeune homme.
Il se retourne et la regarde avec interet.Cheveulure blonde et yeux verts,
habill‚e jeune.
-Oui,je l'avais dej… remarquer l'anne‚e derniere,il baisse son regard.
-He,on t'a apelle,lui dit son ami.
Dans quel classe je vais tomber se demande-t-il.Et le repugnant destin frappe
encore,car la septieme personne a etre apelle est cet fille.Les rangs se forment
comme brebis obeit au chien qui les guide.D'un regard discret il se retourne
vers elle.Mince,elle le regarde.Que peut-il faire se retourner a nouveau,non
c'est trop facile pour un imbecile,et il ne la regardera plus de toute la
journee.Tu me fais tourner la tˆte,peut-etre demain;j'ai mal a cette tete.
Un chant de coq pour un nouveau jour.Willem,notre jeune homme se reveille.
Il s'etire et se leve.Ton indiference ne me touche pas.
Dans la rue,comme les autres jour,il n'y a personne.A part un homme qui s'avance
vers lui.
"-Je sais que vous ne me connaissez pas et que vous ne voulez pas entendre
mes idioties mais il faut que je vous parle.
Que veut-il ?
-Je suis reste de heures dans une piece avec une femme,ecoutez moi je vous en
prit.Moi,et elle on s'est embrasse sur la bouche et sur les epaules...Pendant
des heures d'affilees.Elle et moi,vous voyez,embrasse.Mais je ne l'aime pas.
Dit-moi ce que je doit faire,je vous en prit.
-Idioties ?
Et Willem s'en alla laissant cet homme debout qui n'arretait pas de bouger
lentement de gauche a droite,il se balancait.
Willem se mit a courir.Et arriva dans sa classe sans avoir verifie sa coifure.
"-Excusez moi,mais un imbecile ma retenu ce matin.
-Et qu'avait vous sur votre jambe,dit le proffesseur de francais qui est d'ailleur
une femme.
Il regarde sa jambe et decouvre un ruban rouge accroche.
-Cela ne fait rien asseyez-vous.
Il s'assit et plongea dans ses pens‚es.Mais retourne toi,elle est dans le fond
de la salle.Oui,derriŠre.Voil… qui est fait,il s'est retourner et ne fait plus
semblant de regarder le tableau de cours.Elle est a 5 metres de lui et le
regarde.pendant au moins trente minutes,enfin pour lui cel… … durer trente
minutes,Willem n'a pas arrete et Lolita non plus.
C'est mercredi aujourd'hui,et il ne travaille que le matin.Encore la rue qui
mene au college.Et l'homme est encore l…,il se balance toujours.
"-Vous avez la reponse,lui demande l'homme.
-J'ai regarde une fille hier pendant de longues minutes,ses yeux semblaient
brille et j'ai entendu une petite voie en sortir,vous savez la petite voie
que l'on a dans la tete,et elle me dit "je t'aime".
-Je t'aime ?
-Oui,mais je ne sais pas si elle a vu et entendu la meme chose que moi dans
mes yeux.Pourtant je le pensais fortement."

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : LOSCERCL.OS

 


Los cerclos:

Presentation des lieux
Un homme hablille de noir presente la scene.C'est l'ange de la mort du
scuicide.Il explique qu:
ima ginez que cette maison soit le cerveau d'un homme.Chaque piece de celui-ci
sont reprensetative de chque sentiment qui le ronge.les nombres de pieces est
infin.MAis interronssons nous a deux particulieremnt.Qui d'ailleurs se complete.
AU fait je suis l'ange de mort de cet homme.
Cet homme va faire quelque chose de tres mal pour lui mais pas pour moi.
Rire.Puis il va dans le purgatoire.Ceci est le lieu ou il va comprendre la
mort.Avec cet homme, l'homme cigare qui reprsente dans sa maison la piece
de la mort.Cet homme est tout et rien.Ceci est tun echiquier qui ressemble
etrangement au sentiment qui occupe cette piece.Chaque piece a un but particulier.
Surtout celle-ci.Il montre le fou.Voyons donc ce que ce homme pense de son
cas de...suicide.

 

 

 

 

 

 

FICHIER : M

 

Vous voulez me faire sortir de mes rev}s, vous me disez viens viens parmis
nous.
Je ne cederai point car l@ o| je suis je vous vois, dans mes r}ves je vous
vois.ALors laissez moi tranquille car de toutes mani}res je saurez que vous
etes l@ et que vous me retenez toujours, car sans vous mes reves ne serez pas
possible.PEut-etre aurez-je du rester la haut.L@-bas ? Oui,au haut du presque
mur de votre sist}me solaire, je vous vois, je vous verez et et je vous est
dej@ vu.
Quand je parles avec un ami-voisin de la haut sur et dans les cailloux froids
qui flotte, il me dit :

"-Veux-tu allerr faire un tout en bas, j'y suis all{ une fois, je suis revenu
mais ce monde me manque.J'ai plong{ dans l'espace pour rejoindre une plan}te
o| je savez qu'il y avez vie.Je me suis ennuy{ sur le coup dans cet hotel de
vie, mais je le crois bon pour y faire un nouveau tour.Meme si les gens on les
yeux ferme de leur honte et de leurs croyances.Viens on va plonger de nouveau.
Je te montrerais l'amour.Pas leur amour mes le notre.

Je ne me rendis pas compte que sur le coup je me parlais avec moi-meme, ce
caillou froid qui est en haut du pourtour du systeme solaire {tait le r}ve de
la femme qui me montrerez l'amour.Alors je suis descendu, je me suis ecras{
sur le sol de l'hotel de vie.Mes ailes ont {tait brul{.Car quand on cherche
l'amour c'est lui qui nous fait voler et non pas ses ailes du caillou froid
du haut et du poutour du systeme solaire.Je me suis retrouvez cherchant
l'amour, mon ame-soeur, je la trouver toujours aussi fraiche.ET l@ j'ai vu
le reve du caillou froid du pourtour du putain de syst}me solaire.Alors je
me suis envoler dans le r}ve, le reve de l'ame soeur qui est, {t{, sera mes
ailes par lesquel je vole de nouveau vers le caillou froid.Mon ame soeur n'est
que moi-meme.Putain de miroir qui flotte dans les yeux des d{sirs.Putain de
miroir qui na pas de desirs.Putain ces miroirs sont les meme.
Viens, Viens redescend dit les voix de l'hotel de vie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : MERDI95

 


Qu'est-ce que l'amour ?
Une gifle, une larme , une porte qui claque, une fete o| des gens danse comme
des fous, l'homme sort part une porte et s'assoit sur une table.
Les gens de la fete viennent le voir, des p{taient, des soauls, ils viennent
parler avec lui, le fantome de sa femme vient le voir et lui dit de belle
chose dans le croeux de son oreille.

L'amour est la vie.
La mort est-elle l'amour.
Perdu dans l'amour
Je siyonne des sentiers creux.
Parfois je m'envole vers elle,
parfois mes ailes me quittent et je pleure
suis-je mort par elle.
Par cet amour perdu.
La mort est-elle l'amour perdu ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : MERIDIEN

Generique {10 SEC
Entree:
enfant dans le ventre de sa mere.(C'est un garcon,c'est fantastique){10 SEC
noir {5 SEC
18 ans plus tard;Il est au volant d'une moto.Ils sont trois. {4 SEC
-"18 ans (Courte pause de quelques secondes)aujourd'hui,tu le fait, {7 sec
on le fait tous ici."
-l'autre"Allez vas-y, montres nous qui tu es." {5 SEC
accelerateur,tete,les autres,accelerateur(il le tourne). {10 SEC
plan large,il demarre avec ces yeux rives vers la gauche. {4 SEC
les autres,vue de la moto. {3 SEC
De derriere la moto accelere,devant la moto une falaise. {6 SEC
Les yeux des autres. {4 SEC
Moto,yeux,moto,yeux jusqu'a saut. {11 SEC
Explosion dans le noir.C'est le bebe. {4 SEC
Duree: {1MN29SEC

2 ans plus tard:Pancarte d'un immeuble. {6 SEC
Il travaille dans un bureau,il tape a la machine a ecrire. {50 sec
Traveling arriere de touche a machine et puis tete.
Puis traveling horizontale de tete a porte,le patron lui parle.
-"le numero 315 ,vous etes vire."
Puis traveling horizontale de porte a numero sur le table puis a tete
qui regarde numero.315.Puis de haut en bas.
IL passe sous la table et se gratte puis decouvre un insecte dans
sa manche.Il le mange (Gros plan.).
Duree: {2Mn30

3 mois plus tard:Mariage.(Film Mariage Pascale). {10 sec
1 ans plus tard:Nuage de fumee plus cri bebe.(Je t'aime) {10 sec
8 ans plus tard:Il parle avec sa femme ,on ne sait pas de {1Mm
quoi ,mais il remut beaucoup ses bras et a l'air de parler fort.
Sa femme aussi.La camera avance (de dos au debut on voyait juste la
tete de sa femme) et se deplace a droite .Leur enfant est avec eux.
La femme donne une gifle a l'homme.Avancer rapidement vers la tete de
l'homme puis tourner(Voir en meme temps la femme qui s'en va ).
=}Musique :bruit incomprehensible de plusieurs personnes qui parlent en mm tps
Duree: {3MN43sec

12 ans plus tard:Voir les annees defiles avec pleurs derriere. {4MN00sec
L'homme a 41 ans,il est a la rue il boit du vin.Bouteille puis {15 sec
travelling arriere,coucher dans la rue .
Un billet tombe du ciel et atterit devant lui ,un enfant arrive et {30sec
lui prend devant lui,trop fatiguer il tend sa main juste sa main
comme si il voulait le prendre;Puis regarde le ciel.
{4MM45sec

10 ans plus tard:Bebe(je t'aime)
Television ,C'est le Loto traveling arriere tiquet loto. {10sec
Numero TV,Tiquet(rapide),tete etonnee.Il tourne grace fauteuil. {15sec
Tete Viellit regarder photo femme .Tete,sang qui coule de la bouche. {20 sec
Oeil,sang fondu blanc . {6sec
{5Mn40

Falaise ,homme monte avec canne lentement. {10 sec
Les anges cote a cote.Il arrive ,s'arrete et frappe un ange(profil) {9 sec
Poing ferme,(gros plan),de face frappe l'autre. {10 sec
Ange de face ,tombe. {1 sec

Duree: 6Mn


Generique :22 Sec
-----------
3 sec - TITRE : ?
2 sec - HOMME : LOIC GOHAREL
2 sec - ANGES : VINCENT GAYET ET DAMIEN ANRES
2 sec - FEMMES : ?
2 sec - ENFANT : JEROME ?
2 sec - ENFANT BILLET : ?
2 sec - SCENARIO : DAMIEN ANRES
2 sec - MUSIQUE : LOIC GOHAREL,DAMIEN ANRES,VINCENT GAYET
2 sec - EFFETS SONORES: DAMIEN ANRES
3 sec - REALISE PAR : DAMIEN ANRES
--------------------------------------
5 sec [ ANRES , GOHAREL , GAYET PRODUCTION ]
--------------------------------------

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : MUMI

 


Dans une {troite chambre, un homme est couch{ sur un lit.Un lit deux places.

Oh temps infame de qui fouille l'oubli fatale. Que puis-je donc faire, je me
retourne dans ce lit depuis .... Je ne sais que songes et r}ves, je tourne
et je virvolte dans ce flaible drap, dont ... O\ est mon enfance ? Je n'ai pas
de porte dans ma chambre, qu'un petit fenestrou de lumi}re exterieure. Un lit
de bois, une {tag}re de fer @ ma gauche.Ma pi}ce de 20 m2.Obliger de r{ver.
J'ai chaud et @ du mal @ dormir.Je me gratte le cou, je me d{tent les
muscles.
La question que l'on peut se poser en me voyant est que je vais lever
rapidement.Ce que je fait lentement.Je tourne f{brilement la tete vers
l'arri}re et je vois un ancien tableau de reve.Un homme et une femme qui
s'embrasse.En la levant, je vois une fuite.
Des gouttes d'eau tombent sur mon carrelage aux pommettes rouges.Il y a une
fuite au plafond @ l'arri}re de ma chambre; chambre sans porte.je me recouche
en fixant de l'oeil droit cette fuite plafoni}re.
Elle est la depuis longtemps cette fuite, je me le demande.Il y a dej@ le
contour jaune qui entoure la fissure o\ glisse l'eau.Je cligne des yeux et
place mon regard droit devant moi.L@ un petit fen}trou fai rentr} une lumi}re
flaible.Cette lumi}re vient se cogner sur l'{tag}re.Cette {tage}re @ 3 rayons
vide et un dont plusieures feuilles froiss{s sont poss{e l'une sur l'autre.
L'{tag}re se trouve @ droite de mon lit.Juste @ quelque pas contre le mur
gauche.
Le Floc Floc de l'eau continu.

"-Joyeux anniversaire Mumi, fait la ribambelle de gens qui est dans ma
chambre."
-Je vous remerci mais l'anniv}rse, c'{tait hier soir.D{sol{."

Ils disparaissent tous de ma chambre.

Un bout de journal plac{ sous un des pied de l'{tag}re m'intrigue , je m'en
rapproche dans le Floc floc de l'eau.Tirant sur le bout de papier, l'{tag}re
branle un peu; je tire plus fort et je la fait tomber.Me retrouvrant
ensevelis sous l'{tag}re, j'ai tout de meme reussi @ attraper le morceau de
papier.Le papier est dans le creux de ma main.
Le Floc floc a cess{.
Et un homme tombe du plafond de l@ d' o\ le floc floc faisait effet.
Je pousse l'{tag}re, la remet droite, juste @ sa place initiale et je me
rel}ve.

"-Qui est-vous, je lui demande ?
-Je me pose la meme question envers vous ?
-Je croyais que j'{t{ seul dans ma chambre.Qui etes vous ?
-Le locataire du dessus.
-Je ne savais pas qu'il y avait un locataire au dessus de ma chambre ,vous
mentez , non ?
-Vous etes le locataire d'en dessous, je r{par{ une fuite de mon lavabo et
CRAC le plancher @ craqu{.
-Je me croyais seul."

Ma chambre n'a jamais eu de porte, rien qui me permet de sortir ou de
m'{chaper.Rien.je suis n{ dans cette pi}ce.Il en fait meme la remarque @ son
nouveau voisin.

"-Je suis n{ dans ma chambre, je ne savais point qu'il y avait d'autres
locataires.Veuillez remonter de l@ d'o\ vous venez Mr.
-Bien, veuillez m'escusez, je ne pensez pas ce que j'ai fait.Tomb{ d'un
plafond.Je ne savez pas non plus qu'il y avait un locataire en dessous.
-Remontez, s'il vous plait, je ne vous connais pas.

L'homme remonte dans sa chambre.Par le trou qu'il a cr{, il lance une pharse @
son locataire du bas :

"-Montez un jour, j'aurai une suprise pour vous.

Je ne r{pond pas.Je regarde le morceau de papier froiss{.

"-Reve d'une fille.Reve d'une fille.IMAGINEZ MOI CELA.
-Bien, faisons cel@.

En pla\cant le morceau de papier sur la pile de l'{tag}re surement pr{par{ @
cet effet, je me recouche sur mon lit en m'appuyant la tete sur mon
oreilier.

"-Un fille sort des reves et vous carr}sse par ses pieds qui se tortillent,
je me demande."

Une charmante fille, aux cheveux bruns, sort du fenestrou et apparait en face
de moi.Elle s'avance avec ses pieds fins, le torille, le tend dans ma
direction et je touche son pied qui tortille.
Son pied droit.Elle est en face de moi.Et danse maintenant avec le pied de
travers.
Ses yeux.Oh !! Ils sont vides.Les yeux de la fille sont vides.NOIRES.BLANC.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : NECRIE.IMP

 

NE CRIEZ PAS ON MEURT TOUS EN SILENCE.
Je suis l'ange gardien de Stingo Black.Apres avoir apprit que Stingo etait
mort, je me suis adresse au Dieux, pour savoir si je pouvais vous parler et
vous dire ceci.Ils m'ont dit "daccord", mais il ne fallait pas reveler des
choses sur nous.Nous devons rester esprit.Alors me voila.
Imaginez que la mort soit un passage, comme une porte, qu'une maison soit le
symbole de votre cerveau alors la mort serait le monde du dehors.Et le
meilleur moyen de mourir serait de sortir de la maison.C'est le cas d'un
certain Stingo Black, il reste chez lui depuis qu'il a vingt ans
et tombe en etat de decrepitude.Son lit est rempli de poussiere de meme que
son parquet est noir.Il ne fait plus rien.L'espace qu'il occupe est vide.
Pourtant sa presence est resentit partout dans la maison.Elle lui ressemble,
vieille et decrepit.La barbe de Stingo est noire et pleine de poussiere
d'homme qui a trop vecu et qui ne veut plus vivre mais qui na pas la force de
sortir.
Depuis sa fenetre il peut tout de meme arriver a voir la rue Deplace.Assis
sur une chaise en bois, la fenetre entrouverte seulement et c'est deja
beaucoup pour lui.Il regarde toute la journee cette rue.Mais la regarde-t-il
ou est-ce qu'il ne peut plus rien voir et comprendre tellement il est presque
mort.Seulement un pas dehors.
Non, il ne peut pas il est devenu agarophobe.Il ne suporte pas la lumiere
du jour, et un soir de pluie c'est le bonheur.Mais il est tout de meme arriver
a ouvrir un bout de sa fenetre, et c'est deja beaucoup pour lui.En face de la
rue Deplace il y a une autre maison.Une femme y habiter de puis pres de 30 ans.
Il la voyait de temps en temps passer a sa fenetre a moitie devetue.Et en plus
il travailla avec elle dans un supermarche lorsqu'il avait 19 ans.Serait-il
devenu FOU amoureux d'elle.Ne pouvait-il plus bouger de devant la fenetre
tellement il avait le souvenir ancre dans son cerveau de cette belle jeune
femme nue.
Du reste je ne me rappelle pas qu'il est jamais ferme sa fenetre,elle etait
toujours ENTREOUVERTE.Et depuis 30 ans.Non cela ne peux pas etre seulement
l'amour d'une femme qui le forcer a rester en vie,a ne pas sortir.L'amour
n'est pas la seule chose dans la vie,il y a plein de choses a faire.Oui, mais
attendez il ecrivait aussi et faisait de la peinture.Il dessinait de vaste
prairiesou il pourrait courrir et bouger.De grande prairie vivantes
illuminaient par un soleil doux et chaud a la fois.D'immense champs avec une
seule personne avec vous.Ou plusieurs c'est vous qui choisisez.Bien sur vous
allez choisir celles que vous aimez.C'est ce que l'on peut appelez un paradis.
Mais les prairies sont dehors, il faut mourir pour y acceder comme le paradis.
C'est pour cela qu'il faut essayer d'aimer quelqu'un pour que la vie dans
votre maison soit la mieux possible.Mais les gens meurent alors qu'ils ont le
paradis dans leur maison.Mais la vie dans la maison ne sera jamais comme
celle dans la prairie.
La prarie sera toujours plus grande que vorte maison.Et ca Jack le sait.
Mais voila un beau jour que Jack toujours devant sa fenetre voir sa femme
se faire tuer devant ses yeux par un ange du demon surment.
Impuissant comme il est il ne peut meme plus appeler les gens qui passent dans
la rue.Comment peut-il faire ?Sortir.
Mais est-il assez amoureux pour le faire?Oui il y arrive et on trouva
quelque chose qu'il a laissez derriere lui,juste devant sa porte.Un mot
en forme de poeme ecrit a l'encre rouge vif couleur de son sang:

Je n'en peux plus il faut que je sorte
Mais comment puis-je passait cette porte
La prairie n'est pas loin
Mais tout est noir

Ma femme est deja morte
Et moi je le suis aussi en quelque sorte
La prairie va me rechaufer le coeur par deriere(Pour ne pas me bruler)
Le vent me froler la moele epiniere(C'est tellemnet bon)

Ca y est c'est pour bientot
Je n'es qu'un seule regret et c'est bien trop
C'est de n'avoir pas eu un soleil a moi
Je me crois un roi
Car j'ai tout de meme eu une fentre me laissant passait un rayon

Maintenant je sorte est tout devient rouge pour moi et je l'espere pour
vous.


Jack RED

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : P

Le songe des singes arrive @ terme.

L'imagination se transforme en int{lligence,

Telle une mouche elle pond sa pens{e dangeureuse.

Les singes gagnent le combat des animaux.

En leurs consciences, les hommes savent qu'ils ont cr{{ le sur-moi animal

Oh, Jack reste l@,

Moi ton contraire, ta maladie d'amour,

Je remplis l'ange de mon amour perdu,

Je rempli le vide de nos deux existence.

Nous ne formons qu'un.

L'ange va m'enlever,

Car il m'extirpe toutes mes souffrances.

Ainsi je vais me vider pour arriver a n'etre rien,

Et m'engoufrer dans la mort {ternelle, o| il n'y a que honte.

Quand l'ange viendra te voir,

Se sera moi chang{ en toi,

Le toi que tu cherche jour et nuit,

Je suis le soleil noir de cette vie.

Maladie d'amour se change en r}ve d'amour,

Ainsi le Stingo BLACK du monde s'enl}ve,

Un amour nouveau apparaitra.

Une nouvelle apparence, une nouvelle energie mentale,

Et un nouveau cerveau.

Un cerveau rempli de pens{es d'amours.

Je tu il nous vous ils,

N'existerons plus car l'amour sera pr{sent dans tout les recoins.

Ces hommes ne voient alors que l'amour et uniquement l'amour.

Leurs nerfs s'{vanouiront.

L'amour se reunira dans l'ange supr}me, dans le milieu dit invisible,

L'amour ainsi reunit deviendra objet mental d'amour,

Il s'engoufre dans le trou noir le plus proche,

Et devient @ son tour un cosmos.

L'objet mental d'amour divague,

Donnant naissance @ de nouveaux etres,

De son souvenir de son ancien monde,

Il cr{ait des etres,

Par tout les contraires qu'il a v{cu.

Ils les opposent @ ses contraires,

Et lui donne sa r{ponse,

Car il connait la r{ponse de la vie.

La vie est un simulacre de contraires,

D'images d'hommes haineux et auto-destructeurs,

D'images d'hommes aimants.

Ces deux imagines se r{unnissent,

Et forme la pens{e du milieu.

Ainsi les deux contraires de l'homme se reunissent en un seul,

Pour donner naissance @ un monde remplit d'amour

De milieu de ses contraires, qui n'est autre que mon ange,

Sort une puissance donnant une beaut{ {ternelle @ leurs yeux.

La nature est une beaut{ {ternelle car ils ont la vue du milieu.

L@ o| les deux contraires peuvent etre scruter et analyser.

L@ o| la vacuit{ est d{pass{e par l'image meme du milieu.

La mort nous montrera ce qu'est la vie.

Quand les vivants seront tous mort,

La mort sera vraiment une nouvelle vie.

Le soleil est la vie, le soleil est leurs ames.

La mort se situe dans le soleil,

Il cache l'ame de notre vue,

Quand toutes les ames se seront reunies dans le soleil.

Celui-ci va les renvoy{ sur terre pour qu'ils cr{aient l'amour de la vie.

Un amour universel donnant une force mental,

Donc un nouveau cerveau, un nouveau monde, un nouveau cosmos.

L'homme est partit de l'infiniment petit,

Fera-il la conjonction avec l'infiniment grand pour etre l'infini total.

Entre l'infiniment petit et l'infiniment grand vit tout les contraires.


"-Stingo BLACK, tu es le contraire absolu, la maladie d'amour.
-Alors dit-moi ?
-Oui, Stingo.
-Je vais mourir dans peu de temps.
-Oui.L'univers dans l'univers, le cosmos dans le cosmos, le r}ve dans le
r}ve; Moi aussi je lui donne mon amour, tu sais.Mon amour se perd et se
muliplie"

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : PETIT.ECHOSE

e petite chose qui n'est peut-pas grande chose.
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Je vais vous raconter une longue histoire sur une petite chose
Enfin, longue, elle le restera dans votre tete
Cette chose va vous semblez une eternite
Comme une toute petite chose,
elle va frappe a votre porte,
Vous demandez si elle peu rentrer
et vous vous la laissez rentrer,
Le plus normalement possible,
comme si vous ne la voyez pas
Et si cette chose commenc{ @ vous hantez.
Vous n'avez jamais soupconez son exisstence.
Vous la decouvrez en ne sachant jamais ce que c'est exactement.
Elle ne vous fait ni sensations ni emotions, mais vous frissonez tout de meme.
Cette toute petite chose.
Enfin, elle semble toute petite dans votre tete.
Elle ne vous semble pas tres importante.
Pourtant elle vous hante belle et bien.
Et cette chose c'est le vide.

On vient de se cogner sur la vitre de l'infinie
Clic-clac, je m'en vais,
Clac-clic, je reviens, ou l'inverse.
L'inverse fonctionne avec le meme mot.
Elle commence a nous faire peur
elle semble tant nous connaitre,
alors que l'on ne sait meme pas qui elle est.
Et en se recroqueville dans une coin qui n'exite pas.
Pourtant un jour elle reviendra nous voir et nous parlera ainsi:

"-Tu m'as manque, o| etais-tu pass{ ? Oh, mais je le sais, tu souffre encore
de me voir.Alors ne reviens pas ici.Je ne veux pas te faire peur.Tu te
l'imagine, Cette peur."
Et nous nous ne dirions rien, comme @ notre habitude.Comme si elle nous
controles cette toute petite chose.
Le rouge vous dit:"Je t'aime" et le noir vous souffle le vide.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : POEME

Jack, Annie, Lolita, Stingo sont devenus un Divin.Ce Divin vous parle :

Un poeme ne se comprend pas, il se sent dans tout le corps, voir meme plus si
affinit{.Vous ne ressentez rien, c'est que votre esprit n'est pas pr{s @ le
voir, ce po}me, si {trange qu'il soit.


Tel un lac de jour.
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Jouant de la nageoire dans un limpide lac bleue,
Mon chemin est le flaible courant du vent,
Ainsi je glisse et j'avance vers l'horyzon manqu{
Poursuivant un petit poisson aux {cailles brillantes
Plus vite, mais attention @ l'anguille qui me mange.
Me mouvant dans la fausse grace,
Je mange un petit ver docile qui m'attire,
De meme qu'une grenouille qui saute hors de l'eau,
Me voil@ sur le march{ de la mort.
L'homme m'ingurgite.
Et l'homme moderne se mange lui-meme,
Tel un lac de nuit, Dans un oc{an obscur de vie.
Par vague qui frappe, il se rel}ve,
Esp{rant le calme nouveau de l'apr{s temp}te.
Disons de l'homme mangeur,
Qu'il ne croit @ l'acalmie que par sa temp}te.
Son oc{an est si obscur qu'il ne voit pas le fond,
Par peur il avance imprudement dans sa propre temp}te.
Il va vite, si vite qu'il manque beaucoup de choses,
Il n'a meme pas remarqu{ qu'il {tait sur la rive du lac.
Ne voyant que lui, il s'obscurcie par la vue des autres.

Cheval de mort absurde.
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L'amour et l'amiti{ sont tels deux fouets
Qui s'enchev}tre pour faire crier
Un petit cheval de vie qui les yeux clos
Me fait avancer vers un destin sans mot.

Les roues de mon carrosse font trembler mes mains,
Et je tire sur les r}nes comme un diablotin,
Ce n'est pas que je m'ennuis @ conduire,
Mais m'avancer ainsi finit par faire mal @ ma vie.

Vite et press{, je ne puis m'arreter,
Je finirai certainement par tomber,
Sans autre mesure que ma faiblesse
Que je me suis faite @ aller si vite.

J'en suis heureux de ce carrosse, et de ce cheval,
Car il m'entraine vers une terre sans cavale
O| je ne verrai plus vibrer les deux ficelles.
Pour aller me reposer vers ce fiacre personnel.

O|, il n'y aura qu'amour perdu.

Arbsurdit{ de l'ongle arrach{ de la patte arrache-tete.
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Un sursaut de peur,
Un bruit {clate derri}re
Un lion montre ses dents
Tel un vautour qui fait craquer ses ongles
Une main tendue montrant la bete
Sa Gueule vomit des g{missements
La tete ne veut pas, elle se d{tourne
Les pas courrent et glissent dans l'herbe mouill{e
La main se baisse
Elle montre qu'elle ne veut pas
Et un cri jaillit de l'ongle arrach{
Les pattes agiles s'accrochent,
La crini}re d'or flotte,
Les ongles arrachent la terre
La vitesse de l'oeil du lion remporte la victoire,
Tel une patte arrache-tete.
Ainsi cet esprit est mort,
Il s'{fforce de vivre
Dans des battements de coeur;


Rencontre du noir absurde.
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Racontez-moi vos faiblesses,
Provoquez-en moi des demandes.
Je ne vous reconnais pas,
Faites-vous savoir par moi.
De toute mani}re,
Je saurai tout sur vous
Je passe par vous,
Et vous repassez par moi.
Si vous savez dej@ qui je suis,
Vous savez qui vous etes.
Dites moi qui vous etes ?
Ainsi je peux vous dire qui je suis.

L'oeil qui ne pense jamais
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L'oeil ne voit rien dans la pi}ce
Il est habitu{ @ son noir
L'obscurit{ n'est pas l@, elle est omnipr{sente
Une flamme se montre alternativement
L'oeil ne la voit pas
Il ne voit que cette obscurit{
L'oeil ferme les yeux de la pens{e sur cette flamme
Qui l'aveugle par sa rapidit{ @ {clairer l'obcurit{
La flamme n'est pas constante par rapport @ l'obscurit{
Elle ne produit que des {clairs.
Cet oeil ne voit que ce qu'il pense
Il ne pense donc pas avec moi.


Obscures-{toile.
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Oh, Dieu inexsistant c'est si sombre.
Les {toiles sont si nombreuses,
Par toutes celles cach{es derri}res l'obscur-ciel
Elles illument la voute c{leste en entier
Tel un soleil, les obscures-{toiles viennent nous {clairer
Elle sont majeusteuses,
Elles engoufrent les visibles-{toiles dans leurs clart{s
Les visibles-{toiles s'{nfoncent dans les obscures-{toiles
Et laisse place @ l'invisible-ciel
Pour que clart{ il soit,
Il faut voir les obscures-{toiles
Et jouer avec les fausses clart{s des visibles-{toiles
Ainsi l'invisible-ciel nous {blouit de son immensit{
Tel la vague d'un lac,
Elles sont le monstre du Loch NESS
Ce monstre fait le beau dans l'ignorance des autres.
L'ignorant est une nouvelle fois l'oeil qui ne pense jamais.
Dans l'univers, l'obscur-ciel n'existe pas,
Milieu est un oeil qui {claire.
L@ est l'espace-temps car il revient @ l'absurdit{.
Les {toiles se figent dans l'intemporel par cette vue.
Elles viennent @ vous et l'espace est en lui-meme inop{rant.


La clart{ des objets
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Magnifique objet qui refl}te la nature,
De l@ est l'oeil qui ne voit pas.
Les objets ont une clart{ qui soupire,
Elle provoque des {ssouflements de coeur,
Quel coeur ? Celui des objets qui apellent leur origine.
Ils viennent de la nature,
Ils veulent la nature,
Par leurs {clats il la sonne
Et nous, qui percevont cette lumi}re et ce son,
Nous voulons les cherir,
Pour que leur nature, leur clart{, ne meurent plus.
Ce magnifique {clat est trompeur,
Fausse nature qui veut etre nature.


Le dieu raconte les yeux de la pens{e passive.
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(La beaut{ {ternelle)

Une pi}ce : Avec le regard vous ne fixez qu'un point pr{cis.Cette petite chose
n'est pas une pens{e.Pens{e sur les autres.Pens{e sur soi-meme.Pens{e sur un
objet.La pens{e de l'inconscient est toute la pens{e.L'inconscient est tout.
Il n'est pas le temps, il n'a pas d'oeil physique, il n'a pas de sensations,
il a une m{moire {ssentiel qui n'exprime rien en elle-meme, parce qu'elle est
la m{moire de l'etre en g{n{rale, et qui forme l'etre {volutif.
Par cons{quent, l'inconscient doit rejoindre la pens{e consciente.
Mais comment ? Personne ne se souvient de la fa|on dont il pensait.Il y a dix
ans comment pensiez-vous ?
Le conscient n'exprime aucun temps par non-m{moire.Le conscient agit sur
nous afin de cr{er.Le conscient est @ la rencontre des autres,
Les sensations sortent et se d{gage par le corps, la pens{e {merge et
rencontre les sensations, celles-ci est plus o| moins forte, et forme un temps
pr{cis, qui est le temps psychique et cel@ forme une m{moire non-essentiel.
L'inconscient analyse cette m{moire.Si la sensation qu'il analyse n'est pas
un amour pur petit ou grand, il la rej}te d'une certaine mani}re.L'inconscient
rej}te en forme de r}ve.Et l'inconscient rencontre la m{moire en cr{ant des
imagines invisibles pour nous.
Les r}ves dont nous nous souvenons ne sont pas des vrais r}ves car le
conscient est alors en activit{ et ne voit que des images qui sont la m{moire
non-essentielle, et juste derri}re, invisible, l'inconscient analyse.
Quand l'inconscient rencontre la m{moire, le temps est r{veur.J'appele ce
temps "dessein" (programm{).Car la m{moire non-essentiel est pour moi, un
programme pour l'inconscient.Il la rj}te d'une certaine mani}re, voici la
mani}re :

Il garde l'essentiel de la sensation et de la pens{e, en cr{{ son contraire ou
parrall}le, puis il sort le juste milieu et rejete les deux parralles dans le
conscient.La m{moire {ssentiel est le juste milieu.Toutes les
pens{es se mettent dans le conscient et rejoignent la m{moire non-essentiel,
qui, elle, vieillit par le temps psychique cr{{ par les sensations.Le juste
milieu n'est pas une sensation, n'est pas un temps, il est une beaut{
{ternelle.Il n'y a aucun d{sir dans l'inconscient, d{sirs sont dans le
conscient !!
Quand l'inconscient se d{gage ...
La vie a {t{ une course poursuite vers l'inconscient.Cel@ ne veut pas dire, je
doit absolument trouver mon incoscient, trouver la beaut{ {ternelle qui s'y
cache, mais que l'on doit par la nature des choses pouvoir l'exprimer par
des faits et des paroles qui deviennent sens{es par elles-memes en {tant que
d'infimes petites parcelles se mouvant dans l'esprit telle une beaut{
{ternelle.L'insconsient peut se percevoir, mais ne doit pas m}ne au conscient,
il doit rester r{veur par la pens{e.Vous allez me dire que cel@ ne mene nul
part, si cel@ mene @ se cr{er son veritable monde par le monde r{el lui-meme.
Ce monde r{el reste inchang{ ce qui lui apporte une certaine beaut{.Cel@
revient @ dire que j'aime la mort pour la vie.Votre esprit ne doit pas se
porter sur la fausse nature cr{er par l'homme mais sur la vraie.Dans cette
nature, il n'y a aucun contraire, il n'y a que des corr{lations, des liaisons.
Elle est en elle-meme un juste milieu, la nature des hommes ne voient que
contraires et l@ doit se cr{er un juste milieu, la liaison entre les
contraires humains.Avez-vous peur du monde ? Si vous lui trouvez une beaut{,
la vie est au milieu tel un amour humain.La beaut{ ainsi cr{er ne vieillit pas
et ne peut pas s'oublier car elle est dans votre conscient et inconscient.
Encore une petite chose, quand votre inconscient cherche un contraire, vous
pouvez tombez dans un {tat de d{prime, car je pense qu'est alors une nouvelle
sensation pour l'inconscient qu'il n'a pas encore analyser.Contraire veut dire
deux sensations qui s'opposent car elles sont "parfaites" dans leur r{gion,
mais ne se connaissent pas, elles s'opposent et l'inconscient est l@ pour
trouver la r{ponse, une r{conciliation.
Inconscient est en lui meme {goscentique, car elle s'oppose au conscient.Mais
quand le conscient r{agit par l'inconscient cette {goscentrisme s'annule,
c'est une chose tr{s rare.
Elle m'arrive en ce moment(afin si on peut parler de moment), vous me croirez
fou, mais quand le conscient "disparait" dans l'inconscient les pharses des
autres nous viennent directement et le temps semblent s'arret{, l'espace
autour n'est pas vide mais il est vraiment rempli d'un drole de sensation que
je ne peux pas d{crire, mais elle est tr{s agr{able.
"Ne pas avoir de la douleur ne signifie pas que le plaisir est l@", ce serait
la pharse qui r{sumerai le mieux la sensation.
O| meme que le conscient est toujours l@ mais est englob{ par l'inconscient.
Le conscient cr{{ alors une sensation, la sensation de l'inconscient.
Cel@ est je pense, la meilleur explication, mais elle ne vous dit rien bien
sur.
Pour conclure, je dirais que je n'ai pas reni{ les contraires car ils m'ont
aider @ trouver la vie.Voici donc les yeux de la pens{e passive, et je pense
que si tous vous aviez ces yeux, la vie serait un immense joie.Car moi meme je
me suis retrouv{ enfermer dans une chose que les gens ne comprennaient pas, et
cel@ m'a d{sol{, mais je voyais alors d'autres contraires qui pouvaient
m'apporter une r{ponse.La meilleure r{ponse a {t{ l'{criture, mais elle
n'{tait pas aussi sur que je le souhaitais.Et je l'ai respect{e, car elle
m'a fournit un doute.
Maintenant que je suis un Divin, je vais pouvoir cr{er mon univers avec tout
les contraires que j'ai rencontr{.Je suis devenu un juste milieu.


La toile de la boule illumin{e.
-------------------------------
Une petite boule transparent,
Aux facettes inject{ d'oeil tournoir dans le vide.
Toute petite, elle semble si fragile.
Elle tourne @ une vitesse incalculable.
Je peux l'imaginer plus grosse, moins grosse, inexistante
Mais elle se faufile
Comme si elle ne pouvait pas disparaitre de ma vue.
Meme les yeux ferm{s, elle est l@.
Elle par sa rondeur,
Je peux dire que c'est elle,
Mais comment savoir si elle est elle.
La rondeur ne veut pas dire elle, ni il, ni autre pronom.
Car cette boule par sa transparence est l@, tout simplement.
Fixant un Dieu juste face @ moi,
L'oeil gauche se ferme,
Je vois de l'oeil droit @ un centim}tre ce tournoiement.
L'oeil droit se ferme,
Je vois de l'oeil gauche @ un centim}tre ce meme tournoiement,
Sans interruption.
De toute fa|on si je ferme les deux,
Elle est l@, toujours l@.
Depuis mon enfance je l'ai remarqu{,
Elle ne change pas.
Peut-etre a-t-elle grossit un petit peu,
Mais je peux la faire grossir,
Alors a quoi sert-elle cette petite boulle qui illumine mes yeux ferm{s ?
Elle est immobile, donc en mouvement perp{tuelle
La force qu'elle d{gage ne peut-etre que cel@.
A quoi sert-elle, @ voir le milieu.
Elle va un jour {clat{
Tellement elle s'est retenue.
Dieu est tout, cel@ est dit,
Mais il est tout car il n'a rien {t{.


Beaut{ {ternelle.
-----------------

Comme une note qui a cr{e l'harmonie d'un murmure,
Siflotant dans l'air, reposant et ap{sant.
Comme une architecture d'un Dieu qui est cach{ par la fa\ade,
Galopante dans un oeil, serein et attentif.
Comme une pierre qui a d{livr{ des cercles d'eau,
Faisant d{bord{ l'oc{an, enthousiasme et g{n{reux.
Comme un centre de gravit{ qui a lib}r{ d'un lourd fardaux,
Soupesant de l{gert{, durable et immobile.
Comme un d{grad{ d'osbscurit{ qui a fil{ vers une claret{,
Constant de limpidit{, {tal{ et perceptible.
Comme le milieu d'un oeil profond.
Ainsi la boule transparente explose,
Et laisse divaguer ses yeux.

 

 

 

 

FICHIER : POEME2

La tortue montant une petite dune se sert de ses pattes
elles s'enfoncent dans le sable froid de la nuit,
elles glisent faisant des remous de grains,
Montant lentement elle est entrain{e par son poids,
elle sent la lourdeur venant de derriere,
elle se cambre doucement,
et tombe vers la d'o| elle vient
Sa carapace touchant le sable,
se stabilisant du mieux qu'elle peut
comme un man}ge qui flotte dans l'air,
L@, elle ne bouge plus
se demandant ce qui lui arrive,
sa maison est chambloul{e,
tout devant devient derri}re
elle ne peut boug{e,
L@, calmemant, que peut elle pensait,
Son corps physique la trahit jusqu'@ la mort.
L@, calmemant, que peut elle pensait,
Devant l'immensit{ du ciel,
ne pense-t-elle plus,
se laisse-t-elle all{e,
L@, elle s'{nerve, bougeant les pattes,
et raflant le sol, mais ne pouvant rien faire
Sans dessus dessous, que peut-elle pens{e ?
Elle ne pense plus, ses yeux grands ouverts,
la nuit, elle voit des flashs qui l'illuminent
Ils se r{p}tent et l'emmene avec vers le ciel,
ce ciel qu'elle n'a jamais vraiment vu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : PUBCHIEN

 

9 fois sur dix un chien oubli d'aboyer.

Il grogner,il aboyer,il faisait du bruit quoi.Ce chien nous parlez a chaque
fois qu'on passait devant lui.Mais un mauvais jour, il a
oublie.Et malheur a lui se fut un mauvais jour.On venait de cambrioler son
proprietaire.Cet homme sort et engeule le chien.
"-Qu'est qui t'a prit de ne pas aboyer,tu es malade."
Et oui neuf fois sur dix on commet une violation de la loi sans qu'on ne dise
rien comme le fait ce chien.Alors arretons de reflechir,comme a du faire ce
chien,et passons au acte,aboyons comme des chiens contre le crime.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : QUAI

Le quai de l'inconnu
chapitre 1:La gare.
-----------

Il y a beaucoup de monde,meme trop.La gare se remplit et se vide a chaque
arriver d'un train.Un homme portant une veste noire s'avance vers un guichet.
Ses pas ressonnent,cela est certainement du au botte qu'il a chausse.Il s'appuit
sur le rebord du guichet et sur de lui il demande l'heure du prochain train.
Destination inconnue pour lui.L'homme du guichet,dont le nom Frederick
Dolepanger est inscrit sur une plaque,lui tend son billet.Il le saisit et
l'inspecte,puis fait un cheque.Il signe:"David MANSOUL."Regardant l'heure
il se dirige vers son quai.
Apres un long voyage dans un train assez delabre,preuve que beaucoup de
personne y sont montes,il arrive enfin a sa destination.
Il sort de la gare et appele un taxi.Une voiture noire et rouge s'arrete
devant lui.Celle-ci porte le mot Taxi qui clignote sur le toit.
Il s'engoufre dans la voiture sans rien dire.Le chauffeur commence a lui parler:
-"Vous avez fait bon voyage.
-Oui, assez plaisant.
-Ma foi,les trains ne sont plus tout jeune.
-Oui, mais tout de meme agreable.
-Si ca vous plait alors..
Il tourne la cle de contact et quitte la gare.
"-Cela fait longtemps que vous travaillez comme Taxi de cette gare,demande David.
-Assez longtemps pour la detester.
-Cela ne fait pas si longtemps alors.
-Puis-que vous le dites.
Il accelere, d'un coup de pied rapide sur la pedale.
"-Se sera long pour que l'on arrive.
-Non,vous etes deja arriver.
David se tourne precipitament sur sa droite pour regarder la vitre.Il ouvre la
porte et donne un billet au chauffeur.
"-Merci,et au plaisir de vous revoir,repond celui-ci en lui rendant la monnaie
Un autre taxi se gare derriere lui.David et l'homme du deuxieme taxi ouvre
leurs portefeuilles pour remettre leurs monaies que leurs a rendu les chauffeurs.Ils traversent
la rue..Ils traversent la rue en meme temps.Quand un enorme camion vient les
percuter.
Les deux portefeuilles s'ecrasent sur la route.David et l'homme sont etendus
par terre.Le choc n'etant pas assez brutal pour leur faconner une mort
ils se relevent et ramassent leurs portefeuilles.
Puis s'en vont de leur cote s'en pour autant savoir ou il vont.le choc a du les
perturber.L'homme du camion sort de sa cabine et leur cri:
-VOus etes malades vous deux.
David referme son portefeuille qui a du s'ouvrir pendant l'accident et voit
sa carte d'identite porte le nom de James Rai.Apres l'avoir remit il regarde
l'autre homme.Il titube et semble desorienter.

 

 

 

 

 

 

FICHIER : QUAI2


Chapitre 2:La route

Il se retrouve dans une autre rue plaine de gens qui le regarde.Il inspecte de
partout mais ne se rapelle
plus de rien.Son nom il le sait c'est James RAI.Une voiture s'arrette et
un homme lui demande si il peut l'amener quelque part.Il resort son portefeuille
et lui demande de le conduir a cette adresse:la sienne.
"-Bien sur se n'est pas tres loin,il lui repons,montez."
James s'execute et se laisse tombe sur le siege arriere.La voiture demarre.
"-Je vous demande ca parceque vous avez l'air completement desorienter,lui
sort le conducteur.
-Vous avez raison je ne sais plus ou je suis.Je ne ma rapelle plus de rien.
-Vous inquietez pas cela va vous revenir une fois chez vous.
-Qui etes-vous ?
-Je suis Albert Sois.J'abite pas loin de chez vous.
-Ah,c'est bien.Vous m'avez deja vu ?
-Non,je ne me rapelle pas votre visage mais votre nom me dit quelque chose.
-Tant pis,comme vous dites en arrivant chez moi je me souviendrais.
-Oui vous verrez.
-C'est loin?
-Non,on y est presque.Encore 300 metres.
-Mais pourtant la route est desertique.
James a raison pas une suele maison en vue.Que lui disait cet homme ?Il mentait.
La voiture s'arrete et l'homme se retourne:
-Voila,on est arrivee.
-Mais,il n'y a rien ici.Pourquoi voulez-vous que je descende.
-descendez,je vous dit.
Devant le serieux du conducteur, il ne peut que descendre.On ne sais jamais.Il
est deja amnesique et ne veux pas l'etre pour toujours.James mets le pied
sur la route et ferme la porte.La voiture demarre au quart de tour.Le voila
seul maintenant,et la nuit commence a tombe.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : QUAI3

 

3eme chapitre: l'hotel.
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James arrive face a une chambre qui semble etre la premiere.Il regarde le numero
de sa cle:Nø1.Il commence a l'ouvrir.Sa main se fond sur la poignee.
Il se retrouve dans une chambre pleine de fauteuils.Pourquoi tout ces fauteuils
,se demande-t-il.Qui attende-t-il pour avoir mis tant de fauteuil?
Une sorte de chaise est instalee au milieu.Elle porte le numero 1.IL decide
de s'assoir.Un rayon de soleil qui passe par une fenetre entreouverte vient
lui atterir sur son front.Il voit une petite lumiere sortir de l'ombre.
Une femme apparait,elle est habille de facon simple mais tres agreable a voir.
James curieux de savoir qui cela peut-etre lui fait un geste qui ilustre cette
question.
La femme lui parle :
"-Ne me toucher pas!!
-Mais je ne contait pas vous touchez en faisant ce geste.
-Bien et que voulez-vous ?
-Moi,je ne veux rien du tout.
-Vous etes sur.
-En fait en ce moment je ne suis sur de rien.
-Je le sais, sinon vous ne serez pas la.
-Et qui etes vous?
-Je suis ici pour..non je ne peux pas vous le dire.Il faut que vous deviniez
pourquoi vous etes ici.
Il ne devine rien mais c'est qui est cette femme.De la facon d'on elle parle,
elle ressemble a la femme qui la ammene ici.
-Cela fait deux fois que je vous voit.
-Oui
James se leve.
"-Mais qui etes-vous ?Allez vous me repondre.Crit-il brutalement.
-Tout ce que je peux vous dire,c'est que vous chercher quelque chose que j'ai
-Je ne cherche qu'a retrouver ma memoire.
-Je suis une sorte d'ange.
-Un ange a qui on a coupe les ailes pour mieux que je l'attrape.Et si vous
dites que vous etes ce que je cherche...
Il avance rapidement vers elle,en tendant ses bras pour l'attraper mais elle
disparait comme elle est venu.
La porte s'ouvre de coup de vent et le receptionniste entre:
"-Vous avez voulu l'attrapper !!!
-He, je ne sais pas.
-Bien sur.TOut le monde veux l'attraper.
-Et qui est-elle ?
-Personne ne sais.
-Pourtant cela fait longtemps que vous etes-ici.Non ?
-Oui,mais je ne sais toujours rien.
Une petite fille arrive derriŠre le reptionniste.
James se souvient d'elle.
"-Qui est cet petite fille.Je l'ai deja vu.
-Ma fille vous l'avez deja vu.
-Oui.Je l'ai vu.Tout a l'heure.Alors que j'etait encore sous le chocs de
mon accident.
-Vous vous souvenez de votre accident ?
-Oui,mais vaguement.
-Et ma fille qu'a-elle fait ?
-Elle m'a....
-Oui,allez-y faites cela pour elle.
-Pour elle?
-Oui.
-Mais ou sommes nous ?
-Allez vous le dire a la fin.
-Oui.Je vais vous le dire si vous me dites ou je suis.
-Je ne sais pas.
-Vous vous moquez de moi.
-Non,allez dites le.
-Je ne vous le direz pas.
Ce que ne voulez pas dire James c'est que la peite fille qu'il avait devantlui
etait celle qui tout a l'heure lui a crache au visage et envoye une terrible
gifle.
-Je vais etre obliger de vous mettre dehors.
-Pourquoi ?
-Tout d'abord vous n'auriez pas du essayer d'attrapez l'ange et ensuite
vous ne voulez rien dire sur ma fille.
Le receptionniste qui a l'air d'etre aussi le directeur de l'hotel le prend
par son col est descends l'escalier en le trainant.Arriver a la porte il le
jete dehors.
James se retrouve dans le meme route que tout a l'heure.Mais cette fois il
y a toute une ville.Peut-etre ne l'avait-il pas vu quand l'hotel a apparu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : QUAI4

Chapitre 4:Le chien noir qui marche sur la route.
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James se retourne pour voir l'hotel.Il est immense et ressemble a un coeur.
il commence a marcher dans la rue et arriver a un coin de rue.Une femme
sorte precipitament d'une ruelle.Elle a le visage tres creux et semble tres
affaiblit.Elle regarde de partout comme si elle cherchait quelque chose.
Elle a dans ses mains un bouquet de rose,ce qui lui fait ressemblait a une
tombe fleurit tellement elle a l'air epuise.Elle rerentre dans la ruelle.
Les bottes de James continu a faire du bruit.Il a reperait un chien.Il est a
cent metres de lui et semble effrayant.Il descend la route en passant de
gauche a droite.Lui aussi cheche-t-il quelque chose?
Plus il s'approche de James plus le chien a l'air moins effrayant.En passant
a cotes de lui le chien semble meme lui sourir avec ses yeux.Mais il semble
deshydrater.Et ‡a une femme du quartier la remarquer.Elle sort meme de sa
maison et hurle apres James.
"-Mais vous ne voyez-vous pas que ce chien ve mourir!!Faites quelque
chose.C'est le votre apres tout.
James l'air etonner.
-le mien ?Comment ‡a ?
La femme rentre dans sa maison.
James se retourne pour revoir le chien.Il n'ai pas loin.Ses bottes resonnent
encore plus quand il court.Il arrive pres du chien et l'attrape.
"-Ce chien porte une plaque.Voyons voir ce qu'il y a d'ecrit dessus.
Il retourne la medaille et un nom qui le fait sursauter y est grave:
"Ne me toucher pas ,j'appartient a JAmes RAI et pas a vous!!!"
Un homme arrive face a lui.Il ne semble pas etre interresse par James.Mais
surprit par cette phase de la medaille,James lui pose une question.
"-Pourquoi,ce chien porte-t-il mon nom sur sa plaque?
-Parceque c'est le votre,tout simplement.
-Que cherchait-il tout a l'heure ?
-La meme chose que vous.
-Oui est quoi,dit James interesser.
-Votre memoire passe.
-Ma memoire passe ?
-Oui,nous la cherchon tous dans cette ville.
L'homme s'en va et James reste debout sans rien dire.Et il se retourne vers
l'homme en le scrutant d'un regarde choquer et interogatoire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : QUAI 5


Chapitre 5
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Apres avoir longtemps regarder l'homme s'en aller,James leva les yeux et
surprit il vue des flammes dans‚es dans le ciel.Ses yeux descendirent jusqu'a
l'origine de ce feu et la une femme gesticul‚e autour d'une maison enflamm‚e.
Elle courait tout le long de celle-ci.LA VVISION DE L'indien dansant autour
du feu revient dans sa tete.Il courrut aupres de cette femme, qui etait …
peine a 300 metres,et commenca a lui poser des questions:

-Pourquoi votre maison a prit feu.
-Je ne sais pas,j'ai du laisser quelque chose d'alumer.C'est certainement
une bouteille de gaz,lui repondit la femme qui perturber c'est assise
sur l'herbe de don jardin.
-Prevenez les pompiers ?
-Il n'y a pas de pompiers, il n'y a qu'un gendarmerie.
-Et ou a-t il une cabine telephonique ?
-pas de telephone ici.Qui etes vous vous etes nouveau ici.
-Oui pour ainsi dire.ALors ou est cette gendarmerie ?
-Je ne sais plus.Je ne me rapelle plus.Et j'ai tellement mal a la tete
james se tourne vers l'homme qui n'ai toujours pas partit et qui regarde
l'incident.
-Vous, vous devez savoir ou est cette gandarmeire.Ils pourront nous aider.
-Oui,je sais ou elle est.
-Dites le nous alors.
-Non.
Lhomme continu son chemin,puis se retourne:
-psittt.
-Oui.
Il fait un geste de la main indiquant le chemin de la fameux gendarmerie.
-Venez.Allons-y.
-Non,il faut que je reste ici.Et je suis si fatiquer.Vous allez-y pour
moi.
James par en courrant dans le sens que lui indique l'homme.
Ces bottes on arretaient de resonner qu'au bout de 3 minutes.Et la il se
tient devant une sorte de magazin refait pour ressemblait a une gendarmerie.
Il penetre a l'interieur et un bruit de sonette retantit.Il se retourne et
voit en haut de la porte des petites clochettes qui retentissent a chaque
ouverture de porte.Il s'avance tres doucement jusqu'au comptoir.Car ce
n'est qu'un comptoir raffistole en bois.Le chef de la gendarmerie rentre.
james afoler raconte l'histoire de la femme a celui-ci.
-Et qui etes vous,lui demande le chef.
-James Rai
-Ah oui l'amnesique qui vient d'arriver.
-Oui,c'est ca.
-Bon vous savez deja pourquoi vous etes ici.
-Je vous repondrai plus tard.Une femme attend de l'aide et je lui
ai dit que j'allau=is en chercher.
-On ne peut plus rien pour elle.
-Comment ca ,plus rien.
-Cette femme est fichu.Elle va arpenter les rues comme la vielle au fleur
que vous avez sans doute deja vu.
-Mais elle n'a plus d'argent.
-De l'argent ?Il n'y en a pas ici.Vous n'avez qu'un maison et le reste mais
pas d'argent.
-Mais pourquoi sa maison a-t-elle bruler.
-Elle a perdu sa patience.Et elle ne la pas retrouver.Ce que l'on perd
finit toujours par s'oublier et erer dans nos tete.C'est une facon
de mourir ici.On mais le feu au vielle chose perdu et elle errent
a tout jamais,leur tombe c'est d'errer a tout jamais.
-et si je l'enmenais chez moi.Je dois avoir une maison moi aussi.
-Elle ne peut pas,c'est contre la loi ici.Et si vous enfrainiez la loi
je vous mais dans une prison.Ou vous pourrait ne plus etre vu.Il n'y
a pas beaucoup de regle ici mais celle-ci est la plus importante.Vous
ne devez aider personne.Soyez egoiste.soyez individualiste.
-Et comment partir d'ici.
-Je vous le dit parceque vous etes nouveau et que vous ne savez rien.Mais
il faut retrouver votre memoire,l'homme qui...
Il s'arrette deux secondes.
-Vous vous souvenez de votre accident.
-Oui, mais vaguement.Je me souvient d'un autre homme accidente avec moi.
-Oui justement il faut retrouver cet homme,c'est lui qui a prit votre
memoire.Il s'apelle david MANSOUL.
-Non c'est moi David MABSOUL.
-Vous vous souvenez ?
-Oui,je me souvient de mon nom.Mais c'est tout.
-Allez vite dans la rue James Rai ne doit pas etre loin.Trouvez le
et ammenez le moi ici.
David sort de la rue et voit un homme lui ressemblant trait pour trait de
l'autre cote de la rue.Il commence a lui courir apres mais James s'echape en
tournant dans une ruelle.David, toujours a ces trousses rentre dans cette
ruelle mais se cogne contre quelqu'un.c'est la femme de la maison qui
brule.helas, James s'est enfuit.
-ah ,c'est vous,crit la femme.On ne vous a pas arreter.
-Non.Vous le saviez que si on s'ocupait des autres perdus il vous
mettait en prison.
-Oui.Mais j'en avais marre de vous.Je suis impatiente vous savez.
-Oui,je le sais maintenant.Ca doit etre embetant de chercher quelque
cose en etant impatient.
-Tres drole.
-Vous etes impatiente et vous le rester.
-Bon, je vais checher mon bouquet de roses.
-Ah oui les roses,un sourir mysterieux se degaga de David.
-Je vous dit adieu,je ne vais plus avoir le droit de parler a personne.
-Bien sur.
-Desole pour l'homme qui s'est echaper,vous auriez pu rentrez chez
vous rapidement.
-Oui partait ellez.
-Je croyait que vous etiez amnesique Mais je vois que vous
n'avez pas oublieer la mechancete et la cruaute.
-Ah,oui mon homme ne doit pas etre loin,excusez moi je doit le
poursuivre.
-Oui,c'est ca partait.
La femme s'en va.
Davdi court dans tout les sens et voit l'homme.

David en retrouvant petit a patit la memoie va devenir mechant et
brutal.L'ange va lui apportait l'amour.Et tout le monde lui demandera quant
il va patir ce qu'elle lui a donner.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : QUAI 6

 

Chapitre 6:La maison.
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Il court,il court,puis s'arrette.Il a devant lui l'ange qu'il ne faut
pas attraper.Avec L'homme a la memoire dans ses bras,l'ange lui sourit.
-Donner le moi,dit David.
-Non,vous n'etes pas pret,lui repond l'ange en continuant de sourir.
L'homme a la memoire a peur,il est terrifie par David.
-Retourner vous,voici votre maison.
-Ma maison ?
David la regard avec curiosite.
-Je ne veux pas de maison,je veux retourner chez moi.
Tout le quartier a du l'entendre .Mais l'ange a deja disparu en emmenant avec
elle cette chose a moitie peureuse que l'on appele sa memoire.
Une fenetre s'ouvre.
-Venez dans votre maison,vous serez en securite.
-Qui etes vous.Je ne connais personne dans cette ville.Comment voulez vous
que je retrouve ma memoire,dit-il retirant ses bottes.
-Venez...
Il avance et entre dans la soit disant securite que peut lui apporter sa maison.
Il tombe sur un salon poussireux et sombre.La voix continu a lui dire"Venez".
Il monte l'escalier,ouvre une porte.
-Mais que faites vous ici ?
A qui parle-t-il.
-Je vous croyez divorce depuis longtemgs et vous voila tout les deux
couche dans un lit.
-Approche et assit toi.
-Tu n'es pas partit en voyage.
-Si et je ne suis toujours pas revenu.
-Et ta femme que fait-elle ici.
-J'essais de l'aimer, tout simplement,dit la jeune femme completement nue et en plein
ebat amoureux.
Decrivons la scene:David se rapelle de ces deux personnages ,couches dans son
lit .Des fils electriques l'un coupant presque la respiration et qui
les ratachent en etant entoure autour de l'un cou respectifs.Les pieds de meme
il continu dans leurs ebats.Leurs visages barioles de rouge a levre.La fenetre
ouverte pour permetre de renouveler l'air qui serait irrespirable.David
assit sur une chaise qui risque de s'ecrouler au moindre mouvement attif.
Il est l… et continu a leur parler comme si de rien ete.
-Et qu'avez-vous perdu ?Vous etes l…
pour trouver quelque chose que vous avez perdu comme nous tous.
-Oh,tu es deja au courant.
-Vous aussi a ce que je vois.
-Nous sommes l… pour t'aider.
-Vous ne pouvait pas c'est contre la loi?
-Pas si tu ne dit rien.Et puis nous nous cherchons l'amour alors on
essait d'en donnez au autre tant que l'on peut et c'est dur.Surtout avec la
femme que j'ai.
-Arrete de parler et continu,crit la femme de cet homme.
-Arrete de crier toi!!C'est un ami,nous n'en avons deja pas beaucoup
alors si tu veux bien ferme la, et travaille.
-Comme tu veux...
La fille continu obliger par son mari.Drole de scene,tout de meme.
Il parle et font l'amour pour chercher l'un amour qui a disparu d'en leur
dispute electrique qui pourtant les relie.
-pourquoi ma maison, je ne veux pas d'embetement moi.
-S'il te plait,ne nous jete pas.
Et david resta assis sur la chaise toute la nuit.
Le matin se leve.Le soleil passe par la fenetre en venant taper les fesses
de ces deux personnages etrangeS.
-Sortez,j'en ai marre de vous,crit comme un dement David.
-Non !!
-AH,oui vous croyez que je suis comme cela.
L'ange passe devant la fenetre en tenant toujours dans ces bras James.Elle
lui fait un signe avec sa tete lui disant OUI.
-Sortez!!!
Les deux personnages sortent du mieux qu'ils peuvent.Et de longs minutes apres
se retrouvent dans la rue, les voisins les regardent.Les deux ex-amoureux
tombent et se relevent.Les fils electriques trainent par terre en faisant des
etincelles.David sur le seuil et impassible.
-BOU!BOU!BOU!BOU,crient les voisins.
David ferme la porte et en regardant le salon,il est prit d'un rire
diabolique.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : QUAI 7

Chapitre 7:La reunion
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Les rires de David resonnaient dans toute la ville.Ses bottes sont toujours
dans la rue,personne n'y touche.David fait peur rien que par son regard.
La ville s'est reunit et cherche a le lyncher.Les gens disent de lui qu'il
est rancunier,egoiste,individualiste,diabolique,hypocrite,sans coeur,
sinistre,antypatique,effrayant de haine,tyranique,incompris mais bien connu
pour sa bestialite,jaloux des autres,et qu'il est sourtout depuis qu'il
a presque retrouver sa memoire devenu mechant.
Il est chez lui,il n'ose plus sortir,terrorise par ces gens qu'il le meprisent.
Terrer dans sa chambre,derriere son lit degageant une odeur tres forte,il rit.
Toute la ville est devant sa porte.Elle pietine ses bottes.
Le soleil se couche,David est seul.Sa veste est salit par la poussiere.La
fenetre entreouverte,une lumiere eclaire la rue,les voisins sont eblouient par
cet beaute.Car c'est l'ange qui arrive.Il rentre dans sa chambre.David se leve,
lentement pour regarder cette femme qui devient de plus en plus
belle chaque jour.Ces cheveus blonds sont de plus en plus longs.Ses yeux verts qui
apporte tant d'amour.SEs mains fines et d'une longeur ideale.Mais David
,David le mechant ne pense qu'a regarder sa poitrine.
-Attrappe moi,dit l'ange.
David sans rien dire se precipite sur elle.
La porte de la maison s'ouvre,tout les perdus le regardent.Un brouah se
d‚gage de cette foule curieuse:
"QUe lui a aporter l'ange,va-t-il nous le dire ?Ou va-t-il?"
DAvid croise en passant devant eux les deux divorces,toujours avec les fil
electriques.
"-Vouv voulez savoir ce que l'ange m'a apporter?"
-Oui,repond le couple en meme temps.
-L'amour que chacun de vous a perdu.
-Mais nous n'avons pas perdu l'amour.
-Si,vous l'avez perdu en cherchant trop longtemps
les choses que vous aviez perdu.Et votre monde d'egoiste la aider a
disparaitre.Vos roses ressemblaient a cette amour.Vous l'avez porter
tout les jours dans vos bras qu'en vous erriez dans cette ville.Mais
sans vous en rendre compte.A chaque fois que vous perdez une chose,comme
la patience de cet femme a la maison bruler vous perder un peu d'amour,et
l'ange le colecte et me la donnez.Il m'a donnez l'amour perdu de vous tous."
-Vous voulez dire qu'a chaque fois que l'on joue la mechancete et que l'on
perd la genthillece et la sagesse,nous auront laisser tomber un amour
qui est alors perdu puisqu'il n'est pas sortit.Il est reste quelque part
au fond de nous,et un ange la colecter car il naviguait a travers cce
royame aux gens perdus et vous la donnez vous le plus mechant de nous
tous,essaya d'expliquer l'amoureux perdu dans les bras,serre l'un contre
l'autre, de sa femme.
-Exactement.
Et David s'en alla sous le regard des perdus qui n'ont helas jamais compris
ce qu'a voulut dire L'ange qui les narguer tant.Qui ne se laisse pas atrapper
par les gens qui ne comprennent rien a l'amour perdu.
David se retrouva sur la route brulante.Ses bottes sont en feu.Avait-il
rever couche sous cette arbre ou pose sur une branche il y avait un gentil
rouge george.Il enleva vite ses bottes qui etaient en train de lui ronger
la peau.La chaleur etait etoufante.Se levant s'un trait il comprit qu'il
valait qu'il retourne voir Lolita,sa charmante et douce femme.Le rouge-george
vient se percher sur son ‚paule et chante a tue tete.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : QUAI8

L'amour perdu.

La mechancete se perd dans l'amour.
L'amour se retrouve dans les pas de la mechancete perdu.
l'impatience est une patience perdue
la memoire passe est perdu dans l'amour
l'egoisme n'est qu'un amour impatient
l'amour ne s'attrappe pas il se donne en l'attrapant.
le feu fait danser l'impatience
la solitude est amour impatient
Crache sur la meoire perdu c'est comme crache sur la solitude
la memoire perdu est un peu d'amour perdu
dans tout ca l'amour est perdu
et un ange peut vous le donner.

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : QUAI 9

Ce que j'ai voulu dire dans Le QUAI DE L'INCONNU,c'est :
Prenons l mechancete,qui reunit les notions negatives des personnes,et l'amour
les bonnes.Si on considere que lorsque l'on est mechant on perd de lamour
alors l'amour obtenu serait perdu vu que l'amour qu l'on a utilise et qui
n'a pas servit puique la mechancete est resortit.l'amour qui n'est pas sortit
est perdu.Si un ange le donne a celui qui est le plus mechant du monde.Ce
serait une grande chose.
La ville perdu represente un monde perdu qui reunit toute les choses negatives
l'homme a la memoire arrive dans la ville et canalise les mechantes emotions
qui sortent des perdus.L'amour des deux divorces representes l'amour
impossible qui l'y a entre la mechancete et l'amour.Des que l'on devient
gentil on quitte le monde perdu.

 



 

 

 

 

FICHIER : QUAIFIN

 

Chapitre de fin: La petite fille

Encore une porte et il sera le fin mot de l'histoire.
Une porte rouge.Il avance d'un pas incertain et ses mains se fondent dans
la poignee.Il ouvre progressivement la porte et se retrouve assis dans une
chaise.Un petite fille se tient face … lui.Elle s'approche et le gifle puis
lui crache dessus.
"-Qui etes-vous?
-Je suis la petite fille a la vie eternelle qui crache sur les morts.
-Quoi!!Qu'insinuez-vous?que je suis mort!
-Oui est ca depuis le camion.
-Et la voiture,la jeune femme blonde,le rectioniste..
-La voiture c'etait ta vie,la fille blonde c'etait l'ange qui t'a fait
venir ici,le receptionniste notre chef.
-Et toi tu es un ange a qui on a coupe les ailes pour mieux que je t'attrape.
Il saisit la petite fille et retrouva dansant autour d'un feu.Il planait dans
l'espace et ca a tout jamais.La petite fille vecu eternelement.
L'espace c'est le diable car le vide ce n'est juste que l'enfer en personne.

 

 

 

 

 

 

FICHIER : QUELMOND.E

 


Quel monde ?
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"-Il lui balance la tete contre la porte du frigidaire.Puis il commence
a lui arracher les cheveux.
"-Non ‡a ne vas pas,il faut plus de sang,dit un realisateur de cinema.
-Alors il lui arrache ses jambes en commencant par les decouper a l'aide d'un
couteau de cuisine,repond un scenariste d'un ton mechant.
-Non plus de sang.Ecoute petit les gen maintenant veulent voir du sang sur un
ecran,ton texte est inteligent mais il manque du sang.Le monde se nourir de
la haine et ne pense presque plus a s'aimer.
-Alors on fait un film sur l'amour.
-L'amour ?Mais tu n'as rien compris.L'amour,il reflechit deux secondes,qu'est
ce qu'in peut dire sur l'amour.Un film d'amour represente juste deux etres
qui s'embrasse et couche ensemble.Et expliquer pourquoi ils en n'arrive la
serait trop complique.
-Alors qu'est-ce qu'on fait ?
-J'ai une idee qui me traverse la tete d'un coup,je te la dit avant quel ne
part.
-Allez-y.
-Ouverture,le titre:"La haine".Un caillou sur un chemin.Un homme qui marche.
Un chat noir qui traverse,l'homme ne le voit pas, il tombe.Il commence a
crier:
"-Mais ce putain de chat va me faire crever !!"
On enchaine,sa femme l'attend au palier de la maison,c'est a dire dans la rue
L'homme s'etant relever s'avance vers elle.Le caillou le fait tomber une
deuxieme fois.Il continu a crier:
"-Et voila qu'il s'y mais encore ce caillou de mes deux!!"
L'homme, fou furieux arrache le caillou de l'asphalt et en continuant de crier
il avance vers sa femme.Arriver devant elle il parle au caillou:
"-C'est de t'as faute tout ce qui m'arrive aujourd'hui alors n'en
rajoute pas, s'il te plait."
Il gifle sa femme.
"-Mais pourquoi tu m'as frapper ?
-Parceque je t'ai prit pour ce putain de caillou !!
Il donne le caillou a sa femme et il rentre chez lui.
La femme reste bouche be.
-Moi un caillou ? Une putain daccord mais un caillou.
Elle sert le caillou et le lance.Il atterit chez les voisins en cassant une
vitre.La voisin sort:
"-Vous n'avez pas honte a votre age d'envoyer des caillou chez les gens.
-Non justement pas a mon age !!
La voisine rentre en colere chez elle.Elle ramasse le caillou et les bouts de
verre.
"-Rogers,c'est voisin devient de plus en plus encombrant,il faudrait
s'en debarraser.
-D'accord,j'appele les flics.
Elle envoit le caillou dans la rue.Un gamin passe et le ramasse.
Il s'avance vers une fenetre d'une maison.La television peut se voir de la.
Un film montre un homme en train d'en tuer un autre.Le gamin se retourne vers
la rue et sort un lance pierre de sa poche.Il lance la pierre.
Elle atterit sur la tete d'un homme,il ne dit rien et la jete sans regarder.
Elle vient se poser sur une toile d'un peintre ressemblant a Dali.
Le peintre se retourne et geule:
"-Encore un qui vient me deranger mais c'est une honte.Un scandale.
-Mais,je n'y suis...
-C'est de l'art que l'on fait nous et nous ne voulont pas etre deranger
meme par une simple petite pierre,dit-il en montant sa tete et en
faisant le fier.
-Mais..
-Ca suffit reprener votre pierre et partez !!!
L'homme ramasse sa pierre et s'en vas.
Il la met dans sa poche.
Il rentre chez lui et pose la pierre sur le bord de sa fenetre.
Dix ans plus tard.La pierre est tombee dans la rue.
Un homme la ramasse et la mais dans un sac.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED1

VOUS JOUEZ LE ROUGE ET LE NOIR SORT.
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Par Damien ANRES
Chapitre 1:Le rendez-vous.
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Une jeune femme immobile se tient dans le noir.Elle porte une longue robe
rouge.Sa main tremble, elle semble attendre quelqu'un.Mais, au lieu de
s'agiter, elle ne bouge pas, elle a peur.Sa chambre semble peu a peu se dessine
grace au soleil qui penetre petit a petit par un fenestrou.Sa robe devient
rouge vif et sa main tremble de moins en moins.Sur son visage, des minuscules
rides apparaissent.Quelqu'un frappe a la porte.Elle se couche sur son lit
et se recoife d'un coup de main.
"-Entrez."mumure-t-elle.
La porte s'ouvre pour laisser place a un homme d'une quarantaine d'annee,
cheveux et complet rouges ,moustache epaisse.Un verre de cafe a la main il
s'approche de la femme.
"-Tiens cela te feras du bien,Annie.
-Non je te remerci, Jack, mais je ne peux pas boire ca.
-Comme tu veux mais je t'aurai prevenu.Je sais que tu a peur de la nuit
mais il faudra-t-y faire. "
L'homme laisse le verre sur sa table de nuit et sort de la chambre.Une fois
dehorhs, Jack entend la femme criee:
"Mon dieu,ce cafe..."
Le silence se referme.L'homme, accroupi devant le trou de la serrure, apercoit
la femme; ses cheveux longs et rouges sont eclaires par le soleil,ses yeux grand
ouvert.La femme se leve et se rapproche de la porte.L'homme effraye s'eloigne
precipitament de la porte.Celle-ci s'ouvre et la femme apparait :
"-A quelle heure ils arrivent ?"
-Ce soir."La porte se referme brutalement.

Le soir a l'heure du dinner.L'homme prepare la table.IL se retourne
vers l'escalier et crit :
"-Depeche-toi,ils ne vont pas tarder a arriver.
-Je descends dans une minute.
-Tout ..."
Quelqu'un frappe a la porte.Un minuscule homme, vetu de noir, apparait.Il est
suivi d'une femme d'une quarantaine d'annee, elle aussi habillait de noir.
Sa jupe est raide de meme que ses cheuveux.
"-Bonjour,ma femme ne va pas tarder a descendre.
-Bon,dit le petit homme.Asseyons-nous.
-Je vais preparer le reste du diner,dit Jack."
Il se faufile dans la cuisine.Le petit homme et la femme se retrouve
seul a table.L'homme commence a rigoler et la femme sort de son sac deux
serviettes et deux couverts noirs.Annie descend l'escalier en s'accrochant
a la rampe.Les deux invites se retournent et demandent a la femme:
"-J'espere que nous allons en finir ce soir ?
-Oui,ce soir,repond Annie.
-Tant mieux je n'ai pas envie de revenir ici."
Le petit homme fait un geste circulaire de la main comme pour montrer l'aspect
de la piece.Jack sort de la cuisine.
"-On Mange et on conclu."
Au fur et a mesure que les minutes disparaissent, l'atmosphere se fait de plus
en plus lourd.Le petit homme demande a Jack:
"-Je me demande quel est l'etre qui va craquer en premier."
La femme du nain scrute son assiette avec son couteau, au manche noir :
"-Je n'aime que la viande carbonise, crie la femme du nain.
-Pourtant, il va falloir que vous vous y habituez, repond fermement Jack.
-Mais comment peux-t-on manger quelque chose d'aussi...d'aussi...
-...rouge, c'est ca !! Repond aussi fermement Annie.
-Arretons de manger cela ne sert a rien,dit l'homme de petite taille.Et
commencons l'echange.
Un tout petit ange passe.
-Le nain,dit Jack.
-Ne m'appelez plus le nain!!
-Pardon.Stingo, vous emmenez Annie et on se retrouve dans 1 semaine, si
on arrive jusqu'a la.
-J'y arriverai.Et vous faites attention avec ma Lolita.
-Ne vous inquietez pas.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED2

 

Chapitre 2: La rouge et le noir
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Apres quelques kilometres parcourus.
Stingo, le nain, et, Annie arrivent a un grand chalet perdu dans la montagne.
Annie ,une lampe torche a la main droite et ses affaires de l'autre, s'eclaire
le visage.Stingo marche lentement.Ils arrivent a la porte, quand soudain un
enorme chien noir de race inconnu vient renifler la jupe d'annie.Elle lui
frappe la tete a l'aide de sa torche.
"-Vous avez de la chance d'avoir un chien ,dit-elle.
-Quelles especes d'animaux avez-vous ?
-Nous n'avons que des poissons rouges."
La femmme aux cheveux rouges se retrouve dans une piece tres peu eclairee par
deux lampes recouvertes d'un foulard noir.Elle laisse ses affaires et demande:
"-Puis-je telephoner a mon mari pour le prevenir que je suis bien arrive.
-Allez-y ,j'ai branche un telephone dans votre chambre.Mais c'est votre
derniere conversation avec lui.
-Bien, merci."
Un immense escalier s'ouvre a elle.Elle monte d'un pas presse,son regard ne
peux quitter sa lampe.Elle se guide grace a son autre main.Un miaulement se fait
entendre dans la maison; prise de panique elle se refugie dans un recoin du
couloir.Ses mains deviennent mouates et sa salive a du mal a se former.Ses yeux
devient rouge et ses sourcils se soulevent formant un V parfait.Des bruits
d'ailes se rapproche.Un Bang enorme se produit dans la fragile tete de la femme.
Elle tomba par terre tete la premiere.
Comment peux-t-on etre aussi effrayer par un simple chat,se demande le nain.
La jeune femme couche,sur un lit recouvert d'une immense couette,a le crane
fracasser.Elle entrouvre ses yeux.Le nain se precipite dans un placard qui
servait autrefois a mettre les costumes de sa femme,mais maintenant il est
vide.Ses pupilles noires brillent.La jeune femme ,une fois ses esprits
retrouvaient se leve est allume une immense lampe.Elle commence alors a se
desabiller pour pouvoir enlever le sang qui avait coule le long de sa robe.
Le nain a le visage qui se tend.Un long canape orne la piece ainsi qu'un grand
mirroir.La femme a moitie nu s'y regarde ,de nouvelles rides ont apparru.
"-Encore et encore ,je viellis", s'exclame Annie.
Elle se retourne et regarde la table de nuit.Un mot ecrit a l'encre noire y
est depose.Elle s'approche du lit et de la table quand soudain...
Le nain sort du placard et se precipite sur elle,l'attrappant par le bras et
la balancant sur le canape.La femme ne veut pas, elle ne veut pas quoi me
direz-vous.Elle ne veut pas, c'est tout...

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED3



Chapitre 3:Le rouge et La noir
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Pendant ce temps a la maison des RED, assis, les deux etrangers discutent :
"-Vous avez emmener vos affaires ?
-Oui, tout ce que je pouvais emmener est ici.
-Bien, je vous conduit a votre chambre ou vous pourrait vous installez."
Les deux etres montent et se retrouvent dans une chambre rouge.
"-Je vous laisse, j'ai foule de choses a faire.
-Bien,a tout a l'heure."
La femme fait le tour de sa nouvelle chambre pour s'habituer a l'environement.
Sa jupe noire produit un bruit de froissement.Elle deballe son sac.
Des draps, des affaires de toilette, toute sa garde robe, et des tones d'autre
choses noires qui parraissent sans interet a premiere vue.
Elle se change en mettant quelque chose qui convient mieux au lieu ou elle se
trouve.Elle allume une cigarette,et s'assoir en attendant patiement que Jack
revienne.
Pendant ce temps,Jack telephone a Stingo pour avoir des nouvelles.
Trois,quatre sonnerie personne ne repond.Il monte retrouver Lolita;il ouvre
la porte de sa chambre,un grincement s'en degage.
"-j'ai telephone au chalet personne ne repond.
-Tant mieux,qu'il y soit et qu'il y reste jusqu'a leur mort.
-Vous avez raison,mais ce n'est qu'en meme pas normal.
-Quelle heure est-il ?demande Lolita.
-Trois heures du matin.
Jack se rapproche d'elle.
"-Vous avez le teint pale, qu'a tu fait pendant mon absence.
-Rien, j'ai juste fume une cigarette.
-donne moi tes mains.
Elle se leve et lui tend le paumes

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED4

 

Chapitre 4 :Pendant ce temps dans le chalet.
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Annie, alongee sur le canape de sa chambre, ne bouge pas.Elle porte sur
son visage crispe, des bleues et des contusions.Stingo se tient face a elle.
En souriant, il pousse l'interrupture de la piece.Un noir sinistre et derangeaant
l'invahit .Annie terorisee par ce noir se recroqueville dans le coin
du canape en poussant de petit cri strident.
"-Qu'est-ce qu'il se passe annie tu as peur!Tu n'es decidement
qu'une gamine pour avoir peur ainsi.
-Non, ralumes, je t'en prit !!
L'homme s'approche en faisant le moins de bruit possible.Il lui touche l'epaule
et lui envoit une gifle qui la propulse sur le sol.
"-Je te previens ,Stinggo, la prochanie fois que tu ma frappe ainsi je te
tue!!
-Tu n'oserais pas faire ca." Il prend une bonne bouffee d'air et continu."
Tu m'aime trop !!dit-il d'un ton sacarstique.
-C'est ce que tu croit.Du reste personne ne t'aime en ville.
-Ces gens la sont tous des abrutis et des salopards!!
-Un jour je te tuerai, je te le jure.Et ca fait plusieurs annees que j'y
pense.
-Mais tu n'y est toujours pas arriver ,n'est ce pas.Tu voir ,tu m'aime.
-Si on peut appeler ca de l'amour,alors oui je t'aime a un tel point que
j'aimerai te tuer.
Stingo rallume;Annie le regarde et decouvre que son visage a au moins viellis
de 10 ans.Aurait-il peur d'elle ?
Il sort de la piece en claquant la porte.Elle se rassis sur le canape et sourit.
Il n'est pas aussi fort qu'il en a l'air, pensa-t-elle.Mais s'en le savoir elle
l'ai encore moins que lui.Elle a vielit de vingt ans.
Annie se leve et regarde sa montre.4h du matin.Elle a sommeil mais elle ne peut
pas dormir.Est-ce la peur de son mari ou la nuit elle meme qui l'en empeche ?
Ou meme les deux.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED5

Chapitre 5: Le lendemain a la maison des RED.
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Jack a du mal a se reveiller.Pas etonnant apres une telle nuit.Lolita, sa femme
est couche a cotes de lui.Elle est deja reveille.
"-Je vais chercher les journaux et les croissants.
-Hum,hum..."
De retour de chez le boulanger, Lolita trouvre la table mise pour le petit dejeuner.
Jack assis tranquillement, l'attend.
"-Tiens voila le journal et les croissants.
-Merci, demain, je te le promet j'irai les chercher.
-Non,cela ne fait rien.Ca me fait plaisir.
Il ouvre le journal.
"-Encore un meurtre aujourd'hui.
-Encore!!Qui est-ce cette fois ?
il commence a lire:
"Un nouveau meutre a ete commis cette nuit, a 5 kilometre d'ici.Une jeune
femme a ete etrangler par son mari.Elle avait trente ans;on l'a retrouver avec
le visage d'une femme de 70 ans.Alfred Hans a ete arretter la nuit
meme.C'etait un medecin et sa femme, Marie Hans, une secretaire.Alfred
Hans a ete condamner a 15 ans de prison, pour meutre et necrophilie."
Il ferme le journal:
"-Voila une chose qui ne risque pas de nous arriver.N'est-ce pas
cherie ?
-J'espere bien, repond Lolita."

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED6

Chapitre 6:Le placard.
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Dans le chalet.
Annie n'a pas dormit de la nuit.Et cela fait une eternite
qu'elle ne dort plus.Stingo dort encore.Elle en profite pour se changer et
enfiler des vetements plus approprie;un pantalon noir et un pull noir.
Stingo se reveille et vient voir Annie.
"-Bien dormit, Annie.
-Je te meprise, je te hais!!!
-Tu es toujours de mauvaise humeur.Ce n'est pas bien.
-Je t'aurai prevenu, Stingo.
Elle sort un couteau, qu'elle avait precieusement cache dans le tiroir de sa
table de nuit, et le pointe vers lui.
"-Qu'est-ce que tu veux faire ? Me tuer.
-Tu es pire qu'un negre,crie Annie.
-Parce que tu es raciste en plus.
Annie s'avance vers lui et lui entaille son bras.Stingo lui saissit le poignet
et la traine hors de sa chambre.Il descend l'escalier en faisant ricocher la
tete de la femme sur les marches.Il sort une cle de sa poche, ouvre une porte
et la balance a l'interieur.
"-Voila un placard qui te fera le plus grand bien.Apprend a aime le
noir, tu as tout le temps vu qu'il n'y a pas de lampe.Et ce n'est
pas avec ta frele epaule que tu vas defoncer la porte.
-Fait moi sortir!!!
-Ne compte pas sur moi.
Stingo s'en va en laissant hurler Annie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED7

Chapitre 7:
___________

La nuit est tombe sur la maison des RED,Jack est inquiet pour sa femme.Elle
n'arrive pas a dormir et pousse des gemissemnts.Terree dans un coin,
ses jambes recroquevillees,elle tremble.Jack est face a elle.Elle se leve
et lui attrape ses epaules.
"-Tu lui a telephone,hein?
-Telephone ?Mais a qui ?
-Tu ne le sais pas, mais il est la autour de nous.
-Mais de quoi tu parles ?
Elle se remet dans son coin.Jack sort.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED8

Chapitre 8: Le noir
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Une semaine plus tard au chalet

Stingo mangeait seul, il vivait seul ou plutot il pensait vivre seul.Mais
les cris de sa femme le ramenaient vite a la realite.Un beau jour, ou il
n'entendait plus sa Annie crier, il decida d'ouvrir le placard.Elle doit
etre morte de peur se dicait-il.Il ouvrit la porte et stupefait il recu
un couteau de couteau en plein ventre.Sa femme n'avait pas prit un ride.
Elle n'avait pas eu de la peur en restant enfermer mais elle etait empli
de haine envers son maari.Elle se redressa sur le corps de son mari et
se mit a crier:
"-Je t'avais prevenu, tu ne m'as apporter que de la haine !!
Elle monta dans sa chambre en se souvenant de la lettre posait sur la
table de nuit.Elle commenca a la lire a voix haute:
"-Jack m'a appelle hier, il veut me rencontrer.Je lui est dit que cela
n'etait pas possible car sa femme et lui vivairt trop hereux pour qu'on
ne vient les dereangeait.Alors je suis alle chez Alfred Hans car il
me l'avait demander de puis longtemps et qui le meritait tant.
Signe Stingo et Annie"
On retrouva le corps rapidement et on la condamna a 15 ans de prison
Un matin on la retrouva morte de peur.Parait-il qu'elle avait les deux mains
sur son visage, essayant peut-etre de se tirer la peau en arriere.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED9


Capitre 9: Jack et Lolita
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Jack trouva Lolita dans sa chambre,il la prit dans ses bras
et l'embrassa.Il commenca … lui parler d'un douceur extreme:
-J'ai fait la rencontre d'un Rouge george,il m'a renconte une histoire et
j'ai comprit que c'etait la notre histoire.Je l'ai emmenez avec moi,il est
en bas sur un perchoir et chante pour nous."
Et ils danserent sur une musique qui disait a peu pres ces
mot la:
"Ne viellit pas
Le noir sortira
La peur ne frappe pas a ta porte
Je suis ton ame soeur,en quelque sorte

Je ne viendrai pas te voir
Car tu le fera choir
Rouge, tout est si rouge
Que tu ne peux qu'etre que douce

Ne viellit pas
le noir sortira
La peur ne frappe pas a ta porte
Car je suis ton ame soeur, en quelque sorte

La mechancete se perd dans l'amour.
L'amour se retrouve dans les pas de la mechancete perdu.
l'impatience est une patience perdue
la memoire passe est perdu dans l'amour

l'egoisme n'est qu'un amour impatient
l'amour ne s'attrappe pas il se donne en l'attrapant.
le feu fait danser l'impatience et l'amour perdu
la solitude est amour impatient

Crache sur la meoire perdu c'est comme crache sur la solitude
la memoire perdu est un peu d'amour perdu
dans tout ca l'amour est perdu
et un ange peu vous le donner.

Le noir sort...Le rouge reste...Faite vos jeux."

L'oiseau s'envola ensuite,ils le virent reapparait de temps en temps et
chanter leur chanson.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED1IMP

Une jeune femme immobile se tient dans le noir.Elle porte une longue robe
rouge.Sa main tremble, elle semble attendre quelqu'un.Mais, au lieu de
s'agiter, elle ne bouge pas, elle a peur.Sa chambre semble peu @ peu se
d{ssiner grace au soleil qui p{n}tre petit @ petit par un f{nestrou.Sa robe
devient rouge vif et sa main tremble de moins en moins.Sur son visage, de
minuscules rides apparaissent.Quelqu'un frappe @ la porte.Elle se couche sur
son lit en se recoiffant d'un coup de main.

"-Entrez."mumure-t-elle.

La porte s'ouvre pour laisser place @ un homme d'une quarantaine d'ann{es,
cheveux et complet rouges ,moustache {paisse.Un verre de caf} @ la main il
s'approche de la femme.

"-Tenez cel@ vous fera du bien, Annie.
-Non je te remercie, Jack, mais je n'ai pas soif.
-Comme vous voulez mais je vous aurai pr{venu.Je sais que vous avez peur du
noir, mais il faudra-t-y faire. "

L'homme laisse le verre sur sa table de nuit et sort de la chambre.Une fois
dehors, Jack entend la femme crier:

"-Mon dieu,c'est si sombre ..."

Le silence se referme.L'homme s'accroupit devant le trou de la serrure regarde
une sc}ne qui le fait sourire.Il apercoit la femme; ses cheveux longs et
rouges sont {clair{s par le soleil, ses yeux sont grand ouverts.Elle renifle
la tasse de caf{ o| ce soleil se reflete en produisant des flashs de lumiere.
Elle se l}ve et se rapproche de la porte.L'homme s'{loigne pr{cipitamment de
la serrure.La porte s'ouvre pour laisser apparaitre la femme :

"-A quelle heure arrivent-ils ?"
-Ce soir."

La porte se referme brutalement.

Le soir @ l'heure du diner, Jack pr{pare la table.Il se retourne vers
l'escalier et crit :

"-D{p}che-toi, ils ne vont pas tarder @ arriver.En esp{rant qu'ils ne se
soient pas de nouveaux perdus, murmure-t-il.
-Je descends dans une minute.
-Tout ..."

Quelqu'un frappe @ la porte d'entree.Un minuscule homme, v{tu de noir,
apparait.Il est suivi d'une femme d'une quarantaine d'ann{es, elle aussi
habill{e de noir.Sa jupe est raide de meme que ses cheuveux.

"-Bonjour, ma femme ne va pas tarder @ descendre, elle se prepare.
-Bon, dit le petit homme.Asseyons-nous.
-Je vais pr{parer le reste du diner, dit Jack."

Il se faufile dans la cuisine.Le petit homme et la femme se retrouvent seuls @
table.Le nain commence @ rigoler et la femme sort d{licatement de son sac deux
serviettes et deux couverts noirs.Annie descend l'escalier en s'accrochant @
la rampe, les deux invit{s se retournent et demandent @ la femme:

"-J'esp}re que nous allons en finir ce soir ?
-Oui, ce soir, r{pond Annie.
-Tant mieux je n'ai pas envie de revenir ici."

Le petit homme fait un geste circulaire de la main comme pour montrer l'aspect
de la pi}ce.Jack sort de la cuisine en regardant Annie d'un sourir qui peut en
dire l'on si on le voit.

"-On mange et on conclu."

Au fur et @ mesure que les minutes disparaissent, l'atmosph}re se fait de plus
en plus lourde.Le petit homme demande @ Jack:

"-Je me demande quel est l'etre qui va craquer en premier."

La femme du nain scrute son assiette avec son couteau au manche noir :

"-Je n'aime que la viande carbonis{e, crie la femme du nain.
-Pourtant, il va falloir que vous vous y habituez, r{pond fermement Jack.
-Mais comment peut-on manger quelque chose d'aussi...d'aussi...
-...rouge, c'est ca !! R{pond aussi fermement Annie.
-Arretons de manger cela ne sert a rien, dit l'homme de petite taille.Et
commencons l'{change."

Un tout petit ange passe.

"-Le nain, dit Jack.
-Ne m'appelez plus le nain.Un jour je deviendrais si grand que vous ne
pourrez plus me regarder sans lever les yeux, vous aurez meme l'impression
d'etre en prosternation devant moi !!
-Pardon.Stingo, vous emmenez Annie et on se retrouve dans une semaine, je
crois que se sera suffisant.Bonne chance.
-Bonne chance, et vous faites attention @ ma Lolita, dit le nain.
-Ne vous inqui{tez pas, je m'en occuperai jusqu'@ la fin, conclut Jack."

Lolita lui envoit un grand sourire.

Apr{s quelques kilometres parcourus en passant par de petits sentiers de la
foret environante,Stingo, le nain, et, Annie arrivent @ une maison perdue dans
une ville deserte.Annie ,une lampe torche @ la main droite et ses affaires de
l'autre, s'{claire le visage.Stingo marche lentement.Ils arrivent a la porte,
quand, soudain, un {norme chien noir de race inconnu vient renifler la robe
d'Annie.Elle lui frappe la tete @ l'aide de sa torche.

"-Vous avez de la chance d'avoir un chien ,dit-elle.
-Quelles especes d'animaux avez-vous ?
-Nous n'avons que des poissons rouges."

Apres avoir poser le premier pas dans le hall d'entree, la femme aux cheveux
rouges se retrouve dans une piece tr{s peu {clair{e par deux lampes
recouvertes d'un foulard noir.Elle laisse ses affaires @ l'entr{e et demande:

"-Puis-je t{l{phoner @ mon mari pour le prevenir que je suis bien arriv{e.
-Allez-y ,j'ai branch{ un t{l{phone dans votre chambre.Mais c'est votre
derniere conversation que vous avez avec lui.
-Bien, je vous remercie."
-Je suis si aimable de temps en temps que je me demande ce que vous
faites l@."

Un immense escalier s'ouvre @ elle.Elle monte d'un pas pr{ss{, son regard ne
peut quitter sa lampe.Elle se guide grace @ son autre main.Un miaulement se
fait entendre dans la maison; prise de panique elle se r{fugie dans un recoin
du couloir.Ses mains deviennent mouates et sa salive @ du mal @ se former.Ses
yeux chavirent au rouge et ses sourcils se soul}vent en formant un V parfait.
Des bruits d'ailes se rapprochent.Un "bang" {norme se produit dans la tete de
la pauvre femme.Elle tombe par terre sa fragile tete la premi}re.
Comment peut-on etre aussi effray{ par un simple chat, se demande le nain qui
scrute la jeune femme couch{e sur un immense lit recouvert d'une minuscule
couette.Elle a le crane fracass{.Elle entrouvre ses yeux.Le nain se pr{cipite
dans un placard qui servait autrefois @ mettre les costumes de sa femme.Mais
maintenant il est vide.Ses pupilles noires brillent.La jeune femme, une fois
ses esprits retrouv{s se l}ve est allume une immense lampe situ{e sur une
table en formica.Elle commence alors @ se d{sabiller pour pouvoir enlever le
sang qui a coul{ le long de sa robe.Le nain a, face @ cette femme d{nud{e,
le visage qui se tend.Un long canape orne la pi}ce ainsi qu'un grand mirroir.
La femme @ moiti{ nue s'y regarde, de nouvelles rides ont apparru.

"-Encore et encore ,je vieillis", s'exclame Annie.

Elle se retourne et regarde la table de nuit.Un mot {crit @ l'encre noire y
est d{pos{.Elle s'approche du lit et de la table quand soudain, le nain sort
du placard, se pr{cipite sur elle, l'attrappant par le bras il la balance
sur le canap{.La femme ne veut pas, elle ne veut pas quoi me direz-vous.
Elle ne veut pas, c'est TOUT ...

Pendant ce temps @ la maison des RED, assis, les deux "etrangers" discutent :

"-Vous avez emmen{ vos affaires, car je l'espere vous ne retournerez plus
chez vous ?
-Oui, tout ce que j'ai pu emmener est ici.
-Bien, je vous conduis @ votre chambre o| vous pourrez vous installer."

Les deux etres montent et se retrouvent dans une chambre rouge.

"-Je vous laisse, j'ai foule de choses @ faire."

La femme fait le tour de sa nouvelle chambre pour s'habituer @ l'environement
et @ l'atmosph}re.Sa jupe noire produit un l{ger bruit de froissement qui est
tr{s irritant.Elle d{balle son sac: des draps, des affaires de toilette,
toute sa garde robe, et des tas d'autres choses noires qui parraissent sans
interet a premi}re vue.Elle se change en mettant quelque chose convenant mieux
au lieu o| elle se trouve.Elle allume une cigarette,et s'assoit en attendant
patiement le retour de Jack.
Pendant ce temps, il t{l{phone @ Stingo pour avoir des nouvelles.
Trois,quatre sonnerie personne ne r{pond.Il monte retrouver Lolita;il ouvre
la porte de sa chambre, un grincement s'en {chappe.

"-j'ai t{l{phone au chalet personne ne r{pond.
-Tant mieux,qu'il y soit et qu'il y reste jusqu'a notre mort.
-Vous avez raison, mais ce n'est qu'en meme pas normal.
-Quelle heure est-il ? demande Lolita.
-Trois heures du matin."

Jack se rapproche d'elle.

"-Vous avez le teint pale, qu'as-tu fait pendant mon absence ?
-Rien, j'ai juste fum{ une cigarette, l@, assis dans ce fauteuil.
-Donne moi tes mains."

Elle se l}ve et lui tend les paumes de ses mains.Il les prend et les lache
pour lui saisir la taille tout en la penchant vers l'arri}re.Il glisse ses
mains le long de son dos.Lolita lui lance un sourir sarcastique.Jack fait
attention au moindre de ses gestes, et il la couche sur le lit et ...

Annie, allong{e sur le canap{ de sa chambre, ne bouge pas.Elle porte sur son
visage crisp{, des bleus et des contusions.Stingo se tient face @ elle.
En souriant, il pousse l'int{rrupture de la pi}ce.Un noir sinistre et
d{rangeant l'envahit.Annie, t{rroris{e par ce noir, se recroqueville dans le
coin du canap{ en poussant de petits cris stridents.

"-Que ce se passe-t-il Annie, tu as peur ! Tu n'es d{cidement
qu'une gamine pour avoir peur ainsi.
-Non, ralumes, je t'en pris !!

Ce petit homme s'approche en faisant le moins de bruit possible.Il lui touche
l'{paule et lui envoit une terrible gifle qui la propulse sur le sol.

"-Je te previens, Stingo, la prochaine fois que tu me frappe ainsi je te
tue !!
-Tu n'oserais pas faire ca.Il prend une bonne bouffee d'air et continu.
Tu m'aimes trop !! Dit-il d'un ton sacarstique.
-C'est ce que tu crois.Du reste personne ne t'aime en ville.
-Ces gens l@ sont tous des abrutis et des salopards!!
-Un jour je te tuerai, je te le jure.Et \a fait plusieurs ann{es que j'y
pense.
-Mais tu n'y es toujours pas arriv{, n'est ce pas.Tu vois ,tu m'aimes.
-Si on peut appeler cel@ de l'amour.Alors, oui, je t'aime @ un tel point
que j'aimerai te tuer.
-Tu te perds."

Stingo rallume.

"-Leves-toi !!
-Je ne veux plus jouer @ ce jeu ?
-Quel jeu ? Leves-toi, gamine."

Elle sanglotte allonger, se passant les mains sur ses joues pour enlever une
premi}re larme, elle se l}ve et va sur lit.Elle sait ce qu'elle doit faire,
debout sur le lit.Stingo lui rappele une nouvelle fois.

"-Ondules-toi, danses !! Amuses-toi."

Elle execute sur le lit une danse, genre orientale, tout en continuant de
trembler et de pleurer.

"-D{sabilles-toi, doucement.Que je puisses t'admir{.Doucement.

Il porte sa main @ la hauteur de sa tete.

"-Doucement.Sois douce."

D{j@ @ moiti{ nu, elle ote son soutient-george.

"-Plus vite."

Stingo s'avance sur le lit, en tendant sa lourde main il la gifle froidement.
Cette giffle fait bascul{ Annie.Elle se redr}sse et parle doucement:

"-Lentement, dit-elle."

Elle est maintenant nue, danse puis pleure toujours devant Stingo.

"-Lentement, Jack, lentement je t'en prie."

Stingo n'entend pas les paroles d'Annie.

"-Plus vite, jure Stingo, va-t-elle aller plus vite !!
-Doucement, chuchote-t-elle."

Il se penche de nouveau vers le lit.Une nouvelle gifle.

"-Plus vite, bouge plus vite."

Elle ne peut pas, ses jambes la quittent et elle s'{croule.

"-Oh, pauvre fragile, fait-il en passant la main sur les cuisses d'Annie.
-Doucement Jack, ne va pas vite.
-Qui est Jack ?"

Il la gifle.

"-Tu {ssayes de me faire peur ? Tu me dis que tu connais quelqu'un
d'autre.Quels autres ?"

Annie se tourne du regard de ce Mr BLACK et met son visage dans le creux de
son bras.

"-Rouge !!
-Que chuchote tu encore !!"

La porte s'ouvre par un coup de vent.Annie sort sa tete et la regarde.

"-Quels autres ?"

Elle se lance sur la porte, Stingo attrappe sa cheville.La porte se referme.
Faissant glisser ses mains, il la prend par les hanches et l'envoit de nouveau
sur le lit.Elle reste sur le lit, immobile.Stingo sort en claquant la porte.
Elle a sommeil mais ne peut pas dormir, est-ce la peur de son mari ou de la
nuit elle meme qui l'en emp}che ?
Ou meme les deux.

Jack a du mal @ se r{veiller.Pas {tonnant apr{s une telle nuit.Lolita, sa
femme est couch{e @ cot{s de lui.Elle est {veill{e.

"-Je vais chercher les journaux et les croissants.
-Hum, hum, fait-il en se frottant les yeux."

Sur le chemin Lolita rencontre une personne fort {trange.Elle se tient pres
du seul arbre de la rue.

"-Je sais que vous ne me connaissez pas et que vous ne voulez pas
entendre mes idioties, mais il faut que je vous parle."

Que veut-il ?

"-Je suis reste des heures dans une pi}ce avec une femme, {coutez-moi
je vous en prie.Moi, et elle, on s'est embrass{ sur la bouche et sur
les epaules pendant des heures d'affilees.Elle et moi, vous voyez, on
s'est embrass{s.Je ne l'aime pas.Dit-moi ce que je dois faire, je vous
en prie.
-Idioties ?"

Lolita regarde cet homme qui n'arrete pas de bouger de gauche @ droite, il se
balance.

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED2IMP


"-Vous avez la r{ponse ? dit l'homme nerveusement.
-La premi}re fois que j'ai rencontr{ mon mari, on s'est regard{ durant
de longues minutes, ou cel@ m'a sembl{ etre d'une longueur tr{s douce.
Ses yeux brillaient, pas de la fa\on "Je te veux", mais juste
normalement.J'ai entendu une petite voix en sortir, vous
savez la petite voix que l'on supporte dans notre tete.Et elle me dit:
"-Je t'aime."
-Je t'aime ?
-Oui, mais je ne sais pas si il a vu et entendu la meme chose que moi
dans mes yeux.Pourtant, je le pensais fortement.Peut-etre l'ai-je
forme ? Peut-etre est-ce l'amour que j'ai pour lui qui l'a form{.
Pourtant, je ne l'ai jamais entendu ailleurs.Jamais.Je ne l'ai vu
qu'avec lui.Peut-etre le savez-vous ? Non, je suis sur que vous ne
l'avez pas."

Et Lolita laissa cet homme se balancer, @ cot{ de cette arbre.
De retour de chez le boulanger, Lolita trouvre la table mise pour le petit
d{jeuner.Jack est assis tranquillement et l'attend.

"-Tiens, voil@ le journal et les croissants.
-Merci, demain, je te le promet j'irai les chercher.
-Non, cel@ ne fait rien.\a me fait plaisir."

Il ouvre le journal.

"-Encore un meurtre aujourd'hui.
-Encore!!Qui est-ce cette fois ?

Il commence @ lire:
"Un nouveau meurtre a {t{ commis cette nuit, @ cinq kilom}tres d'ici.Une jeune
femme a {t{ {trangler par son mari.Elle avait trente ans;on l'a retrouv{ avec
le visage d'une femme de 70 ans.Alfred Hans a {t{ arr{te la nuit meme.C'{tait
un m{decin et sa femme, Marie Hans, une secr{taire.Alfred Hans a {t{ condamn{
@ 15 ans de prison, pour meutre et necrophilie."

Il ferme le journal:

"-Voila une chose qui ne risque pas de nous arriver.N'est-ce pas, mon
amour ?
-J'esp}re bien, r{pond Jack."

Dans la maison des BLACK.
Annie n'a pas dormi de la nuit.Et cel@ fait une {ternit{ qu'elle ne dort plus.
Stingo, lui, dort encore.Elle en profite pour se changer et enfiler des
vetements plus appropri{s;un pantalon et un pull.Tout les deux noirs ray{s de
rouge ou l'inverse.Se souvenant du mot ecrit a l'encre noire pose sur la
table de nuit, elle se dirige vers celle-ci.

"-Jack m'a t{l{phone hier, il veut me rencontrer.Je lui ai dit que cel@
n'{tait pas possible, que lui et sa femme vivaient trop heureux pour
que je vienne les deranger.Alors, je suis alle voir Alfred HANS car il
me l'avait demand{ depuis si longtemps et qu'il le m{ritait tant.
Sign{ Stingo et Annie."
"-Bien dormi, Annie.
-Je te m{prise, je te hais, crie Annie en d{chirant la lettre !!!
-Tu es toujours de mauvaise humeur le matin.Ce n'est pas bien.
-Je t'aurai pr{venu, Stingo.

Elle sort un couteau, qu'elle avait pr{cieusement cach{ dans le tiroir de sa
table de nuit, et le pointe vers lui.

"-Qu'est-ce que tu veux faire ? Me tuer.
-Tu es pire que noir !! crie Annie.
-Parce qu'en plus, tu es raciste.
-Tu ne comprends vraiment rien."

Annie s'avance vers lui et lui entaille son bras.Stingo lui saisit le poignet
et la traine hors de sa chambre.Il descend l'escalier en faisant ricocher la
tete de la femme sur les marches.Il sort une cl{ de sa poche, ouvre une porte
et la balance @ l'interieur.

"-Voil@ un placard qui te fera le plus grand bien.Apprend a aim{ le
noir, tu as tout le temps vu qu'il n'y a pas de lampe.Et ce n'est
pas avec ta fr}le {paule que tu vas d{foncer la porte.
-Fait moi sortir !!
-Ne compte pas sur moi."

Et Stingo s'en va en laissant hurler Annie.

La nuit est tomb{e sur la maison des RED, Jack est inquiet pour sa femme.Elle
n'arrive pas @ dormir et pousse de petits g{missemnts.Terr{e dans un coin, ses
jambes recroquevill{es, elle tremble.Jack est face @ elle.Les yeux de Lolita
font recul{ Jack d'effroi.Elle se l}ve et lui attrape ses {paules.

"-Tu lui as t{l{phon{,hein?
-T{l{phon{ ? Mais @ qui ?
-Tu ne le sais pas, mais il sont l@, en nous.
-Mais de quoi tu parles ?

Elle se remet dans son coin.
Jack sort.
Annie, enferm{ dans le placard fait le r}ve du placard.Le r}ve des id{es
noires.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED3IMP

Jack n'en peut plus, il fallait qu'il sorte faire un tour.Il ne supporte plus
sa femme et se sent pret @ s'oter la vie, comme voir un homme en cagoule
rouge.Celle-ci descendant jusqu'au nez et cache par d'{normes lunettes noires.
Il vous fait un signe du doigt en vous disant de vous pendre.Que cela vous
fera du bien de respirer une corde au cou.
Il avance @ grand pas.Ce jour l@, il y avait un soleil de plomb.38[ pour etre
pr{cis.L'asphalte est brulant, il est impossible de marcher dix minutes sur
cette route sans voir ses chaussures chauff{er @ une vitesse affolante.Elle
est goudron{e mais les voitures ne passent que tr{s rarement.Il faut etre fou
pour sortir par une chaleur pareille et en plus marcher de longues heures.
Mais cet homme l'a fait, et du reste il est presque mort et surtout
d{shydrat{.Deux jours, c'est tr{s long.Il a juste le temps de se coucher sous
un arbre avant de s'{crouler compl}tement.Alors qu'une pluie torrentielle
comence @ s'abattre :

"-Monsieur... monsieur, r{veillez-vous, dit un homme.
-Oui.Que me voulez-vous ? r{pond Jack en reprenant son souffle.
-Savez-vous si un nouveau Taxi va passer.J'ai t{l{hon{ @ la gare, ils
m'ont dit qu'il devrait en avoir un bientot.H{las, il ne pr{cise jamais
@ quelle heure.J'en ai deja loup{ un la semaine derni}re.Notez, que je
l'ai fait expres.Le savez-vous ?
-Un taxi ?
-Oui, je vois que vous etes fatigu{ mais il me faut le savoir.Et vous
devriez le savoir, vous aussi.
-Qui etes-vous, je vous ai d{j@ vu ?
-Peut-etre, je suis Stingo BLACK.
-Moi, je m'appelle Jack RED."

Stingo s'en va sur la route.En plein milieu, il regarde si il n'y a pas un
Taxi qui arrive.

"-H{, monsieur, dit Jack, debout."

il ne r{pond pas.Jack s'avance vers lui;il est @ peine @ un m}tre de lui
quand un {norme camion vient les froler.

"-Ha, voil@ mon Taxi, dit Stingo.
-Vous avez vu ce...
-Ne vous inqui{tez pas un autre Taxi va passer dans peu de temps,
interronpit Stingo qui avait dej@ un pied dans la voiture.
-Mais vous avez bien vu ce camion.
-A la gare, dit Stingo au chauffeur."

La voiture part.Il est l@ tout {b{t{ que cet homme ne r{ponde pas @ ses
questions.Se retournant pour regarder l'arbre, il a vu une immense gare.
Une femme, habill{e avec une robe rouge moulante, passe @ cot{ de lui.

"-Vous faites trop de bruit avec vos bottes !! Lui dit-elle.
-Quelle est donc cette gare ?"

La femme s'en va aussi simplement qu'elle accuse Jack.

"-Puisque personne ne veux r{pondre @ mes questions, je vais aller voir
moi-meme."

La porte de la gare ne faisant aucun bruit, Jack la regarde avec interet.En
levant la tete, il s'apercoit que la gare se remplit de monde.Elle se vide et
se remplit @ chaque arriv{e de train.Jack a un l{ger recul face @ cette
foule, puis il commence a avancer toujours avec ces bottes qui resonnent.
Arriv{ au guichet, sur lequel il s'appuie, il demande @ l'homme du guichet
dont le nom Fr{d{rick DOPPELGANGER est inscrit sur une plaque, de lui
delivrer un billet.D'une facon instinctive, l'homme au guichet le fabrique et
lui tend.Jack fait un ch}que.Il signe: "Jack RED".Regardant l'heure de la
grosse pendule de la gare, il se dirige vers son quai.Apr{s un long voyage,
dans un train d{labr{, preuve que beaucoup de personnes y sont mont{es, il
arrive enfin @ destination.Il sort de la gare et s'engoufre dans une voiture
noire et noire, pas rouge et noire, sans rien dire.Celle-ci porte le mot TAXI
qui clignote sur son toit.Le chaufeur du taxi commence @ lui parler :

"-Vous prenez souvent le train ?
-Oui, ils sont assez plaisants.
-Ma foi,les trains ne sont plus tout jeunes.
-Oui, mais tout de meme agr{able.
-Si \a vous plait, alors ..."

Il tourne la cl{ de contact et quitte la gare.

"-Vous prenez vraiment souvent le train ? insiste le chauffeur.
-Oui, assez souvent pour le d{tester, finit par avouer Jack.
-Vous ne le prenez pas souvent alors.
-Puisque vous le dites."

Il acc{l}re, d'un coup de pied rapide sur la p{dale.

"-Ce sera long pour y arriver.
-Non, vous etes d{j@ arriv{."

Jack se tourne pr{cipitament sur sa droite pour regarder @ travers la vitre.
Il ouvre la porte et sent l'air invivable de la ville.Il donne un billet au
chauffeur.

"-Merci, et au plaisir de vous revoir, r{pond celui-ci en lui rendant la
monnaie."

Un autre taxi se gare derri}re lui.Jack et l'homme du deuxi}me taxi ouvre
leurs portefeuilles pour remettre leurs monaies que leurs a rendu les
chauffeurs.Jack le regarde.

"-Encore lui, que me veut-il ?"

Ils trav}rsent la rue en meme temps.Quand un {norme camion vient les percuter.
Les deux portefeuilles s'{crasent sur la route.Jack et l'homme sont {tendus
par terre.Le choc n'{tant pas assez brutal pour leur fa\onner une mort
certaine, ils se rel}vent et ramassent leurs portefeuilles, puis s'en vont
chacun de leur cot{ s'en pour autant savoir o| ils vont.Le choc a du les
perturber.L'homme du camion sort de sa cabine et reste dans la rue sans rien
dire, il attrape un passant par le bras et lui montre ce qu'il a fait:
"-Il en arrive tout les jours, ce n'est pas de ma faute."
Jack referme son portefeuille qui a du s'ouvrir pendant l'accident et voit
sa carte d'identite.Elle porte le nom de Stingo BLACK.Apr{s l'avoir remit, il
regarde l'autre homme.Il titube et semble d{sorient{.
Jack se retrouve dans une autre rue pleine de gens qui le regardent.Il
inspecte partout mais ne se rapelle plus de rien.De rien du tout.Son nom, il
le sait, c'est Stingo BLACK.Une voiture s'arr}te et un homme lui demande si il
peut l'amener quelque part.Il ressort son portefeuille et lui demande de le
conduire @ cette adresse: la sienne.Celle de Stingo.

"-Bien s|r ce n'est pas tr{s loin, montez."

Stingo s'ex{cute et se laisse tomber sur le si}ge arri}re.La voiture d{marre.

"-Je vous demande \a, parceque vous avez l'air compl{tement d{bousol{,
lui sort le conducteur.
-Vous avez raison, je ne sais plus o| je suis.Je ne ma rapelle plus de
rien.
-Ne vous inqui{tez pas cel@ va vous revenir une fois chez vous.
-Qui etes-vous ?
-Je suis Albert Sois.J'habite pas loin de chez vous.
-Ah, c'est bien.Vous m'avez d{j@ vu ? Vous me connaissez ?
-Non,je ne me rapelle pas de votre visage, mais votre nom me dit
quelque chose.
-Tant pis, comme vous dites en arrivant chez moi je me souviendrai.
-Oui, vous v{rrez.
-C'est un plan qui depasse de votre boite @ gants.
-Ni touchez pas !! Enfin, il ne peut vous etre d'aucune aide.
-C'est loin?
-Non, on y est presque.Encore 300 m}tres.
-Mais pourtant la route est d{sertique."

Stingo a raison, pas une seule maison en vue.Que lui disait cet homme ? Il
mentait.La voiture s'arr}te et l'homme se retourne:

"-Voil@, on est arriv{.
-Mais, il n'y a rien ici.Pourquoi voulez-vous que je d{scende ?
-D{scendez je vous dis."

Devant le s}rieux du conducteur, il ne peut que lui ob{ir.On ne sais jamais.Il
est d{j@ amn{sique et ne veux pas l'etre pour toujours.Stingo met le pied
sur la route et ferme la porte.La voiture d{marre au quart de tour.Le voila
seul maintenant,et le noir tombe.
Il fait les cent pas.Du reste, on peut pas faire autre chose quand on est aussi
perdu qu'il peut l'etre.Et en plus cette route semble interminable.Elle se
perd dans l'horizon, dans le couch{ du soleil.Il s'assoit pour {ssayer de se
souvenir de quelque chose.C'est \a qui le d{range le plus.Ce n'est pas le faite
d'estre perdu sur cette route, mais d'etre d'en l'impossibilit{ de se souvenir
qui il est.
Son visage au teint mat est creux.Ses cheveux rouges sont terriblement sales.
Sa veste est frip{e et recouverte de traces de terre.Il est revenu au point de
d{part.Il faut qu'il se reforge sa vie.Accroupi sur le bord de la route,
les yeux noirs et profonds, il est pris de convultions suite, au quand meme,
terrible choc.Il se revoit dansant autour d'un feu, comme un indien.Il est
jeune et porte des habits en peau de bisons.Le feu ne d{gage pas de fum{e,
c'est juste du feu.Ses pas soul}vent de la poussi}re qui le fait planer dans
l'espace.Mais voil@ qu'il se retrouve dans une pi}ce sombre.Assis sur une
chaise, une petite fille s'approche de lui et le gifle.Puis lui envoie de la
salive sur son visage.Il ne comprend rien.Il est debout sur cette route o|
personne ne passe.Une jeune femme aux cheveux blonds et au visage d'ange
s'approche de lui, comme si elle {tait sortie d'un r}ve.

"-Vous savez qui je suis ? demande-t-elle.
-Non.Et vous, vous le savez ?
-Oui, et je sais qui vous etes.
-Ah oui ? Et qui suis-je ?
-Suivez moi.
-O| \a ?
-Vous verrez bien, prenez moi la main."

Il lui tend sa main et marche sur ses pas.Arriv{ devant un immense hotel, il
n'en croit pas ses yeux.Mais c'est vrai.Un immense hotel sur cette route
d{sertique.La femme le conduit jusqu'@ la porte o| sont inscrits ces mots :

"Je me soumettrai @ tout, meme au pire."

Il ouvre la porte et un immense flash l'{blouit.Un homme sort en courant avec
un appareil photo en bandoulli}re.Une fois la vue retrouv{e, il voit
apparaitre un magnifique hall d'entr{e.Un homme le regarde.Il est situ{
derri}re un comptoir et il parle avec un jeune homme :

"-C'est lui ?
-Oui, lui r{pond le jeune homme.
-Pourquoi est-il ici ?
-Il est ici pour ..."

La conversation se perd dans le chahut de la femme de m{nage qui n{ttoie, avec
l'aide d'un aspirateur, le hall d'entr{e, pourtant propre.Stingo s'approche et
demande au r{ceptioniste :

"-Puis-je avoir une chambre, s'il vous plait.
-Votre carte d'identit{.
-Pourquoi faire ?
-Votre carte d'identit{ et ne posez pas de question."

Il lui tend la carte d'un geste f{brile.

"-Recherchez moi cet homme, demande le r{ceptionniste au jeune homme
toujours l@.
-Mais je suis l@ !!
-Nous le savons.
-Mais regardez bien, c'est moi sur la photo."

Oui, c'est bien lui.

"-Tenez et d{p{chez-vous, continue de dire le r{ceptionniste au jeune
homme."

Le jeune homme part avec la carte.

"-S'il vous plait, Madame, arr{tez avec cet aspirateur, crit le
r{ceptionniste.
-Vous etes aga\ant @ la fin, on ne peut plus travailler ici, lui r{pond
la femme de m{nage.
-Vous !! Prenez ces cl{s et montez par cet escalier.
-Bien, r{pond Stingo pour ne pas se faire jeter @ la route, ce qui serait
encore pire qu'ici."

Il monte l'escalier aux marches rouges et se retrouve dans un long couloir o|
les chambres ne sont pas num{rot{es.Stingo arrive face @ une chambre qui
semble etre la premi}re.Il regarde le num{ro de sa cl{ : Num{ro un.Il
commence @ l'ouvrir.Sa main se fond sur la poign{e.Il se retrouve dans une
chambre pleine de fauteuils.Pourquoi tout ces fauteuils ? Se demande-t-il.Qui
attendent ils pour avoir mis tant de fauteuil ?Une sorte de chaise est
instal{e au milieu.Elle porte le numero 1.Il d{cide de s'assoir.Un rayon de
soleil qui passe par une fenetre entreouverte vient lui atterir sur son front.
Il voit une petite lumi}re sortir de l'ombre.Une femme apparait, elle est
habill{e de facon simple mais tr{s agr{able @ voir.Stingo, curieux de savoir
qui cel@ peut-etre, lui fait un geste qui illustre cette question.
La femme lui parle :

"-Ne me touchez pas!!
-Mais je ne comptais pas vous toucher en faisant ce geste.
-Bien et que voulez-vous ?
-Moi, je ne veux rien du tout.
-Vous etes sur.
-En fait, en ce moment je ne suis plus sur de rien.
-Je le sais, sinon vous ne seriez pas l@.
-Et qui etes vous?
-Je suis ici pour ... Non je ne peux pas vous le dire.Il faut que vous
deviniez tout seul."

Il ne devine rien, mais il sait qui est cette femme.De la fa\on dont elle
parle, elle ressemble @ la femme qui l'a ammen{ ici.

"-Cel@ fait deux fois que je vous vois.
-Oui."

Stingo se l}ve.

"-Mais qui etes-vous ? Allez vous me r{pondre, crit-il brutalement.
-Tout ce que je peux vous dire, c'est que vous cherchez quelque chose
que j'ai recolt{.
-Je ne cherche rien sauf retrouver ma m{moire.
-Je suis une sorte d'ange.
-Un ange a qui on a coup{ les ailes pour mieux que je puisse vous
attrap{.Et vous dites que vous avez ce que je cherche..."

Il avance rapidement vers elle en tendant ses bras pour l'attraper, mais elle
disparait comme elle est venue.
La porte s'ouvre en coup de vent et le r{ceptionniste entre:

"-Vous avez voulu l'attrapper !!!
-He.. Je ne sais pas.
-Bien sur.Tout le monde veut l'attraper.
-Et qui est-elle ?
-Personne ne sais.
-Pourtant cel@ fait longtemps que vous etes-ici.Non ?
-Oui, mais je ne sais toujours rien d'elle."

Une petite fille arrive derri}re le r{ceptionniste.
Stingo se souvient d'elle.

"-Qui est cette petite fille ? Je l'ai d{j@ vu !!
-cette fille ? Vous l'avez d{j@ vu ?
-Oui, je l'ai vu, tout @ l'heure.Alors que j'{tais encore sous le choc
de mon accident.
-Vous vous souvenez de votre accident ?
-Oui, mais vaguement.
-Et la fille, qu'a-elle fait ?
-Elle m'a.... Dites moi o| on est.
-Non.Allez, dites ce qu'elle a fait.Dites-le pour elle.
-Pour elle?
-Oui.
-Mais o| sommes nous ?

Le r{ceptionniste s'approche de Jack rapidement.

-Allez-vous me dire ce qu'a fait cette petite @ la fin.
-Oui, je vais vous le dire si vous me dites o| on est.
-Je ne peux pas vous le dire.
-Vous vous moquez de moi ?
-Non.Allez, dites-le.
-Je ne vous le dirai pas."
-M{chant, dit la petite fille timidement."

Stingo ne voulait pas dire que la fille qu'il avait devant lui, {tait celle
qui tout @ l'heure lui a crach{ au visage et envoy{ une terrible gifle.

"-Je vais etre oblig{ de vous mettre dehors.
-Pourquoi ?
-Tout d'abord vous n'auriez pas d| {ssayer d'attrapez l'ange et ensuite
vous ne voulez pas me dire la chose sur la fille.Et puis ce n'est pas
un hotel ici !! Dit le recpetinniste en s'approchant de l'oreille de
Jack."

Le r{ceptionniste qui a l'air d'etre aussi un directeur d'hotel le prend par
son col et descend l'escalier en le trainant.Arriv{ @ la porte, il le jete
dehors.
Stingo se retrouve sur la meme route que tout @ l'heure.Mais cette fois, il
n'y a pas que l'hotel mais toute une ville.Peut-etre ne l'avait-il pas vu
quand l'hotel est apparu ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED4IMP

Stingo se retourne vers l'hotel.Il est immense et ressemble @ un coeur.
Il commence @ marcher dans la rue et arriv{ @ un croisement, une femme sort
pr{cipitament d'une ruelle.Elle a le visage tr{s creux et semble tr{s
affaiblie.Elle regarde de partout, comme si elle cherchait quelque chose.
Elle a dans ses mains un bouquet de roses, ce qui lui fait ressembler @ une
tombe fleurie tellement elle a l'air {puis{.Elle rentre dans sa ruelle.
Les bottes de James continuent @ faire du bruit.Il a rep{re un chien.Il est
a cent metres de lui et semble effrayant.Il descend la route en passant de
gauche @ droite.Lui aussi cherche-t-il quelque chose ?
Plus il s'approche de Stingo, plus le chien a l'air moins effrayant.En passant
@ cot{ de lui le chien semblait meme lui sourire avec ses yeux.Mais il est
aussi d{shydrat{.Et une femme du quartier la remarquer.Elle sort meme de sa
maison et hurle apres Stingo.

"-Mais vous ne voyez-vous pas que ce chien va mourir !! Faites quelque
chose, c'est le votre apr{s tout !!

Stingo l'air {tonn{ :

"-Le mien ? Comment \a ?"

La femme rentre dans sa maison.Elle avait l'air inqui}te de savoir si
quelqu'un l'avait entendu, car elle a baiss{ ses yeux comme si elle avait fait
quelque chose de m{prisable Elle r{p{tait constament en bougeant sa tete:

"-C'est le votre apr{s tout !!"

Stingo se retourne pour revoir le chien.Il n'est pas loin.Ses bottes r{sonnent
encore plus quand il court.Il arrive pr{s du chien et l'attrape.Il pose ses
deux genoux sur le sol et se baisse pour regarder le cou du chien :

"-Ce chien porte une plaque.Voyons ce qu'il y a d'{crit dessus."

Il retourne la m{daille et un nom qui le fait sursauter y est grav{ :

"NE ME TOUCHEZ PAS ? J'APPARTIENT A STINGO BLACK ET PAS A VOUS !!!"

En levant la tete il voit un homme qui arrive face @ lui.Il ne semble pas etre
int{rress{ par Stingo.Mais surprit par cette phase de la medaille, il lui pose
une question.

"-Pourquoi,cette plaque porte-t-elle mon nom ? Demande-t-il toujours
accroupit @ cot{ du chien
-Parceque c'est votre chien.Tout simplement.
-Que cherchait-il tout @ l'heure ?
-La meme chose que vous.
-Oui, et quoi, dit Stingo int{ress{.
-Votre m{moire pass{, Mr BLACK.
-Ma m{moire pass{ ? s'int{rroge Stingo en se levant brutalement.
-Oui, nous cherchons tous quelque chose ici, dans cette ville.Je vous en
dit beaucoup trop.Adieu Mr BLACK."

L'homme s'en va et Stingo reste debout sans rien dire.Et il se retourne vers
l'homme en le scrutant d'un regarde choqu{ et int{rrogateur.Il semble tous le
connaitre mais ne font rien pour lui.Qui sont-ils vraiment ?De simple passant?
Que cherchait cet homme ? Et les autres ? Vais-je trouver quelqu'un
capable de m'aider ? Ou suis-je ? Je ne sais plus.Stingo ne trouvait plus
de r{ponse.

Apr{s avoir longtemps regard{ l'homme s'en aller, Stingo leva les yeux et
surpris, il vit des flammes danser dans le ciel.Ses yeux descendirent jusqu'@
l'origine de ce feu et l@ une femme gesticulait autour d'une maison enflamm{e.
On a l'impression qu'elle essaye d'effacer un trait sur un papier invisible en
bougeant ses bras ainsi.Elle courait le long de sa maison.La vision de
l'indien dansant autour du feu, lui revient en tete.Il courut aupr{s de cette
femme, qui {tait @ peine @ trois cent m}tres, et commenca @ lui poser des
questions:

"-Pourquoi a-t-elle prit feu ?
-Je ne sais pas, j'ai d| laisser quelque chose d'allum{, lui r{pondit la
femme qui perturb{e s'est assise sur l'herbe de son jardin.
-Pr{venez les pompiers ?
-Il n'y a pas de pompiers, il n'y a qu'une gendarmerie.
-Et o| y-a-t il une cabine telephonique ?
-Pas de telephone ici.Qui etes vous.Vous etes nouveau ici."

Elle ne le connait pas ou fait-elle semblant ?

"-Oui, pour ainsi dire.Alors o| est cette gendarmerie ?
-Je ne sais plus.Je ne me rapelle plus.J'ai tellement mal @ la tete et
puis partez."

Stingo se tourne vers l'homme qui est toujours l@ et qui regarde l'incident.

"-Vous, vous devez savoir o| est cette gendarmerie.
-Oui, je sais o| elle est.
-Dites le nous, alors.
-Non."

L'homme continu son chemin,puis se retourne:

"-psittt.
-Oui."

Il fait un geste de la main indiquant le chemin de la fameuse gendarmerie.

"-Venez, allons-y.Madame ? Elle semble ne pas l'{couter.
-Non, il faut que je reste ici.Je suis si fatigu{e.Allez-y pour moi,
dit-elle d'un ton curieux."

Stingo part en courant dans le sens que lui indique le personnage.Ces bottes
ont arr{t{ de r{sonner qu'au bout de trois minutes.Et l@, il se tient devant
une sorte de magasin refait pour ressembler @ une gendarmerie.
Il p{n}tre @ l'interieur et un bruit de sonnette retantit.Il se retourne et
voit en haut de la porte des petites clochettes qui retantissent @ chaque
ouverture de porte.Il s'avance tr{s doucement jusqu'au comptoir.Car ce n'est
qu'un comptoir raffistol{ en bois.Le chef des lieux entre en sc}ne.
Stingo affol{ raconte l'histoire de la femme :

"-Et qui etes vous,lui demande le chef.
-Vous ne le savez pas, je suis Stingo BLACK.
-Ah, oui, l'amn{sique qui vient d'arriver.
-Oui, c'est \a.
-Bon, vous savez d{j@ pourquoi vous etes ici.
-Je vous r{pondrai plus tard.Une femme attend de l'aide et je lui ai dit
que j'allais en chercher.
-On ne peut plus rien pour cette femme.
-Comment \a, plus rien ?
-Cette femme est fichue.Elle va arpenter les rues comme une vielle avec
des roses.Vous en avez d{j@ vu, non ?
-Mais, elle n'a plus d'argent ?
-De l'argent ? Il n'y en a pas ici.Vous n'avez qu'un maison et c'est
tout.
-Mais, pourquoi est-elle oblig{e d'arpenter les rues maintenant ?
-Elle a perdu sa patience, et ne l'a pas retrouv{e.Ce que l'on perd
finit toujours par s'oublier et {rrer dans nos tetes.C'est une facon de
mourir ici.On met le feu aux vieilles choses perdues et elles {rrent
dans la rue @ tout jamais.Leurs tombes, c'est d'{rrer @ tout jamais.
Mais, si un jour elle retrouve sa patience, alors elle pourra revenir
chez elle.On vous pr}te une maison un certain temps et "BOUF".
-Et si je l'emmenais chez moi.Je dois avoir une maison moi aussi.
-Elle ne peut pas, c'est contre la loi ici.Et si vous enfreinez la loi,
je vous mets en prison.O| vous pouvez ne plus etre vu.Il n'y a pas
beaucoup de r}gles ici, mais celle-ci est la plus importante.Vous
ne devez aider personne.Soyez {goiste !! Soyez individualiste !!
-Et comment partir d'ici ?
-Je vais vous le dire parceque vous etes nouveau et que vous ne savez
rien.Mais il faut retrouver votre m{moire, l'homme qui ..."

Il s'arr}te deux secondes et reprend :

"-Vous vous souvenez de votre accident.
-Oui, mais vaguement.Je me souviens d'un autre homme accident{ avec moi.
Je ne me rapelle pas de son visage.
-Justement, il faut que vous retrouviez cet homme, c'est lui qui a prit
votre m{moire pass{e.Il s'apelle Jack RED.
-Non, c'est moi Jack RED.
-Vous vous souvenez ?
-Oui, ce nom m'appartient.Je l'avais oubli{.Je ne sais que \a.
-Allez vite dans la rue, Stingo Black ne doit pas etre loin.Trouvez le
et ammenez le moi ici pour que je l'enferme.
-Comment savoir qu'il est pr{s de moi ?
-A chaque fois que vous vous souvenez d'un passage de votre vie ou des
sensations que vous aviez l'habitude de ressentir, cel@ voudra dire
que votre homme n'est pas loin.Vous vous souvenez de votre nom, il est
l@."

Jack sort dans la rue et voit un homme tout petit avec un regard malicieu.
Il l'a d{j@ vu, il le sait.Il est de l'autre cot{ de la rue.Il commence @
courir apr{s ce Stingo qui d{tient ou plutot qui lui a vol{ sa m{moire.Mais il
s'{chape en tounant dans une ruelle, cette ville est remplie de ruelles
{troites et souvent sombres qui provoquent de droles de sensations.Et en plus,
avec ces r{verb}res qui gr{sillent, Mr BLACK s'{chape facilement dans le noir.
Jack en tournant dans cette ruelle, se cogne contre quelqu'un.C'est la femme @
la maison qui brule.H{las, Stingo s'est enfuit.

"-Ah, c'est vous !! Crit la femme.On ne vous a pas arr{t{.
-Non.Vous saviez que si on aidait des autres perdus, il vous m{ttait en
prison ?
-Oui, mais j'en avais marre de vous alors ...Je suis impatiente, vous
savez.
-Oui, je le sais maintenant.Ca doit etre emb{tant de chercher sa
patience en {tant impatient."

A peine Jack a-t-il fini sa pharse qu'un homme lui tapote le dos.

"-Vous n'avez pas vu des bras ? Lui demande un homme qui apparement les a
perdu.Je les ai perdus pendant une geurre.
-Non, dit Jack, et puis comment voulez-vous les attraper, avec les dents
peut-etre."

Une explosion les fit tout les trois sursauter.

"-Ma maison, dit l'homme sans bras qui a prit les jambes @ son cou.
-Vous avez peut-etre perdu la m{moire, mais vous etes cruel et m{chant.
-Ah, oui ? Mon homme ne doit pas etre loin.
-Oui, partez.Moi je vais chercher mes roses.
-Oui, les roses.Bien sur."

La femme s'en alla.Jack court vers la fin de la ruelle.Le r{verb}re {clate.
Il a rep{r{ Stingo.L@, en face lui, il court du plus vite qu'il peut.

"-Ne bougez plus."

Non, ce n'est pas Jack qui parle, c'est l'ange.Il a devant lui l'ange qu'il ne
faut pas attraper.Avec L'homme @ la m{moire dans ses bras, l'ange lui sourit.

"-Donnez-le moi, dit Jack.
-Non, je ne peux pas, lui r{pond l'ange en continuant de sourire."

L'homme @ la memoire @ peur, il est terrifi{ par Jack.Jack terrifi{ quelqu'un?
Et si Jack n'{tait en fait que Stingo.Essait-il de s'aproprier Jack, l'homme
@ la m{moire ? Et petit @ petit lui su\ait son pass{.Il {ssait de rendre Jack
m{chant et de le d{truire compl}tement.Mais il faut qu'il l'attrape ou plutot
que l'homme @ la m{moire se laisse attraper.Que va lui donner l'ange ?.

"-Retournez-vous, voici votre maison.
-Ma maison ? Dit Stingo."

Il la regarde avec curiosit{.

"-Je ne veux pas de maison, je veux Jack."

Tout le quartier a du l'entendre.Mais l'ange a d{j@ disparu en emmenant avec
lui, cette chose a moiti{ peureuse qui lui permettra de retourner voir Annie.
Et de la tuer certainement.Pauvre Lolita, elle aussi {tait dans un autre monde.
Elle a peur de Jack qui poursuivit par Stingo devient m{chant.Lolita est
enferm{e dans la chose qu'elle d{teste le plus: le NOIR.Et Annie le sait.
Une fenetre s'ouvre.

"-Venez dans votre maison, vous serez en s{curit{."
-Qui etes vous, dit-il en retirant ses bottes.
-Venez..."

Il avance et entre dans la soit-disant s{curit{ que peut lui apporter sa
maison.Il tombe sur un salon poussi{reux et sombre.La voix continue @ lui
dire"Venez".Il monte l'escalier,ouvre une porte.

"-Mais que faites vous ici ?

A qui parle-t-il ?

"-Je vous croyais divorcer depuis longtemgs et vous voil@ tout les deux
couch{s dans un lit.
-Approche et assit toi.
-Tu n'es pas partit en voyage ?
-Si et je ne suis toujours pas revenu.
-Et ta femme que fait-elle ici ?
-J'essais de l'aimer, tout simplement,dit la jeune femme compl}tement nue
et en plein {bats amoureux."

D{crivons la sc}ne :
Stingo se rapelle de ces deux personnages ,couch{s dans son lit.Des fils
{lectriques leur coupant presque la circulation qui les ratachent en {tant
entour{ autour de leur cou respectif.Les pieds de meme ils continuent dans
leurs {bats.Leurs visages sont bariol{s de rouge @ l}vre.La fenetre
entreouverte pour permetre de renouveler l'air qui serait irrespirable.Stingo
assit sur une chaise qui risque de s'{crouler au moindre mouvement attif;il
est l@ et continu @ leur parler comme si de rien n'{tait.

"-Et qu'avez-vous perdu ? Vous etes l@ pour trouver quelque chose que
vous avez perdu, comme nous tous.
-Oh, tu es d{j@ au courant.
-Vous aussi @ ce que je vois.
-Nous sommes l@ pour t'aider.
-Vous ne pouvez pas c'est contre la loi?
-Pas si tu ne dis rien.Et puis nous, nous cherchons l'amour alors on
{ssaye d'en donner aux autres tant que l'on peut et c'est dur.Surtout
avec la femme que j'ai.
-Ta gueule et continu, crit la femme de cet homme.
-Arr}tes de crier toi !! C'est un ami, nous n'en avons d{j@ pas
beaucoup, alors si tu veux bien, ferme l@, et travaille.
-Comme tu veux..."

La fille continue, oblig{e par son mari.Drole de sc}ne, tout de meme.
Il parle et font l'amour pour chercher leur amour qui a disparu d'en leurs
disputes {lectriques qui pourtant les relient.C'est certainement la meme chose
chez les BLACK et les RED.

"-Pourquoi ma maison, je ne veux pas d'emb}tement moi.
-S'il te plait,ne nous j}te pas."

Et Stingo resta assis sur la chaise.Il ne les j}ta pas.Stingo n'est donc pas
encore tout @ fait Jack.Il n'a pas encore extermine totalement Jack.Du reste,
il ne l'a pas encore attrap{.Les voisins savent que quelque chose se passe
chez Mr BLACK.Ils sont devant sa porte et hurle un "BOUH".Ils regardent ses
bottes, d{pos{es juste devant sa porte.
Stingo a vu Jack passer devant sa fen}tre.Celle-ci lui permet de sortir pour
se retrouver dans la rue.Il fait nuit.Jack court moins vite et il est {puis{.
Stingo arrive @ un croisement de petites rues.Il l'a attrap{.Le serrant dans
ses bras, Jack disparait dans Stingo.

Le matin se l}ve.Le soleil passe par la
fenetre en venant taper les fesses de ces deux personnages {tranges.
Stingo vient de revenir chez lui.

"-Sortez, j'en ai marre de vous, crit-il comme un d{ment.
-Non, tu ne ferai pas \a !!
-Ah, oui vous croyez que je suis comme cel@."

L'ange passe devant la fenetre.Elle lui fait un signe avec sa tete lui
disant : "Non".

"-Sortez !!!"

Les deux personnages sortent du mieux qu'ils peuvent.Et de longs minutes apr}s
se retrouvent dans la rue, les voisins les regardent.Les deux ex-amoureux
tombent et se rel}vent.Les fils {lectriques trainent par terre en faisant des
{tincelles.Stingo sur le seuil est impassible.

"-BOU ! BOU ! BOU ! BOU ! Crient les voisins terr{s dans leurs maisons."

Stingo ferme la porte et en regardant le salon, il est prit d'un rire
diabolique.Ce n'est pas possible que Jack se soit fait attraper, ou alors il
s'est laiss{ attraper.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED5IMP

Les rires de Stingo r{sonnaient dans toute la ville.Ses bottes sont toujours
dans la rue,personne n'y touche.Stingo fait peur rien que par son regard.
La ville s'est r{unie et cherche @ le lyncher.Les gens disent de lui qu'il
est rancunier, {goiste, individualiste, diabolique, hypocrite, sans coeur,
sinistre, antypatique, effrayant de haine, tyranique,incompris mais bien connu
pour sa bestialit{, jaloux des autres, et qu'il est sourtout depuis qu'il
a trouv{ la m{moire de Jack devenu m{chant.
Il est chez lui, il n'ose plus sortir, t{rroris{ par ces gens qui le m{prisent.
Terrer dans sa chambre, derri}re son lit d{gageant une odeur tr{s forte,il rit.
Toute la ville est devant sa porte.Elle pi{tine ses bottes.Ils disent qu'il
retient prisonnier sa femme.Enferm{e dans un placard.C'est ill{gale dans cette
ville.Mais lui ne s'en rapelle meme pas.Meme le chien qui gratte sa porte ne
peu plus le comprendre.Ce chien, si il revoyait Stingo dans la rue, lui
sauterait dessus et le d{chiqu}terait pour lui faire ensuite les yeux doux.
Mais voil@ que ce chien ouvre la porte.Il cherche Stingo en tournant sa tete
de tout les cot{s.Il a rep{r{ la porte de la chambre.Stingo, @ la vue de ce
chien, se saissit de la chaise, qui craque quand on s'assoit dessus, et lui
fracasse la tete.Pour ensuite lui exploser, en y marchant fortement dessus.Les
voisins, en entendant les cris du chien, frappent encore plus sur la porte de
la maison.Mais seul le chien peut entr{, car derri}re cette foule se tient le
chef de la gendarmerie et il veille @ l'ordre.

"-Personne n'entre sauf ce chien sinon...Dit-il ce chef."

Le soleil se couche, Stingo est seul dans sa chambre.Sa veste est salie par la
poussi}re.La fenetre entreouverte, une lumi}re {claire la rue, les voisins
sont {blouient par cette beaut{.Car c'est l'ange qui arrive.Il rentre dans sa
chambre.Stingo se l}ve lentement pour regarder cette femme qui devient de plus
en plus belle chaque jour.Ces cheveux blonds sont de plus en plus longs.Ses
yeux verts qui apporte tant d'amour.Ses mains fines et d'une longeur id{ale.
Mais stingo, Stingo le m{chant, ne pense qu'a regarder sa poitrine.

"-Attrappe-moi,dit l'ange."

Stingo sans rien dire se precipite sur elle.
La porte de la maison s'ouvre, tous les perdus le regardent.Un brouaha se
d{gage de cette foule curieuse:

"Que lui a apporter l'ange, va-t-il nous le dire ? O| va-t-il?"

Jack croise en passant devant eux, les deux divorc{s, toujours avec les fils
{lectriques.

"-Vous voulez savoir ce que l'ange m'a apporter ?"
-Oui, r{pond le couple en meme temps.
-L'amour que chacun de vous a perdu.
-Mais, tout ces gens n'ont pas perdu l'amour.
-Si, vous l'avez perdu en cherchant trop longtemps les choses que vous
aviez perdues.Et votre monde d'{goiste l'a aid{ @ disparaitre.Vos roses
ressemblaient @ cette amour.Sans vous en rendre compte, vous les portez
dans vos bras qu'en vous erriez dans cette ville noire.A chaque fois
que vous perdez une chose,comme la patience de cette femme @ la maison
qui brule, vous perdez un peu d'amour, et l'ange le collecte et me l'a
donn{.Il m'a donn{ l'amour perdu de vous tous.
-Vous voulez dire qu'@ chaque fois que l'on joue la m{chancet{ et que
l'on perd de la gentillesse et de la sagesse, nous avons laiss{ tomber
un amour, qui est alors perdu puisqu'il n'est pas sorti.Il est rest{
quelque part au fond de nous, et un ange l'a collect{ car il naviguait
@ travers ce royame aux gens perdus et vous l'a donn{, vous le plus
m{chant de nous tous, {ssaya d'expliquer l'amoureux perdu dans les
bras de sa femme.
-Exactement."

Quand Jack tourna le dos aux perdus, il ne vit pas qu'Annie {tait sortie de
la maison.Elle le suivait en se cachant de ruelles en ruelles souvent tr{s
bien {clair{es.Et Jack s'en alla sous le regard des perdus, qui n'ont, h{las,
jamais compris ce qu'a voulu dire l'ange qui les narguaient tant.Qui ne se
laisse pas attraper par les gens qui ne comprennent rien @ l'amour perdu.
Annie ne r{aparrue pas, elle se perd dans la ville au milles ruelles.
Jack se retrouva sur la route brulante.Ses bottes sont en feu.Avait-il
rev{, couch{ sous cet arbre ou sur une branche il y avait un gentil
rouge-george ?Il enleva vite ses bottes qui {taient en train de lui ronger
la peau.La chaleur {tait {touffante.Se levant d'un trait, il comprit qu'il
fallait qu'il retourne voir Lolita, sa charmante et douce femme.Le
rouge-george vient se percher sur son {paule et chante @ tue-tete.Ses habits
sont propres et bien rouges.Sa coiffure imp{ccable et bien rouge.Son passage
dans le royaume perdu est-il fini pour lui ? Et pour Lolita qu'il entraine
avec lui @ chaque fois qu'il appelle Stingo.
Car dans le royaume perdu vit encore Stingo et Annie BLACK.Un simple
rendez-vous peut les rapell{.Pendant que Jack et Lolita vont communi{s leur
amour,les deux autres vont essay{s de s'entretuer en s'effrayant mutuellement.
L'amour vieillit souvent par rapport @ la m{chancet{ qui elle reste tr{s dure
@ faire vieillir et @ oublier;elle nous harcelle @ longueur de temps.L'amour
{ternel existe-t-il ? Pour effacer pour toujours la peur et la haine de
l'autre, qui souvent nous attire.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED6IMP

Jack trouva Lolita dans sa chambre, il la prit dans ses bras et l'embrassa.Il
commenca @ lui parler d'une douceur extr}me:

"-J'ai fait la rencontre d'un rouge-george, il m'a raconte une histoire
et j'ai comprit que c'etait la notre, d'hisoire.Je l'ai emmen{ avec moi,
il est en bas sur un perchoir et chante pour nous.
-Tu es un ange.
Je suis tes ailes.
Je suis un ange.
Tu es mes ailes.
Volons ensemble.Naviguons dans le royaume des gens perdus.
-N'oublie jamais ton sourire,
N'oublie jamais la couleur de tes yeux,
N'oublie jamais la forme de tes sourcils, de ton nez, de ton visage,
N'oublie jamais la forme de ton corps.
N'oublie jamais mon coprs.Aime-moi.
Car, un jours, je te sauverai du Noir.


Jack s'arrete :

"-Je peux te toucher.
-Oui, cel@ ne me derange pas.
-Je peux te parl{.
-Oui, mais vite je n'ai pas beaucoup de temps;
-Tu sais, j'aime le vide dans ma tete.
-Quoi ?
-Laisses moi parl{, je n'en ai pas pour longtemps.
J'aime le vide dans ma tete.Je ferme les yeux, je n'entend plus rien.
J'aime ce vide, et quand je r{ouvre les yeux.J'aime le monde exterieur,
J'aime voir une femme s'avancer vers moi, voir ses yeux fem{s puis
s'ouvrir me revelant un peu de son vide.J'aime tes yeux, ils sont
profond, ils me cachent des choses.De belles et de moins belles, j'aime
les deux.Je plonge dans tes yeux si myterieux.J'essaye dans voir plus et
je m'imagine fottant dans ces yeux, cherchant ce vide.Je veux juste
imaginez qui tu es, et attraper un peu de ce vide.Pour le sentir.Et en
peut-etre, le toucher, tout simplement.Je veux juste t'imagin{.
-Je te remerci, fait-elle en buvant son caf{.
-Cel@ ne t'int{rr}sse pas ?
-Si continues.
-Non, je n'arrive plus, je me suis coup{, j'ai mal.Tu as l'air de te
moquer.
-Non, pas du tout.J'aime tes yeux.

Jack lui susure quelque chose @ l'oreille.
Et ils {cout}rent un murmure qui disait @ peu pr{s ces mot l@ :

"Ne viellis pas
Le noir sortira
La peur ne frappera pas @ ta porte
Je suis ton ame soeur,en quelque sorte

Je ne viendrai pas te voir
Car tu le feras choir
Rouge, tout est si rouge
Que tu ne peux qu'etre que douce

Ne viellis pas
Le noir sortira
La peur ne frappera pas @ ta porte
Car je suis ton ame soeur

La m{chancet{ se nourrit de l'amour.
L'amour se retrouve dans les pas de la m{chancet{ perdue.
L'impatience est une patience perdue
La m{moire pass{e est perdue dans l'amour

L'{goisme n'est qu'un amour impatient
L'amour ne s'attrappe pas, il se donne en l'attrapant.
Le feu fait danser l'impatience et l'amour chaud
La solitude est amour impatient

La m{moire perdue, c'est la solitude
La m{moire perdue est un peu d'amour perdu
Dans tout \a l'amour est perdu
Et un ange peut vous le donner.

Le noir sort...Le rouge reste...Faite vos jeux."

L'oiseau s'envola ensuite.Ils le virent r{apparaitre de temps en temps.
Il chantait leur chanson.Attrapez-moi ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED7IMP


Le petit Jack, assit sur son lit d'enfant imagine une histoire, le m{langeant
lui et Lolita.Il pense que la vieillesse vit dans la peur et la haine.Et si @
chaque fois qu'on avait peur, on vieillissait.


VOICI SON HISTOIRE.
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FICHIER : RED8IMP

Stingo sent ses bras devenir lourds.Il laisse tomber ses genoux sur l'asphalte
froid de la nuit, et il baisse sa tete en avant.Quelques minutes lui sont
n{c{ssaires pour reprendre son souffle.Se relevant rapidement, il se met @
courir, cherchant la sortie de cette ville.Ses emjamb{es sont {normes.Les
tournants et les ruelles non plus de secret pour lui.Les vieilles aux bouquets
de roses l'ennuient, il les jette contre les murs et leur broit leurs satan{s
roses.Il leurs d{truit tout espoir de revoir, un jour, leurs choses perdues
qu'elle desirent tant attraper.Certaines lui {chappent tout de meme.
Pendant ce temps ses voisins sont toujours devant sa maison et continu de lui
insufler le "BOUH" qui le fait tant rire.
Il arrive dans une partie de la ville qu'il ne connait pas, un Ocean se tient
devant lui.Une pancarte est install{e sur la rive, il s'en approche :

"A partir de l@, on ne peut plus rien pour vous, le chef de la gendarmerie
vous recherchera.Si il vous trouve, il vous enfermera.Ceci est une limite @
ne pas franchir."

Stingo rit en lisant ces pharses, et il se souvient de ce couple, vide de tout
amour, se tenant dans sa chambre.Et ses "BOUH" l'amusent encore plus.
Regardant une autre pancarte, il remarque que celle-ci est une carte.La carte
est un plan de la ville aux milles ruelles, et un plan tr{s peu d{taill{ d'une
incertaine region.Elle ne dit rien @ Stingo, il ne connait pas cette r{gion.
Deux courtes pharses sont {crite sur la carte.Une tr{s pr{cise accompagn{ d'un
point situait dans la ville perdue :"Vous etiez l@."L'autre dans la r{gion
inconnu peu p{cise, pour l'instant car Stingo veux-y aller :"Vous etes @ peu
pr{s par l@."Cette phrase est aussi accompagn{ d'un point.Ce point ne veut
plus rien dire puisque la pharse qui l'accompagne n'est plus pr{cise.Stingo
tourne le dos @ cette carte est regarde l'Oc{an.
Insouciant, il se rapproche de la rive.L'Ocean manque de vagues, il parait
plutot comme {tant un simple petit fleuve que l'on peut traverser aisement @
la nage.Ce qui n'empeche pas qu'une barque se raproche de lui.A son bord un
vieillard le dirige gr@ce @ un long baton.Il accoste et parle @ Stingo :

"-Vous avez d{cid{ de traverser.Voil@ une bonne chose.
-Je le pense aussi, r{pondit Stingo."

Il embarque dans la miniscule barque, et essaye de s'assoir.

"-Un caramel dur ? dit le vieille homme barbu, et qui n'a pas l'air
vraiment m{chant.
-Je veux bien, avant j'aimais mieux les mous.

La barque s'{loigne et la rive disparait.Stingo a enfin reussi @ s'assoir.

"-Les durs vous cachent leurs secrets jusqu'@ un certain moment donn{ o|,
l@, ils vous d{livrent leurs aromes.Puis ils se glissent entre vos dents
pendant un long moment.Et vous en prennez un autre @ cause de leurs
secrets cach{s.Un autre ?
-Je veux bien.
-Tenez je vous donne la boite, se sera plus pratique.Voulez-vous vous
baigner, l'eau est froide.Ma foi.
-O| allons nous ?
-Je ne sais pas, je ne suis jamais descendu sur l'autre rive.Je m'appelle
Tahron et vous ?
-Stingo BLACK.
-Mr BLACK ? J'ai entendu parler de vous."

Un bruit sourd se fait entendre.

"-Encore un avion,dit le vieille homme barbu et couvert d'un bonnet de
marin.
-Un avion, ici ?
-Oui.Moi, je pr{f}re les trains mais eux, sur ce rivage, ils pr{f}rent
les avions.
-Comment le savez-vous ? vous n'etes jamais all{e sur l'autre rive.
-Vous etes arriv{e."

Stingo ne dit plus rien et saute hors de la barque.Une montagne se gonfle
d'orgeuil devant lui.

"-Gravissez cette montagne, dit le vieillard en tenant son long baton @
l'horizontale."

Stingo se retourne vers cette montagne.Elle n'est pas immense, mais de
nombreux arbres la gonflent un peu plus.

"-Tout en haut ? Mais que peut-il y avoir tout en haut ?
-Vous avez votre carte d'identit{ ? Lui sort le vieillard au visage
tendu."

Il fouille dans ses poches de son patalon, palpe celle de son "costard".

"-Je ne l'ai pas.
-Parfait, vous pouvez monter.Vous verrez ce n'est pas si difficile que
\a."

Ainsi, il commence @ s'introduire dans la foret qui monte.Un sentier est
d{ssin{, il le suit attentivement.Des pierres le jonchent en {tant tr{s bien
align{es de chaque bord.

"-Petit Poucet, petit Poucet ...O| vas-tu, o| vas-tu ? "

Arriv{ au milieu, il se tourne et @ travers les branches des arbres, qui sont
des pins, apr{es l'Oc{an, il voit la ville aux milles ruelles.Des maisons
explosent encore et encore;cel@ le fait rire de plus belle.Il avance de
nouveau.

"-Petit...Tiens plus de pierres !?? Normal, je suis dej@ arriv{ en haut.
Pas si difficile que \a, l'homme @ la barque n'avait pas tord.H{,h{
vraiment pas tord.Vraiment pas..."

Il n'arr}tait pas de dire cette pharse @ voix haute quand, devant lui, assise
sur un rocher, une femme le fixe fortement;il se sent alors oblig{e de stopper
cet amusement.Cette femme est coiff{e de longues nattes noires lui descendant
sur les seins et recouverte par une sorte de chapeau en cone.V{tue d'une robe
blanche, elle passe sa main dans cette robe et se touche le sein gauche.Elle
est magnifique.

"-Tu ne languis pas de retrouver ta femme ?
-Non, pas vraiment.Je me sens bien ici, je m'amuse comme un fou.Bien
que ce soit noir.Mais j'adore le noir, vous savez."

Il parle ainsi en penchant sa tete.Il se saisit d'un caramel dur et
l'engoufre.

"-Pourquoi es-tu partit loin d'elle ?
-Vous m'{nervez avec vos questions, crit-il en machouillant le caramel.
-Tu ne me r{ponds pas, tu as peur de quelque chose."

Il s'approche d'elle.

"-Sachez que je n'ai peur de rien.
-Si, tu as peur d'elle.
-Peur d'elle, de cette femme.Ah!Ah! Laissez moi rire.De cette petite..
(Il s'arr}te de parler).Voyez, je ne me rapelle meme plus @ quoi elle
ressemble.Alors, si je m'en fou, vous voyez.Et puis, c'est de sa faute
si je suis parti.
-De sa faute, pourquoi ??
-Je le sais, c'est tout.Et puis je m'en vais, vous m'enervez de plus
en plus."

Il s'{chappe, laissant cette femme sur son rocher.Il fait quelques m}tres et
s'arr}te sans se retourner.Elle continue @ parler :

"-On ne peut plus rien faire pour lui, elle regarde le rocher, la
ville aux milles ruelles l'a compl}tement d{truie.Il ne s'est meme plus
ce qu'il cherche.@ moins que..."

Stingo se retourne vers elle et s'approche encore plus pr{s.

"-Figurez-vous que je n'aime pas que l'on se moque de moi !!"

Elle ne dit rien.

"-Je vous ai entendu parler derri}re mon dos, meme si c'est @ une
pierre @ qui vous parlez, ce qui est compl}tement normal de nos
jours, mais je n'aime pas que l'on se moque de moi !!
-Oui, je parlais de vous.
-Vous voyez bien.Et que disiez-vous !!
-Je ne peux pas vous le dire.
-Personne ne peux rien me dire."

Il engoufre un nouveau caramel et se saisit d'une pierre.

"-Dites-le, crit-il en pla\ant la pierre devant ses yeux.

Elle regarde le rocher sur lequel elle est assise :

"-Quelle petite fille ? Non, d{sol{."

Stingo recule sa main et la frappe @ l'aide de la pierre.Elle tombe sur les
aiguilles de pin;laissant son rocher au d{sespoir.Il s'approche d'elle, lui
sort la main de sa robe, arrache celle-ci, la retrousse jusqu'aux hanches.
Laissant apparaitre ses deux seins.Il les l}che.Elle ne fait rien.Il prend une
autre pierre, la place sous ses cheveux, et lui tape grace @ l'autre, lui
d{coupant ses nattes.Se saisissant d'une pierre du sentier qui, elle, est plus
pointue, il tranche ses bras.Le droit en dessus du coude et l'autre @
l'intersection de l'{paule.Le sang gicle @ flot.Il jete les bras, les offrant
@ la foret.Stingo s'en va en courant, laissant la femme dans les aiguilles de
pin.

"-V{nus, v{nus si seulement tu pouvais me toucher et enfin me livrer ton
aphrodisiaque.Aphrodite !!"

Elle arrive @ se relever et @ rejoindre son rocher.Elle grimpe dessus, se
met debout et se transforme en statue; laissant son chapeau par terre.La
jambe gauche l{gerement pli{e, elle regarde @ gauche apercevant la ville aux
milles ruelles, du haut de sa montagne.
O| est pass{ Stingo ? Il descend le sentier oppos{ de la montagne.
Il croise un homme.

"-Ne vas pas l@.
-Qui etes-vous ?
-Je ne sais pas.C'est embetant de bouger d'un endroit pr{cis, surtout
si on aime cet endroit ? Et puis on ne sait plus o| est cet endroit.
On l'oublie car il est trop pr{cis.Je vais vous lire un petit et
simple po}me qui s'appele :

" Les sensations d'un amour perdu
-------------------------------
On perd un bel amour,
Il se glisse au fond de vous.
Ou on l'oublie peut-etre juste un peu,
On a un peu peur.
Quand un autre amour apparait @ vous,
Il cache l'ancien.Il le frosse.

On oublie de plus en plus les sensations de Mr ex-amour,
Elles se terrent.

Amour plus beau, il passe en premier plan.
Transpar{ alors, juste derri}re, la beaut{ ancienne .
Il flirte de temps @ autre avec celui de devant.
Mais jamais ne se m{lange.
Si ce nouvel amour est noir,
Il le cache entierement,
Cet ancien, ce vieux, ce m{chant vieux, bel amour.
Le noir s'{face le beau r{aparait changer par ce noir."

O| allez-vous, n'allez pas par l@.
-Sachez que personne ne me donne d'ordre, je vais y aller et meme
oublier ce que vous m'avez dit."
-Aphrodite ?"

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED9IMP

Arriver devant la discoth}que, il ouvre la porte en croisant un couple entrain
de s'embrasser dans un coin tr{s sombre.D{s l'ouverture de porte la musique
lui parvient aux oreilles :Metalica, Enter Sandeman.Le videur le fouille.

"-Pas de couteaux, pas de flingue ? Vas-y entre."

Arriver sur la piste de danse il voit un homme de dos, une femme dans ses bras.
Il arrache la chemise de la femme, la gifle, les guitares de Metalica sont @
leur maximun.Il la regifle et se tourne vers Stingo.Il rit.Il p{n}tre encore
plus.Un homme s'approche de lui.

"-tu vois cette fille , elle a dit que tu n'es qu'un gros con."

Il rigole.

"-Viens, approche toi d'elle."

Quatres hommes et une femme.Tous la vingtaine @ peu pr{s.La femme est habil{e
de noire.Elle s'approche de Stingo.

"-Je m'apelle Tatania, c'est vrai que tu es con."

Un des hommes lui tend un flingue.

"-gifle la, lui dit l'homme."

Stingo le fait sans pri}re en lui envoyant une gifle qui fait balancer les
cheveux de la fille comme un fouet.

"-Tu es toujours aussi con, lui dit-elle ?
-Qu'est-ce que tu attend mec, tire lui dessus."

Bang.Bang.Deux coup, et c'est trop.La fille s'{crase contre une vitre.

"-Casses-toi maintenant, mec.
-AH!AH!AH!."

Stingo part en courant vers la sortie en poussant les gens.Les danseurs
sortent des fouet et le fond claqu{ sur le dos de Stingo.
Il passe devant le videur sans rien dire.Et juste @ la sortit, il croise les
deux amoureux dans le noir.L'homme {geoge la fille @ l'aide d'un rasoir.Stingo
s'en approche et l}che le sang.

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED10IMP

Il regarde deux hommes separ{s par une simple cloison.Celui de droite poss}de
une sorte de bouton inclu dans la cloison.Le premier @ sa gauche le fascine
d'abord.Il l'{coute, cet homme crit :

-Alors, toi de l'autre cot{ de cette cloison, tu m'entends.Oui toi, tu n'as
rien fait comme @ ton habitude.Tu reste la sans rien faire.Je ne te connais
pas.Tu n'enventes rien ? Et je suis la @ te parler.Alors qu'@ tu fait
aujourd'hui, crit-il comme un d{ment.

Stingo tourne sa tete et aper\coit l'autre homme.Il est debout {coutant les
fac{tie de l'autre qui crit et qui le traite qu'un moins que rien.Il avance
son bras et appuit sur le bouton.Une voix se d{gag dans la prison.Cette voix
elle crit comme un d{ment et imite celle de l'autre homme qui le critique.
Elle l'imite.Et Jack et prit d'une envie de rire.

"-Vos fac{ties m'amusent, chacun essaye d'imite l'autre.Alors qu'ils ne sont
rien tout les deux(Il rigole encore plus fort.)Vous n'etes rien.Vous vous
servez de vos apparences pour vous trompez.Vous m'amusez.Votre voix me
ravit.Continuez @ vous battre ainsi.Je ne crois plus en rien.Continuez, s'il
vous plait j'aime voir des vides se battrent.L'un des deux hommes se tourne
brutalement ver Stingo.

"-Tu ne crois pas etre aussi vide et aussi m{prisant que nous, Mr Stingo
Black."

Stingo arrete de rire et sent son regard s'{chap{.Il ne voit plus rien et
il parle.

"-Je ne sais pas, peut-etre.Oui, dit-il en lachant des larmes et qui forme de
petites fleurs.je suis aussi m{prisable que vous et aussi vide;Je m'en rend
compte maintenant."

Les deux hommes disparaissent et stingo apper\oit Lolita, en dehors de la
prison.Derri}re les barreaux.Elle {tait cahc{e par les deux hommes.
Elle sourit @ Stingo.Il y a une petite fille @ cot{ de Lolita, c'est la petite
fille de l'hotel, elle a des roses dans la main.Stingo s'approche des
barreaux et de la jeune fille.

"-Vous n'etes plus m{chant ,dit la petite fille souriant @ Jack.Tenez je
vous donne les roses que j'ai ceuillis pour vous.
-Je te remerci beaucoup."

Jack tourne sa tete et revoit Lolita, elle est accompagn{ d'une autre femme.
Jack se dit que le pr{nom d'Annie lui irrez bien.Le chef de la gendarmerie est
arriv{ avec des clefs, il ouvre la porte.Jack se retourne pour regarder
l'immense c{lule et il voit Stingo, assit sur la chaise, le regardant puis
femant les yeux, il est accroch{ sur la chaise.
Le chef de la gendarmerie parle @ Jack :

"-Je ne peux pas le garder longtemps.Mais une fois qu'il sera libre, vous
serez comment faire pour que je l'enferme @ nouveau.
-Je m'en souviendrais.L'ange c'est l'ange qui m'a apporte la r{ponse, non ?
-Oui, regardez le, il est l@ dans un coin de la c{llule."

Jack voit l'ange, apparement il a recup{r{ ces ailes.Il est {clir{ par une
lumi}re rouge et il sourit comme @ son habitude.Un flash sortit de l'ange et
Jack appercoit et entend les voisins qui sont devant sa maison,
ils se demandent :

"-Va-t-il dire ce que l'ange lui a apport{."

Tous sans exeception le disent tout haut.
Le flash s'en va et Jack revoit l'ange.

"-Vous le savez-vous ce qu'elle m'a apport{ ?
-Oui, je le savais, mais je ne pouvez rien dire.
-Je comprend et mes voisins pourtant ne le savent.
-Oui, mais, moi je suis le gardien de la prison, je dois tout savoir sur les
gens qui entre ici."

Jack retourne dans sa maison, le soleil se l}ve et vient fapper les f}sses des
deux personnes {tranges toujours couch{ sur le lit.Toujours avec leur fil
{lectriques les joignant.

"-Sortez, dit-il en se levant, je ne veux plus vous voir.Sortez, s'il vous
plait."

Les deux personnes sortent du mieux qu'elles peuvent.Une fois dehors ils
voyent les gens leur demander si ils savaient ce que l'ange lui a apport{.

"-Je ne sais pas, il a chang{ en tout cas.Peut-etre va-t-il nous le dire en
sortant ? Il nous a dit qu'il sortait;peut-etre va-t-il le dire ?

Jack et devant sa porte.Il croise en passant devant eux, les deux divorc{s,
toujours avec les fils {lectriques.

"-Vous voulez savoir ce que l'ange m'a apporter ?"
-Oui, r{pond le couple en meme temps.
-L'amour que chacun de vous a perdu.
-Mais, tout ces gens n'ont pas perdu l'amour.
-Si, vous l'avez perdu en cherchant trop longtemps les choses que vous
aviez perdues.Et votre monde d'{goiste l'a aid{ @ disparaitre.Vos roses
ressemblaient @ cette amour.Sans vous en rendre compte, vous les portez
dans vos bras qu'en vous errez dans cette ville perdue.A chaque fois
que vous perdez une chose, comme la patience de cette femme @ la maison
qui brule, vous perdez un peu d'amour, et l'ange l'a collect{ et me l'a
donn{.Il m'a donn{ l'amour perdu de vous tous.
-Vous voulez dire qu'@ chaque fois que l'on joue la m{chancet{ et que
l'on perd de la gentillesse et de la sagesse, nous avons laiss{ tomber
un amour, qui est alors perdu puisqu'il n'est pas sorti.Il est rest{
quelque part au fond de nous, et un ange l'a collect{ car il naviguait
@ travers ce royaume aux gens perdus et vous l'a donn{, vous le plus
m{chant de nous tous, {ssaya d'expliquer l'amoureu perdu dans les
bras de sa femme.
-Exactement."

Quand Jack tourna le dos aux perdus, il ne vit pas qu'Annie {tait sortie de
la maison.Elle le suivait en se cachant de ruelles en ruelles souvent tr{s
bien {clair{es.Et Jack s'en alla sous le regard des perdus, qui n'ont, h{las,
jamais compris ce qu'a voulu dire l'ange qui les narguaient tant.Qui ne se
laisse pas attraper par les gens qui ne comprennent rien @ l'amour perdu.
Annie ne r{aparrue pas, elle se perd dans la ville au milles ruelles.
Jack se retrouva sur la route brulante.Ses bottes sont en feu.Avait-il
rev{, couch{ sous cet arbre o| sur une branche il y avait un gentil
rouge-george ?Il enleva vite ses bottes qui {taient en train de lui ronger
la peau.La chaleur {tait {touffante.Se levant d'un trait, il comprit qu'il
fallait qu'il retourne voir Lolita, sa charmante et douce femme.Le
rouge-george vient se percher sur son {paule et chante @ tue-tete.Ses habits
sont propres et bien rouges.Sa coiffure imp{ccable et bien rouge.Son passage
dans le royaume perdu est-il fini pour lui ? Et pour Lolita qu'il entraine
avec lui @ chaque fois qu'il appelle Stingo ?
Car dans le royaume perdu vit encore Stingo et Annie BLACK.Un simple
rendez-vous peut les rapell{.Pendant que Jack et Lolita vont communi{s leur
amour,les deux autres vont essay{s de s'entretuer en s'effrayant mutuellement.
L'amour vieillit souvent par rapport @ la m{chancet{ qui elle reste tr{s dure
@ faire vieillir et @ oublier;elle nous harcelle @ longueur de temps.Un amour
plus {ternel existe-t-il ? Pour effacer pour toujours la peur et la haine de
l'autre, qui souvent nous attire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED11FIN

 

Les reves sont des mesages
(Atmosphere)


Quand vous etes seul dans une piece et qu'une personne rentre.Vous la regardez
Quelque chose passe d'elle en vous.Cela creer des sensation.Comme une
graine qui grandit au fond de vous.Votre esprit la changeait en cela,en une
de graine.Cette sensation semplifie et toute la piece est envahit par une
atmosphere egale a cette personne.Son monde a prit place et petit a petit va
se joindre au votre.Seul La personne va semblait au debut etre englobe dans
cette atmosphere puis elle va vous atteindre.Comme si vous apprenez a
connaitre cette personne.Si elle parlait cela n'accentuerai que tres peu les
choses.Seul son ame ou son esprit peu l'emplifier au maximiun si la
personne a une grande personalite.En fait c'est faux la musique aussi.Mais
n'avez vous jamais eu la sensation que l'esprit du chanteur vous efflerez.
Comme si elle passait par le fil.Et les casques sans fil me dirait vous.
Mais c'est une metaphore, mon vieux.
Quand vous etes triste, un atmosphere envahit la salle et un monde nouveau
s'ouvre a vous.De meme quand vous etes gai ou amoureux ou tout autre chose.
Ces sensations vous creez votre monde."La vie n'est que sensation".
Les reves en sont aussi.Alors ils sont obliges de nous apporter des
mesage qui nous apprennent a vivre.Parait-il qu'on devient fou quant on ne
dort plus et qu'on ne reve plus.Parlons de l'amour maintenant.
La femme de vos reve est celle qui vous apporter la meme sensation que
vous avez de votre monde.Elle se complete a vous en etant egale qu'a vous.
L'homme est tellement instable a cause de ses sensation qu'il recherche la
sienne pour etre bien et pour parvenir au Nirvana.
Et cela me fait rire quant une femme dit:
"Atmosphere,Atmosphere.Est-ce que j'ai une geule d'atmosphere?"
En fait ceux que j'ai voulu essayer d'expliquer dans VOUS JOUEZ LE ROUGE ET
LE NOIR SORT, c'est ce qu'il arrive quand les sensations de deux personnes
qui sont reunit pour la vie sont different.Le Rouge et le Noir.Le
noir peu arriver a se transformer en rouge et le contraire mais c'est chose
tres rare,seul deux etre qui sont mal dans leur peau le peuvent.Ils se
cherchent comme on dit.Mais il peuvent ne pas se trouver.
Moi je suis rouge.Si notre monde crees par notre cerveau ou plus
precisement par notre memoire qui est le mur qui retient ses sensations.La
mort serai la fin de tout puisque la memoire est dans notre cerveau et que
le cerveau meurt,parait-il.Et ne perdons nous pas la memoire quant on
viellit.Alors moi je prefere etre rouge et ne pas
viellit.Tout ce que j'espere c'est que le monde dans lequel je vit va
creer une petite etoile qui continuera a vivre.C'est le but de tous.
Peut-etre serat-t-elle dans l'espace.Et vous de quelle couleur etes-vous ?
Rouge certainement.Apres avoir ecrit ca j'ai l'impression de mourir pour avoir
trouver la reponse au Pourquoi eternel.Mais non il me reste a creer un
autre monde.C'est a dire de trouver chez quelqu'un mon monde,d'aimer
quelque pour former un petit monde qui grandira et mourira ,comme je
le ferai, en laissant derriere lui son etoile.Cet etoile s'ajoutera aux autres
etoiles, et on apelera ca la Terre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED12IMP

Les rires de Stingo r{sonnaient dans toute la ville.Ses bottes sont toujours
dans la rue,personne n'y touche.Stingo fait peur rien que par son regard.
La ville s'est r{unie et cherche @ le lyncher.Les gens disent de lui qu'il
est rancunier, {goiste, individualiste, diabolique, hypocrite, sans coeur,
sinistre, antipathique, effrayant de haine, tyranique, incompris mais bien
connu pour sa bestialit{, jaloux des autres, et qu'il est sourtout depuis
qu'il a trouv{ la m{moire de Jack, devenu m{chant.
Il est en prison , il ne peut plus sortir.T{rroris{ par ces gens qui le
m{prisent.
T{rr{ dans sa cellule, derri}re un lit d{gageant une odeur tr{s forte,il rit.
Toute la ville est devant sa porte.Elle pi{tine ses bottes.Ils disent qu'il
retient prisonnier sa femme, enferm{e dans un placard.C'est ill{gale dans
cette ville.Mais lui ne s'en rapelle meme pas.Meme le chien qui gratte sa
porte ne peut plus le comprendre.Ce chien, si il revoyait Stingo dans la rue,
lui sauterait dessus et le d{chiqu}terait pour lui faire ensuite les yeux
doux.
Mais voil@ que ce chien ouvre la porte de la gendarmerie.Il cherche Stingo en
tournant sa tete de tout les cot{s.Il a rep{r{ la porte de la prison.Stingo,
@ la vue de ce chien, se saissit d'une chaise, qui craque quand on s'assoit
dessus, et lui fracasse la tete en y marchant fortement dessus.Les voisins,
en entendant les cris du chien, frappent encore plus sur la porte de la prison
et de sa maison.Mais seul le chien peut entrer, car derri}re cette foule se
tient le chef de la gendarmerie qui veille.

"-Personne n'entre sauf ce chien sinon...Dit-il, ce chef."

Le soleil se couche, Stingo est toujours dans sa c{llule.Elle est immense et
tr{s petite @ la fois.Car l'{norme grille l'emp}che d'etre cette immensit{.Sa
veste est salie par la poussi}re.Une fen}tre de la gendarmerie est
entrouverte, une lumi}re {claire le visage de Stingo.Puis elle disparait.
Ce qui peut "choquer" en entrant dans la c{llule c'est sa d{coration.Sol Noir
d'un cot{, sol Rouge de l'autre.
Un homme tient dans sa main un pin\eau, il donne de grand coup de peinture
noire sur la partie Rouge.Trempant son plumeau dans un seau noir, il recule
son bras derri}re sa tete, il s'arr}te pour viser la partie @ atteindre.Il
lache son bras d'un coup, envoyant une train{e noir sur ce Rouge.
Un autre homme, que Stingo n'a pas vu arriver, vient juste sur son visage.
Derri}re le peintre excercer encore ses talents de d{ssinateur.L'homme le plus
proche demande @ Stingo :

"-Sais-tu o| tu es ? Qui tu es ? Pourquoi tu es ici ? (Il se tourne vers
le peintre) Crois-tu qu'il sache ? Crois-tu qu'il ne sait pas tout ?
Crois-tu qu'il ne trouve rien ? Crois-tu qu'il ne sache pas ?"

Le soit-disant peintre rigole et r{pond par des questions :

"-Je pense.Il sait ? Maman o| es-tu ? Aiguille de pin est morte ? Ne pense
pas ? Je pense ? Rien du tout ? Il ne saura plus ? "

Stingo regarde ses hommes rirent de plus belle.Le peintre a fini son travail
va en courant vers un coin obscur.L'autre se place pile devant la
tete de Stingo est s'{chape en fon\ant sur les barreaux de la c{llule.Faisant
semblant de sortir.Il disparait juste devant les barreaux.
Un fauteil en rotin est install{ face @ Stingo.Un homme ou une femme, avec une
cagoule rouge lui descendant jusqu'au nez et aux grosses lunettes noires,
apparait sur ce fauteuil.Un chien le suit, assis @ ses pieds.La plaque de ce
chien brille et attire le regard de Stingo, il n'arrive pas @ la lire.

"-Ne regarde pas ce chien, il ne t'appartient pas, Mr Black.Il
n'appartient qu'@ Jack RED, et pas @ toi, dit la cagoule aux lunettes.
-Il me rappelle un gentil chien qui m'appartenait autrefois.
-Tu l'as tu{ ce chien, m{chant."

Cagoule rouge rigole tr{s fort, trop fort.S|r de lui cette paire de lunette.
Stingo se l}ve et pleure :

"-C'est vrai, je l'ai fait, punissez-moi.
-Je ne suis pas l@ pour \a, mais(AH !AH AH! fait-il) je veux bien le
faire.Petite balle perdue ? Petite corde retrouv{e ? Tues-oi.
-Me tuer ? Je pense."

Une corde, accocrch{e au barreaux du haut de la c{llule, est mise en place
pour cette suprise.Jack s'en rapproche, se la met autour du coup, regarde le
chien, et la lache.Une lumi}re vient lui, frapper de nouveau le visage.La
fen}tre de la gendarmerie est toujours entrouverte et le matin fait sortir
le soleil.
La corde craque, Stingo tombe.S'{croulant sur le sol toujours noir, il laisse
tomber sa tete.Il se rel}ve.Il voit qu'il a quelqu'un dans son lit, c'est une
femme.

"-Tu ne te rappelles pas de moi, fait-elle en penchant la tete.Je suis
Josepha.
-Je ne connais pas de Josepha, d{sol{;
-Tu ne vas pas me dire que tu ne te rappeles pas de moi.
-Je sais pas trop.Je devrais.
-Stingo !! Stingo !! MECHANT fait-elle en sautant sur le lit.

Stingo s'approche.

"-Arretez, je ne sais pas qui vous etes.Vous apparecez devant moi, et
vous...
-MECHANT ! MECHANT !!
-Vous etes folle, madame.

Stingo s'assoit sur sa chaise.

"-Ne te couche pas dans le lit.Mr BLACK ne dort pas.Mr BLACK doit faire
peur, ou plutot il a peur.
-Une peur de quoi, une peur de l'inconnu, avez-vous peur de l'inconnu ?
-Je ne sais pas, je suis l'inconnu.
-Vous ??
-MECHANT !! MECHANT !! Il ne me connait pas, il ne se rappele pas de mon
nom.Je suis JOSEPHA, la femme qui s'occupe de votre b{b{.
-Mon b{b{ o| est-il ?"

Il s'arr}te de parler pendant 2 seconde.

"-Non, vous n'allez pas me faire croire \a, non ?
Je n'ai jamais eu de b{b{, enfin pas pour l'instant.
-Aimez-vous votre femme ? Demande Josepha en sautant sur le lit.
-Non , bien sur.
-Bien sur que NON !! crie Josepha.
-Si, enfin , je ne sais plus sur.(Il rigole)

Deux hommes couverts d'imperm{ables bleu l'attrappe par les bras et le force @
s'assoir.Il l'enchaine.Retour vers sa chaise.Il ne peut plus faire le moindres
mouvement.Josepha disparait.

Un homme est assit sur une chaise devant Stigno, il se tient la tete et a pos{
son coude sur son genou.Le regard sur le sol, il pense :

"-Je suis ici, pour vous parler d'une chose.J'ai peur d'un certain
amour.J'aime une femme mari{e, elle va avoir un enfant, elle est plus
vieille que moi, de dix ans.Quand je suis seul, j'aime parler avec
elle.Je r}ve souvent d'elle.Cet amour est beau, mais il est {goiste.
D'un autre cot{, si je vais la voir et lui parler, lui dire :"Je vous
aime."Elle m'invitera @ vite disparaitre.Cet amour est impossible.Il
est beau et {goiste, cet amour seul impossible.Pourtant je l'aime.
Voil@ que je fais de la psychologie @ moi meme.Certains disent que
la beaut{, c'est de s'assumer, je rajoute psychologiquement.Alors (il
se tourne vers Stingo), suis-je beau ?"

L'homme disparait en laissant une ambiance qui lui ressemble psychiquement.
Une femme est couch{e sur un lit.Pas celui de Stingo.Elle lui parle en phrases
courtes:

"-Savoir dormir, savoir r{ver, r{ver bien, aimer le r{ve, amour reveur,
bouger de l@, ici, partir loin, r{ver de l'amour, rencontrer l'amour,
rencontrer regard, mal dormit, amour perdu, r{ve cass{, r{ve {mi{t{,
amour r{veur etre parti, mal dormir, mal dormir, r{ver d'amour noir,
retrouver un amour perdu venant du vide, sortant du vide, bien dormir,
bien dormir, bien r{ver, bel amour il revient nous voir.
Pourquoi, ne pas te coucher sur le lit de ta c{llule, mal dormir ?

Son personnage disparait.Mais dans la c{llule, elle est toujours l@, se
faufilant dans les recoins, les nombreux recoins.
Il regarde deux hommes separ{s par une simple cloison.Celui de droite poss}de
une sorte de bouton inclu dans la cloison.Le premier @ sa gauche le fascine
d'abord.Il l'{coute, cet homme crit :

"-Alors, toi de l'autre cot{ de cette cloison, tu m'entends.Oui toi,
tu n'as rien fait comme @ ton habitude.Tu reste la sans rien faire.Je
ne te connais pas.Tu n'inventes rien ? Et je suis la @ te parler.
Alors qu'@ tu fait aujourd'hui, crit-il comme un d{ment."

Stingo tourne la tete et aper\oit l'autre homme.Il est debout {coutant les
fac{tie de l'autre qui crit et qui le traite de moins que rien.Il avance
son bras et appuie sur le bouton.Une voix se d{gage dans la prison.Cette voix
elle crit comme un d{ment et imite celle de l'autre homme qui le critique.
Elle l'imite.Et Jack est pris d'une envie de rire.

"-Vos fac{ties m'amusent, chacun essaye d'imite l'autre.Alors qu'ils
ne sont rien tout les deux (Il rigole encore plus fort.)Vous n'etes
rien.Vous vous servez de vos apparences pour vous tromper.Vous
m'amusez.Votre voix me ravit.Continuez @ vous battre ainsi.Je ne
crois plus en rien.Continuez, s'il vous plait j'aime voir des vides
se battrent."

L'un des deux hommes se tourne brutalement vers Stingo.

"-Tu ne crois pas etre aussi vide et aussi m{prisant que nous, Mr
Stingo Black."

Stingo arr}te de rire et sent son regard s'{chapper.Il ne voit plus rien et
il parle.

"-Je ne sais pas, peut-etre.Oui, dit-il en lachant des larmes qui
forment de petites fleurs.je suis aussi m{prisable que vous et aussi
vide;Je m'en rend compte maintenant."

Une empreinte psychique est encore lach{e par ces deux hommes.
Devant Stingo, un autre homme apparait, il se balance puis s'approche de lui.

"-J'ai connu un arbre, je suis rest{ longtemps @ ses cot{s.Une
femme {tait venue me voir un jour.C'{tait votre femme.Elle m'a parl{
de vos yeux.Pouvez-vous me parler de ses yeux ?
-Oui, je m'en souviens la premi}re fois que je l'ai rencontr{, ses
yeux brillaient d'une certaine mani}re.Et une voix en est sortie :
"Je t'aime",me dit-elle.Je ne sais pas si c'est moi qui est construit
cette voix.Pourtant ? A-t-elle entendu la meme chose ? Le savez-vous ?
-Oui, je le sais, ouvrez-vos yeux.Oui, elle pense la meme chose.Elle
entend les memes choses dans vos yeux.Vous vous disiez:"Elle ne pense
peut-etre pas aux memes choses que moi."C'est @ vous de le d{couvrir
dans ces yeux.Ouvrez les grands, vos yeux.Apprenez @ connaitre ses
yeux."

L'homme disparait de la meme fa\on que les autres et stingo apper\oit une
femme en dehors de la prison.Derri}re les barreaux, elle {tait cach{e par
l'homme aux arbres.
Elle sourit @ Stingo.Il y a une petite fille @ cot{ de cette femme, c'est la
petite fille de l'hotel, elle a des roses dans la main.Stingo s'approche des
barreaux et de la jeune fille.

"-Vous n'etes plus m{chant ,dit la petite fille souriant @ Jack.Tenez
je vous donne les roses que j'ai ceuillie pour vous."

Elle fait pass{ les roses entre les barreaux.

"-Je te remercie beaucoup."

Jack tourne la tete pour regarder cette myst}reuse femme.Jack se dit que le
pr{nom d'Annie lui irrait bien.Le chef de la gendarmerie est arriv{ avec des
clefs, il ouvre la porte.Jack se retourne pour regarder l'immense c{llule et
il voit Stingo, assit sur la chaise, le regardant puis femant les yeux, il est
toujours accroch{ sur sa chaise.
Le chef de la gendarmerie parle @ Jack :

"-Je ne peux pas le garder longtemps.Mais une fois qu'il sera libre,
vous saurez comment faire pour que je l'enferme @ nouveau.
-Je m'en souviendrai.L'ange c'est l'ange qui m'a apporte la
r{ponse, non ?
-Oui, regardez le, il est l@ dans un coin de la c{llule."

Jack voit l'ange, apparement il a recup{r{ ses ailes.Il est {clair{ par une
lumi}re rouge et il sourit comme @ son habitude.Un flash sortit de l'ange et
Jack appercoit et entend les voisins qui sont devant sa maison, ils se
demandent :

"-Va-t-il dire ce que l'ange lui a apport{."

Tous sans exeception le disent tout haut.
Le flash s'en va et Jack revoit l'ange.

"-Vous le savez, vous, ce qu'elle m'a apport{ ?
-Oui, je le savais, mais je ne pouvez rien dire.
-Je comprend.Et mes voisins pourtant ne le savent pas.
-Oui mais, moi, je suis le gardien de la prison, je dois tout savoir
sur les gens qui entrent ici."

Attention, Jack tu es juste @ l'ouverture de la porte.a l'intersection du
monde exterieur et de la prison.Le chaufeur du camion qui a percut{ Jack
apparait :

"-Attention, ne reste pas au milieu, fait gaffe."

Jack se tourne une nouvelle fois vers Stingo.Stingo rit de nouveau.Un ange du
d{mon arrive, tout de noir il s'approche de Jack les ailes grandes ouvertes
pour l'attraper.Jack saute hors de la c{llule.Et le chef ferme la porte.

Jack retourne dans sa maison en passant par la fenetre de sa chambre laiss{e
entrouverte, le soleil vient fapper les f}sses des deux personnes {tranges
toujours couch{es sur le lit, toujours avec leurs fils {lectriques les
joignant.

"-Sortez, dit-il en alongeant sa jambe @ l'interieur de la chambre.
je ne veux plus vous voir.Sortez, s'il vous plait.

Il est enfin rentrer dans sa chambre et pose le deuxi}me pied par terre.
Les deux personnes sortent du mieux qu'elles peuvent.Une fois dehors ils
voyent les gens leur demander si ils savaient ce que l'ange lui a apport{.

"-Je ne sais pas, il a chang{ en tout cas.Peut-etre va-t-il nous le
dire en sortant ? Il nous a dit qu'il sortait;peut-etre va-t-il le
dire ?

Jack est devant sa porte.Il croise en passant devant eux, les deux divorc{s,
avec les fils {lectriques qui produisent des {tincelles.

"-Vous voulez savoir ce que l'ange m'a apport{ ?"
-Oui, r{pond le couple en meme temps.
-L'amour que chacun de vous a perdu.
-Mais, tout ces gens n'ont pas perdu l'amour.
-Si, vous l'avez perdu en cherchant trop longtemps les choses que
vous aviez perdues.Et votre monde d'{goiste l'a aid{ @ disparaitre.
Vos roses ressemblaient @ cette amour.Sans vous en rendre compte,
vous les portez dans vos bras qu'en vous errez dans cette ville
perdue.A chaque fois que vous perdez une chose, comme la patience de
cette femme @ la maison qui brule, vous perdez un peu d'amour, et
l'ange l'a collect{ et me l'a donn{.Il m'a donn{ l'amour perdu par
vous tous.
-Vous voulez dire qu'@ chaque fois que l'on joue la m{chancet{ et que
l'on perd de la gentillesse et de la sagesse, on laisse tomber un
amour, qui est alors perdu puisqu'il n'est pas sorti.Il est rest{
quelque part au fond de nous, et un ange l'a collect{ car il naviguait
@ travers ce royaume aux gens perdus et vous l'a donn{, vous le plus
m{chant de nous tous, {ssaye d'expliquer l'amoureux perdu dans les
bras de sa femme.
-Exactement."

Quand Jack tourna le dos aux perdus, il ne vit pas qu'Annie {tait sortie de
la maison en meme temps que lui.Elle le suivait en se cachant de ruelle en
ruelle souvent tr{s bien {clair{es.Et Jack s'en alla sous le regard des
perdus, qui n'ont, h{las, jamais compris ce qu'a voulu dire l'ange qui les
narguait tant.Qui ne se laisse pas attraper par les gens qui ne comprennent
rien @ l'amour perdu.
Annie ne r{aparrue pas, elle se perd dans la ville au milles ruelles.
Jack se retrouve sur la route brulante.Ses bottes sont en feu.Avait-il
rev{, couch{ sous cet arbre o| sur une branche il y avait un gentil
rouge-george ? Il enleva vite ses bottes qui {taient en train de lui ronger
la peau.La chaleur {tait {touffante.Se levant d'un trait, il comprit qu'il
fallait qu'il retourne voir Lolita, sa charmante et douce femme.Le
rouge-george vient se percher sur son {paule et chante @ tue-tete.Ses habits
sont propres et bien rouges.Sa coiffure imp{ccable et bien rouge.Son passage
dans le royaume perdu est-il fini pour lui ? Et pour Lolita qu'il entraine
avec lui @ chaque fois qu'il appelle Stingo ?
Car dans le royaume perdu vit encore Stingo et Annie BLACK.Un simple
rendez-vous peut les rapeller.Pendant que Jack et Lolita vont communier leur
amour, les deux autres vont essayer de s'entretuer en s'effrayant
mutuellement.Puis ils vont {ssay{ de sombrer chacun de leurs cot{s.
L'amour vieillit souvent par rapport @ la m{chancet{ qui elle reste tr{s dure
@ faire vieillir et @ oublier;elle nous harcelle @ longueur de temps.Un amour
plus {ternel existe-t-il ? Pour effacer pour toujours la peur et la haine de
l'autre, qui souvent nous attire.

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED12IMP

 

Pour certains, les arbres ne parlent pas.Pour d'autres, ils leurs chuchotent de
jolies choses.Grand Jack RED grace @ l'homme sans bouche arrive @ entendre ce
chuchotement.Il le traduit ici :


Le regard des arbres
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Regardes, un humain.
Regardes, un animal.
Regardes, ils ne nous regardent pas.
Pourquoi ?

Il fait sombre et l'hiver est l@.
Laissons tomber nos feuilles.
Regardes, il fait sombre et on nous voit encore moins.

Le printemps est l@.Il fait clair.
Regardes les etres ne nous regardent toujours pas.
Faisons pousser nos branches et nos fleurs pour eux.
Regardes, ils nous regardent.

Non, ils regardent nos fleurs.
Pourquoi pas nous ?
Personne ne nous regardent vraiment bien.
Nous sommes souvent un amour perdu.

Nous ne vivons ni dans votre pr{sent, ni futur , ni pass{.
Nous sommes l@ pour vous, seulement pour vous.
Et pour vous dire notre amour perdu.
Le sentez-vous, s'il vous plait.

Sentez le parfum que l'on vous d{livre.
Regardes, ils le sentent.
Mais ils ne nous voient toujours pas.
Vraiment.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RED13IMP

Il continu @ courir et @ descendre.C'est la fin du sentier, et un autre Oc{an
le separe de l'autre cot{.Pas de barque ici pour traverser, il faut y aller
en nageant.Il plonge dans cette eau chaude, et fait un semblant de brasse.
On n'avait pas l'impr{ssion @ le regarder que cet Oc{an, une fois dedans,
poss{de de grandes et douloureuses vagues, surtout qu'il est {puis{ de la
ville perdue, l'autre rive ne semble pas etre loin, meme tout proche, mais
cel@ n'est vraiment pas le cas pour Stingo.Pourtant, il sait qu'il va y
arriver jusqu'@ cette autre rive.
Elle ne se rapproche pas si facilement, et il commence @ faiblie.Prendre des
bouff{es d'eau sal{e qui, elle, irrite les yeux.Il souffre physiquement pour
la premi}re fois depuis son accident et il n'aime pas \a.L'eau lui brule les
yeux, lui l'oblige @ les fermer de temps en temps, @ les reposer.Comme si
cette mer ne voulait pas etre vue de pr{s.Il a l'impr{ssion d'avoir regard{
tr{s longtemps un objet.Le meme objet pendant une {ternit{, pourtant, il ne
s'en lasse pas, de le regarder cet objet.Il ferme les yeux tout de meme.Mais
il est oblig{ de regarder, de temps en temps, o| il va.Sinon, il se sentirait
perdu.Il ne veux plus etre perdu.Plus jamais.
Elle se rapproche enfin, et il reprend courage.Une centaine de m}tre, il
arrive, se d{tend les muscles, se d{contracte, retrouve un certain bien etre.
Une usine n'est pas loin pourtant, et sa fum{e le fait tousser.Devant cette
usine, un supermarch{, un immense supermarch{, grand comme...Lui aussi parait
tr{s grand, mais en fait il est tr{s petit.Il arrive @ cette porte, qui semble
etre sa seule alternative.Il ne veux pas revoir cet Oc{an.Noter qu'il aime
bien cet oc{an.Oui, tout de meme il aime bien ce tendre et chaleureux Oc{an.
Meme si il le fait souffrir.
@ peine a-t-il franchit la porte, qu'un couple et devant lui.L'homme est de
dos, la femme face @ cet homme.Il arrache le chemisier de la femme, se tourne
et regardeStingo en rigolant.La femme est enti}rement peint de Noir.Et l'homme
rigole et montre son torse, lui aussi Noir.

"-J'ai connu une m{chante petite fille, vous savez, leur dit-il.

Stingo s'en {carte.Des millions de gens sont dans ce magazin.Ils semblent
intrigu{ par Stingo.L'un deux se rapproche pr{cipitament.

"-Voulez-vous m'acheter cette poup{e ? Elle est unique en son genre.Unique
vous m'entendez !! Pour toute la vie, vous l'aurez dans vos bras, la
ber|ant pour l'endormir."

La femme fait le geste.

"-Ce n'est que du plastique, dit Stingo tout de meme intrigu{.
-Oui, mais unique.
-Laissez-le tranquille,(c'est un homme v{tu de vieux vetement qui parle
@ Stingo).Prenez plutot, cette vielle voiture."

Une voiture rouge se d{couvre sous la main de l'homme.

"-Ann{e, quelle ann{e ? Je ne m'en souviens jamais.Mais, elle est en
parfait {tat, le plein est fait.Elle fonctionne comme si elle etait neuve.
Regardez la elle brille.C'est pour vous si elle brille ainsi.Allez achetez
la.Elle ne vaut que Dix milles petites pi}ces.
-Oh, laissez-moi tranquille, s'exclame Stingo d{sabus{.
-Oui, il n'en veut pas."

Une femme o| est-ce un singe, elle s'articule dans tout les sens.Elle veut
faire acheter @ Stingo une jolie petite montre.

"-Toute la vie, elle dure cette montre.Vous indiquant qu'il est temps
de ..."

Stingo refuse encore, et une autre personne se faufile pour lui faire acheter
sa chose, sa plus tendre chose.Des tas de personnes, peut-etre les a-t-il tous
pass{e en revue.

"-Regardez, je l'ai fait moi-meme.Je l'ai choy{ pendant des ann{es.Je
vous le donne gratuitement.
-Un coeur ? Que voulez-vous que je fasse de ce coeur.Il n'est pas r{el ce
coeur.

Il prend l'objet et le pi{tine de toutes ses forces, se tourne vers les
autres, fait tomber leurs objets et les casse.D{truisant tout sur son passage,
les millions de gens ne comprennent rien.Et il crit, il crit :

"-Ces objets n'existent pas, vous les dites eternels mais regardez les
maintenant.Inertes, comme toujours, elles ne servent @ rien.Regardez
ce coeur, je l'ai {cras{.Et hop, juste une tache rouge.Rachetez en un
autre pour assouvir vos envies qui vous collent @ la peau.Ces objets que
vous ch{rissez tant, ils ne marchent plus."

Il s'agenouille et l}ve les bras au ciel.

"-Que dois-je faire maintenant.Je ne crois plus en rien.L'amour se finit
et je n'y crois plus.Ces objets, oui ces objets, envers eux je n'{prouve
qu'ennuie.Je vois bien qu'il n'existe pas, tous ces objets
disparaitront un jour, et c'est une petite souffrance de les voir partir
ainsi.Je peux les nettoyer, les brosser, les r{parer, mais je m'en lasse.
L'air qui les entoure etait si bon @ respirer, maintenant il me tue.Je
pensais, {tant petit, que tout n'avait pas de fin.Existe-t-il quelque
chose d'{ternel ?"
-Un ange, il veut l'ange, dit un homme habill{ comme dans les ann{es
soixantes."

Et un ange apparait face @ lui.Le meme que dans la ville perdue aux milles
ruelles.

"-Il est par l@, vous voyez juste l@, d{p{chez-vous il voit l'ange."

Que de discours circulent derri}re Stingo.

"-M{chant, m{chant crie la foule."

Il sent quelque chose dans cet ange, pour la premi}re fois, il le sent.

"-Mr Black ?"

Stingo se retourne.C'est le chef de la gendarmerie.

"-Je vous ai cherch{ partout, et vous etes l@, encore @ vous lamenter
devant cet ange."

Il prend Stingo par le cou.Il a une force terrible dans son poignet et Stingo
ne peut plus resister.Il se laisse emmener, en criant: "Quel est donc cet
Ange ? Qu'@-t-il d'{trange et de beau ? Un chose {ternelle ? Je veux juste
quelque chose d'{ternel pour vivre cette vie."
Le chef l'emm}ne, lui met les menottes aux poignets et l'instale dans un avion
priv{ qui a pour destination la villes aux milles ruelles (Ou la ville perdue
des gens perdus)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : RESUME

L'homme au micro.
-----------------

Cet homme travaille dans une {mision de radio.
Le frottant de sa voix roc et suave.Si une femme lui parle durant son emission,
on d{couvre un etre cach{;Changement de voix, absurdit{ du son et de
la r{alit{.Ce son vous em}ne dans le monde de l'illusion auditive, si propre
@ l'homme.Seul cet homme n'entend pas les variations de ce son , il est seul
et semle ne pas croirent, de temps en temps, @ ses paroles.Si il y croit, un
gloussement vous le fera deviner.Ce son n'est pas pur mais peut apporter une
certaine sensibilit{ @ cet homme, qui de temps en temps peu si comparait.
Enlever lui le micro et il ne saura plus, pendant un instant, o| il est.Il se
rendra compte que le son peut lui rendre un service mais ne lui est pas
absolument n{c{ssaire.Car il a dej@ connu le son.

Cet homme travaille dans une radio en 1958, un soir o| il ne sait pas o| dormir
il va aller dans un hotel.Reservant une chambre, il sort manger un morceau au
restaurant d'en face.Il y rencontre un homme lui parlant de sa voix.Puis il
va a sa chambre, l@ il sera le temoin d'un meutre.Paralyser il va perdre sa voix
il ne pourra plus dire qui est le meutrier, qu'il a tre bien vu.On va le
prendre pour le coupable.Ne savant pas comment faire il va rechercher l'homme
lui rendra sa voix, et notre homme continuera @ travailler dans son {mision
de radio.(bonne nuit, voici la voix de la nuit et du noir:titre de
l'{mision)

Le fils avant cel@, s'est disputer avec sa femme.Elle va partir avec son
fils.)Apres le d{part de la femme, la vielle(sa mere)lui parle:
La vieille dit @ son fils:
"J'ai fait un reve pr{monitoire cette nuit:Je suis en train de perdre la tete.
Les id{es noires que tu as cr{er toute au long de ta vie te retiennent
prisonni}re dans ta tete, elle t'empeche de t'{chaper.Tes id{es noires ont
retenues ton ame dans ta tete, disait quelqu'un dans mon reve.Une fois morte
tu seras, l@, dans ton cerceuil ne pouvant rien faire, rien dire.Tu seras
toute seule, ne pensant meme plus.Id{es noires.
Je me suis dit qu'il fallait qu'on m'incin}re, mais cet etre ma dit que les
flammes retiendront mon esprit @ tout jamais.Enfermer dans les flammes.Id{es
noires.Fraccasse moi la tete, une fois que je serais morte, pour que mon ame
s'envole.Ainsi je pourrais enfin rejoindre mon mari, ton pere.
Lib}re moi ainsi je pourrais aller voir mon amour de mari.Fraccasse moi la
tete."
La mere disparait;
Sa mere est morte, un ami le previent :
"-Ta m}re est morte, il y a dix minutes, je suis profondement desol{, mais elle
n'a pas vraiment souffert."
-Morte, pourtant..
-Poutant, quoi ?
-Rien, je pensais que.. rien cel@ ne fait rien, rien du tout.
-Que se passe-t-il tu ne va pas bien ?
-Je l'aimais ma mere, c'est tout.
-Je comprends.
-Oh, je ne pense pas.
-Bon je te laisse.L'enterrement est pour apr{s demain.
-Je te remerci.
Il raccroche le combinais.
Il regarde le salon et pense @ quelque chose.Il va aller fracasser le crane de
sa mere apr{s l'enterrment.Puis en revenant il va apeler sa femme.
"-Reviens.
-Tu as quelque chose derri}re la tete, cel@ s'entend au son de ta voix.
-Id{es noires, j'ai des id{es noires.J'ai eu des id{es noires.Reviens je t'en
pris.
-J'arrive.
-Je te remerci."

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : REVE1

LE REVEUR INTERDIT
------------------


Ce labyrinth est vaste.Sombre et sans ombre, pourtant il semble habiter par
une personne.Il y a des traces de griffes sur le sol.Ce sol qui ressemble @
du velour, en formes de vagues et de longs petits traits creux le jonche.Des
portes sont dispos{es de partout.De toutes les mani}res possibles, verticales,
horizontales, obliques, grandes et petites, aux bords onduleux.
J'avance, tout d'abord calmement, dans ce couloir {trange.
Mes pas ne font pas de bruit sur le semblant de velour.Je passe une o| deux
portes, avant de m'arr}te sur une qui m'intrigue plus que les autres.Pourquoi?
Tout simplement parcequ'elle est ouverte.Un lit a demi {clair{ par une lampe
alog}ne ,point{e sur le plafond , l'a meuble l{g}rement.J'entre dans la dites
chambre;La porte se referme brutalement.En tournant le cou je pu entrevoire
une photo.Photo accroch{e sur la porte ? Photo de qui ? je ne l'ai point vu.

Je m'assis sur le lit, m'alonge, faire divaguer ses yeux sur la lumi}re de la
lampe.Le plafond est vert fonc{.Une lumi}re bleue est sur le mur de l'est de
la chambre.
Elle m'accroche le regard.A gauche du mur central.Une lumi}re @ gauche bleue
et ronde.
La lampe alog}ne s'{teint, laisse le bleue.Ma machoire s'ouvre un souffle
sort de ma bouche.Mes yeux se tirent vers la gauche et la droite en semble.

"-Dans le combat par les ath{es, la col}re et la haine n'est pas le royaume
du Gauche.Le Gauche mal{fira tes qu}tes vers la porte et la photo."

La lumi}re reste, une autre apparait au centre de la chambre.
Elle est blanche.Je fronce les sourcils ne comprenant pas.

"-Tourne, tourne vers le centre.Ignorant porte l'enclume de pos{idon vers
cette meme qu}te.Si qu}te est ici.La veux-tu ?

Une lumi}re rouge @ la droite.Le mur de l'ouest.Mes mains cherchent un objet
@ attraper.

"-As-tu vu la photo de la porte d'entr{e de la chambre ? Non, tu la cherche
opstin{ment et par elle, le d{sir et l'attachement te viendra.

Une lumi}re jaune me force @ tourner le cou derri}re moi.Le sud.
Je rigole.D'o\ vient cette voix qui parle de couleur ?

"-Tu as de l'orgueil.Tu veux ton ciel et ton monde dans un sac de friandise."

Une lumi}re au nord face @ moi illumine et enl}ve les autre lumi}re.Elle les
engoufre.Mon coeur a des palpitations.J'ai des pulsions dans le bras droits et
ma tete bourdone.Tous les symptomes des lumi}res sont en moi.Sur mon visage
de mes l}vres.Sur les traits de mes sourcils fronc{e.Sur et dans mon corps.
Cette lumi}re {tait celle de la couleur de plafond.Verte.

"-Le tremblement de terres des coeurs bris{s te rendra fou."

Tout disparait.Alonger sur le lit, je dors maintenant.

Mes mains sont dans un sac @ dos noir des, pelotes de laines sont me{lang{es @
l'interieur.Mes mains tremblent et sortent toutes les pelotes du sac.Des
enfants tournent autour de moi avec des v{los.Une tribune est en face de moi.
Une femme se l}ve.Mes pieds s'emmelent dans la laine d{faite.Je tombe, un
enfant @ v{lo me passe sur les mains.Il me coupe les mains.La femme disparait.
Elle avait des yeux vert, les cheveux blancs.Mesur{s un m}tre quatre vingt.
Peau bronz{e.
Face @ un mur bleu, je me retourne.

"-On sait que tu veux sortir avec elle.Vas-y.AH !! AH !!"

Des hommes que je ne connais pas me disent ces mots.Un habill{ en marin.Bleue.
Un autre en soldat.Vert.Et le dernier un serveur de restaurant @ priori.Rouge.
Je r}ve.
Coucher dans une position foetal, je me r{veille en ayant un cri strident dans
les oreilles.Je me frappe la tete avec ma main gauche, d'un coup sec.Il dura
@ peine 10 secondes ce cri; mais il me marqua l'esprit.J'ouvris les yeux et
j'{tais toujours dans la chambre du labyrinthe, mais cette fois, il n'y avait
plus de porte.La lampe a disparu.Il ne reste que le lit et un petit fenestrou
en face de moi.A cinq pied de hauteur.Un fenestrou ? il illumine l{g}rement la
chambre?Je d{tends mes jambes doucement, les bras de meme.Des gens apparencent
devant moi avec des chapeaux et des cottillons, ils parlent :

"-Joyeux anniversaire, bonne premi}re ann{e !! "

Bon anniversaire ? Un an ? La pi}ce {tait plus grande que quand j'y suis
rentr{, mais maintenant elle s'est retr{cit l{g}rement.Le plafond est toujours
vert.Je m'assis sur le lit.Cligne des yeux.La pi}ce a encore chang{.Un meuble
est apparrut, un tableau

"'Joyeux deuxi}me anniversaires !!! Regardez sa jolie bouille."

La pi}ce a encore retr{cit un peu.Trois et quatre ans dej@ sont pass{e.En fait
la pi}ce ne se retr{cit pas chaque ann{e, comme on pourrait le penser, mais @
chaque instant. Un tout petit peu @ chaque moment.
Dans une {troite chambre, un homme est couch{ sur un lit.Un lit deux places.
Oh temps infame de qui fouille l'oubli fatale. Que puis-je donc faire, je me
retourne dans ce lit depuis .... Je ne sais que songes et r}ves, je tourne
et je virvolte dans ce flaible drap, dont ... O\ est mon enfance ? Je n'ai pas
de porte dans ma chambre, qu'un petit fenestrou de lumi}re exterieure. Un lit
de bois, une {tag}re de fer @ ma gauche.Ma pi}ce de 20 m2.Obliger de r{ver.
J'ai chaud et @ du mal @ dormir.Je me gratte le cou, je me d{tent les
muscles.
La question que l'on peut se poser en me voyant est que je vais lever
rapidement.Ce que je fait lentement.Je tourne f{brilement la tete vers
l'arri}re et je vois un ancien tableau de reve.Un homme et une femme qui
s'embrasse.En la levant, je vois une fuite.
Des gouttes d'eau tombent sur mon carrelage aux pommettes rouges.Il y a une
fuite au plafond @ l'arri}re de ma chambre; chambre sans porte.je me recouche
en fixant de l'oeil droit cette fuite plafoni}re.
Elle est la depuis longtemps cette fuite, je me le demande.Il y a dej@ le
contour jaune qui entoure la fissure o\ glisse l'eau.Je cligne des yeux et
place mon regard droit devant moi.L@ un petit fen}trou fai rentr} une lumi}re
flaible.Cette lumi}re vient se cogner sur l'{tag}re.Cette {tage}re @ 3 rayons
vide et un dont plusieures feuilles froiss{s sont poss{e l'une sur l'autre.
L'{tag}re se trouve @ droite de mon lit.Juste @ quelque pas contre le mur
gauche.
Le Floc Floc de l'eau continu.

"-Joyeux anniversaire Mumi, fait la ribambelle de gens qui est dans ma
chambre."
-Je vous remerci mais l'anniv}rse, c'{tait hier soir.D{sol{."

Ils disparaissent tous de ma chambre.

Un bout de journal plac{ sous un des pied de l'{tag}re m'intrigue , je m'en
rapproche dans le Floc floc de l'eau.Tirant sur le bout de papier, l'{tag}re
branle un peu; je tire plus fort et je la fait tomber.Me retrouvrant
ensevelis sous l'{tag}re, j'ai tout de meme reussi @ attraper le morceau de
papier.Le papier est dans le creux de ma main.
Le Floc floc a cess{.
Et un homme tombe du plafond de l@ d' o\ le floc floc faisait effet.
Je pousse l'{tag}re, la remet droite, juste @ sa place initiale et je me
rel}ve.

"-Qui est-vous, je lui demande ?
-Je me pose la meme question envers vous ?
-Je croyais que j'{t{ seul dans ma chambre.Qui etes vous ?
-Le locataire du dessus.
-Je ne savais pas qu'il y avait un locataire au dessus de ma chambre ,vous
mentez , non ?
-Vous etes le locataire d'en dessous, je r{par{ une fuite de mon lavabo et
CRAC le plancher @ craqu{.
-Je me croyais seul."

Ma chambre n'a jamais eu de porte, rien qui me permet de sortir ou de
m'{chaper.Rien.je suis n{ dans cette pi}ce.Il en fait meme la remarque @ son
nouveau voisin.

"-Je suis n{ dans ma chambre, je ne savais point qu'il y avait d'autres
locataires.Veuillez remonter de l@ d'o\ vous venez Mr.
-Bien, veuillez m'escusez, je ne pensez pas ce que j'ai fait.Tomb{ d'un
plafond.Je ne savez pas non plus qu'il y avait un locataire en dessous.
-Remontez, s'il vous plait, je ne vous connais pas.

L'homme remonte dans sa chambre.Par le trou qu'il a cr{, il lance une pharse @
son locataire du bas :

"-Montez un jour, j'aurai une suprise pour vous.

Je ne r{pond pas.Je regarde le morceau de papier froiss{.

"-Reve d'une fille.Reve d'une fille.IMAGINEZ MOI CELA.
-Bien, faisons cel@.

En pla\cant le morceau de papier sur la pile de l'{tag}re surement pr{par{ @
cet effet, je me recouche sur mon lit en m'appuyant la tete sur mon
oreilier.

"-Un fille sort des reves et vous carr}sse par ses pieds qui se tortillent,
je me demande."

Une charmante fille, aux cheveux blonds, sort du fenestrou et apparait en face
de moi.Elle s'avance avec ses pieds fins, le torille, le tend dans ma
direction et je touche son pied qui tortille.
Son pied droit.Elle est en face de moi.Et danse maintenant avec le pied de
travers.
Ses yeux.Oh !! Ils sont vides.Les yeux de la fille sont vides.BLANC.
D'apr{s le parlement des couleurs, le blanc est signe d'ignorance.Le trou de
mon voisin du dessus est jaune.Ai-je de l'orgueil envers lui ? Veut-il me
prendre quelque chose ? Qui est-il vraiment ?
La fille se fixe, elle ne fait plus un seul mouvement.Transform{ en statue.
Je d{cide de la mettre de cot{, juste @ droite de mon {tag}re.
Quand je me rassis sur le lit, un film, projet{ par le f{nestrou, vient
apparaitre au milieu de la pi}ce.Comme un {cran de cin{ma.Des gens se forment
sur cet {cran transparant.Je n'en connais aucun d'eux.Ils me sont tous inconnu
de visage.Ils sont grands, tr{s grands et entour{s de meubles voluminents.La
communication est mauvaise car des raies grises suivie d'une boule blanche
traversent l'{cran tout les trois secondes.
Les gens que je ne connais pas sont habill{ en blanc, je m'aproche d'un
endroit o\ je peux voir de l'eau.Il n'y @ plus de meubles, mais un plafond
gigantesque par sa hauteur.L'eau s'aproche de plus en plus.Une image dans
cette eau est r{fl{chie.Celle d'un b{b{.Et de l'eau lui tombe sur le crane.
La communication s'int{rompe.Mais je sais que cel@ n'est que le d{but.
Je me retrouve de nouveau seul avec cette femme immobile dont le pied est tenu
en avant.Toujours tordu ce pied.
Je me recouche et me recouvre toujours de ce faible drap.Ma tete repose sur
l'oreiller et je me met de nouveau @ faire un r}ve.
Le f{nestrou agit encore en m'envoyant des images dans la tete.Ses images se
transmet @ l'aide d'un rayon de lumi}re.Du f{nestrou @ ma tete et je r}ve.
Quelqu'un me touche le pied gauche, je suis toujours dans mon lit;je ne r}ve
pas, quelqu'un ou je ne sais quoi touche mon pied gauche, cel@ me d{range, me
trouble.J'ai peur de quelque chose.Quel chose ? Cette main a des ongles
pointues.Je suis perturb{, des pharses que je pense ressone dans ma tete.

"-Tous ceux qui crois fortement en quelque chose se trompe, mis{ricord Dieu.
Tous ceux qui crois fortement en quelque chose se trompe, laissez-moi, je
suis ath{s.Je ne crois en rien.Si tu ne crois en rien, cel@ est une
croyance. Elle te t{rrorise, elle t'effait ?
-Oui !!!
-Tu crois comme tout le monde, personne ne s'{chape d'ici.
-O\ sommes-nous ?
-Regarde !!!"

Je me tiens sur un tas de sable entour{ d'eau rouge.Je vois d'autre ilots, ils
ne sont pas loin de moi.Une ile deserte ? Non, je peux traverser l'eau rouge,
elle n'est pas profonde ? Je la goute;Du sang ??!! Je me trouve sur une autre
ilot.Il fait noir, les {toiles sont l@.
Il y a des jeux d'enfants pour jouer avec le sable.Faire des tortues avec le
sable ? Avec un moule qui fait des tortues.Un petit rateau en plastique, une
petite p}le ?
Je fais une tortue.NONN !!! Je j}te le moule tortue dans l'eau rouge.
Une tortue revient :


"La tortue montant une petite dune se sert de ses pattes
elles s'enfoncent dans le sable froid de la nuit,
elles glisent faisant des remous de grains,
Montant lentement elle est entrain{e par son poids,
elle sent la lourdeur venant de derriere,
elle se cambre doucement,
et tombe vers la d'o| elle vient
Sa carapace touchant le sable,
se stabilisant du mieux qu'elle peut
comme un man}ge qui flotte dans l'air,
L@, elle ne bouge plus
se demandant ce qui lui arrive,
sa maison est chambloul{e,
tout devant devient derri}re
elle ne peut boug{e,
L@, calmemant, que peut elle pensait,
Son corps physique la trahit jusqu'@ la mort.
L@, calmemant, que peut elle pensait,
Devant l'immensit{ du ciel,
ne pense-t-elle plus,
se laisse-t-elle all{e,
L@, elle s'{nerve, bougeant les pattes,
et raflant le sol, mais ne pouvant rien faire
Sans dessus dessous, que peut-elle pens{e ?
Elle ne pense plus, ses yeux grands ouverts,
la nuit, elle voit des flashs qui l'illuminent
Ils se r{p}tent et l'emmene avec vers le ciel,
ce ciel qu'elle n'a jamais vraiment vu.
Couche et regarde par terre."


Le ciel est si vaste.Je change d'ilot, toujours en traversant le sang.Je
m'assis sur les cailloux de l'ilot.Et je cris :

"-Vous voulez me faire sortir de mes rev}s, vous me disez viens viens parmis
nous.
Je ne cederai point car l@ o| je suis je vous vois, dans mes r}ves je vous
vois.ALors laissez moi tranquille car de toutes mani}res je saurez que vous
etes l@ et que vous me retenez toujours, car sans vous mes reves ne serez
pas possible.PEut-etre aurez-je du rester la haut.L@-bas ? Oui,au haut du
presque mur de votre sist}me solaire, je vous vois, je vous verez et et je
vous est dej@ vu.
Quand je parles avec un ami-voisin de la haut sur et dans les cailloux froids
qui flotte, il me dit :

"-Veux-tu allerr faire un tout en bas, j'y suis all{ une fois, je suis revenu
mais ce monde me manque.J'ai plong{ dans l'espace pour rejoindre une plan}te
o| je savez qu'il y avez vie.Je me suis ennuy{ sur le coup dans cet hotel de
vie, mais je le crois bon pour y faire un nouveau tour.Meme si les gens on les
yeux ferme de leur honte et de leurs croyances.Viens on va plonger de nouveau.
Je te montrerais l'amour.Pas leur amour mes le notre.

"-Je ne me rendis pas compte que sur le coup je me parlais avec moi-meme, ce
caillou froid qui est en haut du pourtour du systeme solaire {tait le r}ve
de la femme qui me montrerez l'amour.Alors je suis descendu, je me suis
ecras{ sur le sol de l'hotel de vie.Mes ailes ont {tait brul{.Car quand on
cherche l'amour c'est lui qui nous fait voler et non pas ses ailes du
caillou froid du haut et du poutour du systeme solaire.Je me suis retrouvez
cherchant l'amour, mon ame-soeur, je la trouver toujours aussi fraiche.ET
l@ j'ai vu le reve du caillou froid du pourtour du putain de syst}me
solaire.Alors je me suis envoler dans le r}ve, le reve de l'ame soeur qui
est, {t{, sera mes ailes par lesquel je vole de nouveau vers le caillou
froid.Mon ame soeur n'est que moi-meme.Putain de miroir qui flotte dans les
yeux des d{sirs.Putain de miroir qui n'a pas de desirs.Putain ces miroirs
sont les meme.Viens, Viens redescend dit les voix de l'hotel de vie.
Quel est cette ame soeur ?"

Un autre ilot.Plus que deux.Un rocher, o| je suis toujours assis.
Une sorte de machine @ sous est en face de moi.Je peux voir l'ilot suivant.
Quelques pi{ces sont dispos{e par terre. J'en prend une en la mettant dans la
fissure.CLic-Clac, la pi}ce dscend.Je tire sur le levier de cet engin.
Une femme apparait dans le prochain ilot.La machine fait tourner ses jokers.
3 jokers qui tournent.1 seul s'arr}te.La femme disparait.Un autre sous ?
Oh,oui celui-la est le bon.Le pactole que je vais prendre.Une femme apparait
sur l'ilot prochain.Les jokers tournent.Tournent et virvolentent.2 jokers.
La femme disparait de nouveau ? Une derni}re pi}ce.C'est bien connu jamais
deux sans trois.Never two without three.La pi}ce cliquette de nouveau.Les
jokers s'affollent.Trois.
Je suis @ cot{ de la femme.Il n'y a plus d'ilot.Une esp{ce de lumiere de toute
les couleurs est au fin fond.
Une voix dit :

-Sautez,sautez,sautez ,sautez,sautez,sautez,sautez,sautez,
@ toutes vitesses, sautez,sautez,sautez,sautez !!!!!!!!!!!!!!

Je me reveille dans mon lit avec le flaibe draps.
Je suis rest{ quelques minutes assis, sans rien faire.

"-Suprise !!
-Quoi ? dis-je
-suprise ?"

La voix venait du voisin de dessus.

Surprise.
---------

On fait un trou qui traverse le monde on vous y fait tomber dedans.o\ vous
arreterez-vous ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : REVE2

Les deux hommes ont les yeux blancs.Apollos monte pour la surprise et d{couvre
une pi}ce {gale @ la sienne, les murs sont recouverts d'une tapisserie qui
refl}te des {toiles.

"-Pourquoi parlait des hommes, ceux ne sont que des animaux, apr{s tout.Je
n'ai jamais vu l'amour dans mes r}ves.L'avez-vous vu par votre fenetrou ?"

L'homme s'approche d'Apollos {trangement et dit :

"-Je veux juste de..."

Apollos l'int{rrompt rapidement.

"-Je ne sais pas, cel@ m'est tr{s difficile dans parler @ un {tranger.Y-a-t-il
des chambres @ cot{s des votres, la votre est une surprise pour moi.Je pensait
qu'il n'y avait personne.
-Je n'en sais foutre rien, je vais vous parler de la surprise qui vous attend.
L@ !!!
-Parlez-moi de votre surprise, dit Apollos sans passion."

L'homme sort une petite boite d'un tiroir.Il la place devant Apollos.Il l'ouvre
et prend le papier plac{ @ l'interieur.

"-Voil@ votre surprise, un r}ve pour vous, moi ??? J'ai peur de le faire.Je
n'y touche plus.Je ne veux plus le faire.Faite le @ ma place.

L'homme s'approche de l'oreille d'Apollos.

"-Rien ne se perd."

Apollos se recule.

"-Quel est donc ce r}ve qui vous fait si peur ?
-C'est marqu{, vous n'avez qu'@ lire.Allez-y."

Apollos lit :

"-Imagine que l'on fasse un trou qui conduirez, en passant par le centre de la
terre, de l'autre cot{.
Je t'y pousses dedans, quand t'areteras-tu de tomber ?"

-De quoi cel@ parle, demande Apollos
-De la terre, je ne sais pas, cel@ est tr{s confu.Mais j'en ai entendu parler,
dit-il en se tordand la tete, il s'agirait de ce qu'il y a dehors.
-Cel@ est ridicule, vous vous foutez de moi ?
-Je ne me fou pas de toi maintenant mais depuis ta l'heure, dit-il
en insistant.
-Mais....
-Je me fou de ta geulle maintenant et non pas tout @ l'heure, dit-il en disant
en faisant non de la tete.

L'homme se l}ve rapidement, se dirige vers le trou et descend dans la chambre
d'Apollos.Apollos n'a pas eu le temps de faire un mouvement.
Apollos regerde par le trou et voit l'homme chechant partout.Apollos descend
et fait obstuction @ l'{tag}re.
L'homme l}ve sa feuille de r}ve et dit:

"-Je vous {change ce r}ve contre un r}ve d'amour.Un petit r}ve d'amour, s'il
vous plait.
-Non !!!
-Allez !!!
-C'est \a votre surprise, je ne veux pas de vos r}ve.
-Vous avez trouver l'amour, donnez moi vos feuilles de r}ves.Allez !! Je suis
sur que vous en avaient.Vous etes dej@ allez dehors.
-Non."

L'homme r{fl{chit lentement.
Apollos extorque :

"-Il n'y a pas de porte ici.
-Vous avez trouver l'amour, cela je le devine.
Faittes voir vos feuilles de r}ve.
-Non !!! Je vous l'ai dej@ dit.
-Allez !!! Faites voir !!! S'{nerve-t-il.
-Non...
-Allez !!
-Sortez et fermez le trou."

L'{tranger abandonne, donne tout de meme la feuille de reve @ Apollos, et
retourne dans sa chambre.Le trou se referme tout seul.Apollos entend l'homme
crier.

"-L'amour, l'amour, il l'a je suis sur sinon je ne l'aurais pas trouver cet
homme, j'ai {chou{.Je devais lui prendre ses r}ves."

Un bruit, comme si quelque chose tomber, se fait entendre sur le plafond
d'Apollos.Mumy pose le r}ve de cet homme sur les siens et s'assoit dans un
coin.Un Floc-Floc se fait murmurer.Du sang se montre sur le plafond d'Apollos.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : REVEPOEM.E

"As-tu dej… vu la lune argenter le soleil ?
Elle dans en farandolle,
Pendant qu'il fait jour noir.

J'ai entendu parler de montagnes plus hautes que la lune.
J'ai entendu parler de vall‚es verdoyantes.
De lacs bleue, limpides et calmes.
De chutes de cent mŠtres de haut.

L'oracle par del… la lumiŠre.
Le ciel par le vent.
Le nuage par la pluie.
Le soleil … travers le ciel, le nuage, le vent tourbillonne,
Frais et souvent chaleureusement par del… la montagne.

Par sa montagne pav‚ d'or et de clart‚,
Il racle par la lumiŠre et d‚couvre les d‚sirs,
Amoureux d‚ferlants par vagues.

M‚lancolique par le matin.
Beaut‚ le soir pour l'orange ‚plucheur d'amour.
"Mi, mon acte est racl‚ de la lumiŠre.
Miracle est mon acte par del… cette lumiŠre."

Quand je gravis la montagne je ne la vois plus.
Je tiens un bout de corde dans ma main.
Attach‚ … un ballon blanc ?
Je vole vers des cimes plus hautes.

Je chute dans un lac d'eau chaude
O— je nage et me pr‚lasse durant des heures.
Le bourdonement de la chute d'eau s'‚miŠte.
Je d‚gringole de cent mŠtres.

Royaume de la terreur mon corps m'abandonne.
Qu'est-ce qu'un corps homme de rˆves ?
Je plonge dans de l'eau froide.
Deux mŠtres en est son fond.

Le soleil brille dans le ruissellement de l'eau.
La haute lune pƒle s'efface de la chute."

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : ROUGNOI.R

 

Je pense que l'infini est en nous, ils s'appele selon le nom que vous lui avait
donn{ l'ame.Cette ame est surmont{e d'une int{lligence amenant des sensations
par rapport @ notre entourage.Il existe deux groupes de sensations :

-Le Rouge, l'amour, qui peut amener @ le sentir et peut-etre le voir, si
concentration il y a.
-Le Noir, la haine de notre monde et de son entourage (Objets ou personne),
qui nous enferme et nous {loigne de l'infini, du Rouge.Le noir peut meme donne
l'impr{ssion que l'on est poss{d{ par quelqu'un d'autre que soi.ATTENTION :
Je ne dis pas qu'il faut, par rapport aux objects, etre fou amoureux d'eux, ne
plus pouvoir s'en pass{.Il faut avoir un certain recule et ne pas etre {goiste.
Ne pas cherir un objet.(Le monde noir des objects est le plus dur @ surmont{).
Il faut avoir un Amour intt{ligent par rapport @ eux.Voyez les comme une aide
pour atteindre l'infini, Le Dieu de l'amour.Pour les personnes, il faut
regarder ses yeux, car on peut voir et sentir beaucoup de chose sur la
personne simplement en sentant ses yeux.( voir chapitre yeux de l'imagination:
Invisible)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : SCENE2

Scene :arrivee BCBG
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-receptionniste de l'hotel.
-directeur descendant l'escalier.
"Oh ,hector ,je crois qu'un client arrive"
-Receptioniste de profil puis de face.
"signe de tete"
-porte.
BCBG titubant et tombe devant la camera.
-recep. de face.
-Avancer vers recep. puis descendre.
-De derriere.BCBG.
-D'en haut.BCBG.

Duree:1mn
------

FIN
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FICHIER : SCENE3


Scene:Aveugle.

L'agent continu a questionner les occupant de l'hotel.
Il n'y a personne.
Quand quelqu'un entre en tatant les meubles.Un aveugle.
-"Monsieur Dimode?"
-"Oui,a qui es-je l'honneur?"
-"Je sui l'agent du FBI qui enquete sur le meutre de le nuit derniere."
-"Ah!!oui,asseyez-vous."
L'homme tate le terrain et fini par s'assoir sur le lit.
-"Bien avaez-vous entendu quelque chose cette nuit?"
-"Non,absolument rien."
Un silence envahit la salle.
-"Mais j'ai vu quelques chose."
-"Ha,oui,quoi"
-"Ben,je suis alle au toilette vers 4h30 du matin.Et un homme avec un couteau
etait dans l'escalier, il m'a vu et il est partir."
-"A quoi ressemblait-il?"
-"Il portait un impermeable et il portait une sorte de casquette."
-"Oui c'est Stingo Farragut!"
L'agent sort et parle tout seul.
-"Tou ca n'avance a rien.Mais pourtant.."

Fin
Scene : Parlote entre FBI et Medecin legiste.
-------

-"Alors ,Harry qu'est ce que tu m'apporte comme nouvelle."
-"Ouais,on a retrouve un mec pas tres loin d'ici,il s'appelle Joseph Farragut.Dans son metier on le surnomer JO."
il lui jete sa photo.
-"c'est l'homme que j'ai vu dans mon reve que j'ai fais cette nuit."
-"Tiens donc."
-"c'est un tueur a gage,non.Pour qui il travaillait ?"
-"Ben justement,on ne sais presque rien de son employeur.Sauf qu'on l'appelle le patron ou sinon le chanteur."
-"le chanteur."
-"On le surnome ainsi parcequ'il chante joue et nuit.Tient voici la derniere photo qu'on est de lui."
Inspecteur regarde la photo.
-"Il envoit a peu pres le meme genre de photo tout les mois dans des regions differentes.Celle-ci vient de Philadelphie."
-"c'est un maniaque."
-"Ouais,si on veut ,on essait de l'attrapper depuis 5 ans.Mais on a jamais aucune trace de lui;ni addresse ni piste.Il n'a pas fait encore une seule erreur."
-"il engage des tueurs a gage pour faire descendre les mecs qui l'emmerde.Il a 28 meutres a son actif."
-Harry,il faut que je t'explique le reve que j'ai fait cette nuit."
-"Ouais,vas-y si ca t'amuse."
-"Tout a commence par une photo.Puis je me suis retrouve dans une piece,il y avait de fauteuil et une table.Un homme avec une cagoule."
-"Une cagoule."
-"Oui,ensuite il m'a serrer la main.C'est la que ce Jo m'ai apparru et il m'a dit:le patron connait beaucoup de chanson dont une s'appellerai beautiful cowboy ,beautiful girl.Et je me suis reveille avec une sensation de puissance et avec un esprit de .
-"deduction extraordinaire."
-"Tu devrais arretter de boire le vin de la region."
L'inspecteur le regarde en souriant.-
-"Harry,on se retrouve demain a 9h00 du matin dehors,quand tu auras fini de faire l'autopsie, le directeur de l'hotel te donnera une chambre pour cette nuit."
Il se leve et continue.
"Dit au directeur de l'hotel de nous rejoindre demain."
-Bon comme tu voudras."
-"Allez a demain ,moi je vais interoger le reste des clients."
L'autre range ses affaires.

Duree:6mn

FIN
---

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : SCENE4


Scene:Le sourd
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L'agent du FBI frappe a la porte;il entend quelqu'un hurler qu'il peut rentrer
Il decouvre un homme habille en smoking et avec un sonotone.
-"Vous etes bien Harry smyth, homme d'affaire ,vivant a Philadelphie."
-"Oui, et vous qui etes vous",fait dit-il en hurlant.
-"Je suis un agent du FBI,je viens vous posez des questions a propos du meutre
de la nuit derniere."
-"AH!!Oui ,prenez un siege."Hurle-t-il encore.
L'agent s'assoit et commence a poser ses questions.
-"Avez vous entend quelque chose cette nuit la?"
-"Oui, j'ai entendu un homme se servir d'un bombe,vous savait ,pour endormir
les gens.Mais ca n'a pas marcher sur moi."
-"C'est tout ce que vous avez entendu ?"
-"Non,mais j'ai vu quelque chose."
-"Oui quoi"Fait l'agent du FBI interresser.
-"A un moment un homme a ouvert la porte de ma chambre, il porter, enfin je
crois,je ne voyait pas tres bien,un bas sur la tete et il avait un couteau
dans la main.Et la voila que je recoit un coup par derriere.C'est tout de ce que
je me souvienne."
-"Ouais, bien merci.Si vous vous rapelez de quelque chose je suis dans l'hotel
-"Bien."

 

 

 

 

 

 

FICHIER : SCENE5

Scene:Aveugle.

L'agent continu a questionner les occupant de l'hotel.
Il n'y a personne.
Quand quelqu'un entre en tatant les meubles.Un aveugle.
-"Monsieur Dimode?"
-"Oui,a qui es-je l'honneur?"
-"Je sui l'agent du FBI qui enquete sur le meutre de le nuit derniere."
-"Ah!!oui,asseyez-vous."
L'homme tate le terrain et fini par s'assoir sur le lit.
-"Bien avaez-vous entendu quelque chose cette nuit?"
-"Non,absolument rien."
Un silence envahit la salle.
-"Mais j'ai vu quelques chose."
-"Ha,oui,quoi"
-"Ben,je suis alle au toilette vers 4h30 du matin.Et un homme avec un couteau
etait dans l'escalier, il m'a vu et il est partir."
-"A quoi ressemblait-il?"
-"Il portait un impermeable et il portait une sorte de casquette."
-"Oui c'est Stingo Farragut!"
L'agent sort et parle tout seul.
-"Tou ca n'avance a rien.Mais pourtant.."

Fin

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : SCENE6


Scene:Trompette

7h00 du matin l'agent se reveille en sursaut, une musique ressonne dans l'hotel.
Il sort de sa chambre et voir le sourd se tenant devant le seuil de sa porte.
-"Mais quel est cette musique que j'entend."
-"Je vais voir retourner dans votre chambre."
Il ferme sa porte en touchant son sonotone.
L'agent continu a marcher dans le couloir,il entre chez lz BCBG.


Scene:BCBG.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : SENS

La seule solution ou plutot reponse que je percois a mes problemes est que je
pense etre un rate, pas que j'en sois conscient mais qu'au fond de moi meme
tout ce que j'entreprend me parait rate d'avance alors j'arrette avant de le
rate.Exemple par l'ecole, je n'ai jamais vraiment travailler, un par ce que je
trouver ca fastidueux et d'autre par quelque chose de plus ancre en moi je
trouver ca inutile au moment ou l'on avait accede a un certain etat d'esprit
critique. La seule fois ou j'ai aime travailler et ou cela ma donne du ressort
dans ce travail c'est quand j'ai commence a ecrit le premier grand scenario et
qu'une personne avait trouver un passage ou autre chose dans ce que j'ecrivais
d'interressant.Entre autre ma Prof de francais a vedene.

D'une autre maniere tout me parait compliquer et inaccecible tellement je
trouve les choses grandes.
Cette grandiosite c'est accentuer en grandissant et en prenant plus conscient
de ce que l'on pouvait faire, que ce soit dans la vie de tout
les jours face aux autres ou face a soit meme (car les sentiments peuvent
changer drolement de temps a autre par la manifestation d'un nouveau dialogue
ou quoi que ce soit : les gestes, la lumiere exterieur et interieur, le bruit,
l'espace dans lequel on penetre, etc... ce qui peut me stresser ou me rendre
anxieu, encore peut-etre par peur du melange entre certain sens et de la
grandiosite du changement dans le substrat naturel ou artificiel qu'a
decouvert et faconner certaines culture humaine, ce qui me fait avoir peur
dans les relations differentes entre les gens que l'on rencontre tout les
jours.
La solitude que l'on rencontre dans ces cas la et quelque fois immense ce qui
peut rendre de temps a autre depressif (perte : de la faim, des envies dites
habituels, sensation de perdition et de ne plus savoir quoi faire ou quoi
pensee surtout quand le stress vient mettre son grain de sel).

Le manque d'ami et le sentimemt de manque affectif amical deprime un peu plus
et me fait souvent pleurer. Je ne sais plus comment reagir face a certain gens
ou meme ami(e)s, ou parent, ou affection familial, et quelque fois animal.

Quand on est anxieu les gens autour de vous sont anxieu dans leurs attitudes
et cela rend un peu plus anxieu.
D'autre exemple de rate jete en vrac :
Arret des etudes (Manque de dialogue et un certain snobisme morale et
vestimentaire stupide par manque de tolerance envers l'epanouissemet des
jeunes)
Arret du BEP
Arret de la reprise des etudes ( je me sentais perdu face a la maniere de
pensee de certains ados et, de leurs jeux et manieres de se grandir dans les
parole pou paraitre plus "viril", une chose que je ne jamais rencontrer chez
les filles, a noter que je ne connait pas de fille qui joue une lesbienne male)
Empression d'amour envers les filles ou femmes marraissant inaccessible (ce
qui rend l'amour legerement fantasmagaorique et inquietant)
Peur de mon avenir sentimanto-amical
Peur de la facon d'etre dans le futur avec une fille que j'aime.(Pas de nom)
Peur d'etre trop possesif avant l'etre aimer
Peur de perdre l'etre aimer.
Peur d'avoir des enfants et de la maniere de les eduquer

Mon reve:
Envie de realiser 3 films ou 4 et de me tirer au Nepal ou au Bouthan pour finir
ma vie et me marier avec une Nepalaise et avoir des Nepalais, et ecrire pour le
plaisir des fresques amoureuses ou noires ou comiques ou aventureuses, ou
mysterieuse ou le tout reuni, faire un bouquin autobiographique, faire un receuil
de poemes romantiques, faire un bouquin sur la capacite sensoriel des mots
penses ou meme imagines d'apres mon vecu .Si tout ca se realise je veux bien
me faire moine.
Quand on prend conscient ds problems d'adolescence ou d'enfance est que l'on
les resout, presque tous, une certaine finition apparait face a son antourage
ceux qui peut entrainer un changement en soi ponctuer d'un doute et donc d'une
remise en question, mais en faite la finition n'est qu'un prolongement de la
personnalite.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : SENSATIO.N

Lorsque nous bougons, nous arrivons @ ne plus pense.Si comme nous l'avons
apris, lorsque nous pensons c'est qu'il y sensations,lorsque l'on bouge
il n'y a plus pens{ donc le corps n'exprime en fait pas de sensation, il
n'est pas pens{.Si le corps n'est pas pens{, la non-sensation et le non-pens{e
et le resulta de l'esprit-corps.Lorsque l'on analyse et que nous pensons la
sensations {volue donc l'analyse n'est pas faites par la non-sensation sinon
la sensation resterai stable.Notre esprit qui analyse est donc un non-corps,
il n'est pas "r{{l".Autrement dit pour etre vraiment dans son corps il faut
ne plus pens{e.Si nous sommes dans notre corps nous resentirons les veritables
sensations de notre corps, c'est @ dire que notre corps est la non-sensation
d{gageant toutes les sensations.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : SERPLOLE.TJA

Jack avancait a gran pas.ce jour l… il y avait un soleil de plomb.38ø pour etre precis.l'asphalte etait
brulante,il etait impossible de marcher dix minutes sur cette route sans voir
ses chaussures chauff‚es a une vitesse grand V.Elle etait goudron‚e mais
les voitures ne passaient que tres,tres rarement.Il fallait etre fou pour
sortir par une chaleur pareil et en plus marcher de longue heure.Mais cet
homme la fait,et du reste il estpresque mort et surtout deshydrater.deux jours
c'est tres long.Il a eu juste le temps de se coucher sous un abre avant de
s'ecrouler completement.Alors qu'une pluie torrentielle comencer a s'abatter.
-Monsieur,monsieur reveillez-vous,dit un jeune homme.
-Oui que me voulais repond Jack.
-Je voudrait savoir si vous savez si un neauveau Taxi va passer.
-Un taxi ?
-Oui,je vois que vous etes fatigu‚ mais il me faut savoir.Et vous devriez le
savoir vous aussi.
-Qui etes-vous,je vous ai deja vu ?
-Peut-etre je suis Stingo BLaCK.
-Moi ,je m'appele Jack RED.
Stingi s'en alla sur la route.En plein milieu,il regardait si il n'y avait
pas un Taxi qui arriver.
-He,monsieur ,dit Jack debout.
il ne repond -y pas.Jack s'aanca vers lui;Il etait a peine a un metre
de lui quand un enorme camion les frola.
-ha voila mon Taxi,dit Stingo.
-Vous avez vu ce...
-Ne vous inquietez pas un autre Taxi va passer dans peu de temps,interronpit
Stingo qui avait deja un pied dans la voiture.
-Mais vous avez bien vu ce camion.
La voiture s'en alla.Il etait la tout ebeter que cet homme ne reponde pas
a ces questiions.Se retournant pour regarder l'arbre il vu une immense gare.
Un Taxi arriva et jack le prit.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : SOCIET

Si notre societe etait parfaite, les gens ne se tourneraient plus vers le passe
n'oublieons pas que la societe forme ce que nous sommes.Si les gens qui sont
pass{ par une societe et qu'ils disent aux jeunes de faire attention ne faites
pas ceci, c'est que notre societe n'est pas dans le pr{sent, elle n'est donc
pas r{el quand les gens la veront comme r{el, la soci{t{ sera parfaite.
En ce moment, elle ressemble plutot @ une fourmilli}re.Des travailleurs, des
fourmis qui se drogue par les autres, qui se tue entre eux etc...
Notre soci{t{ est un fourmili}re, regardez nous sommes plus pr{s de fourmis
que des hommes.C'est telement petit tout cel@.
Si les gens sont pass{ par une societe et que dans celle qu'ils voit en ce moment
est moins parfaite, ils diront :"Ne faites pas \a." tel un roi de fourmis.
La soci{t{ ne sera pas parfaite dans qu'elle sera aux pass{s.On se tourne vers
elle est on regarde derri}re en disant cel@ {tait mieux avant.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : SOLEIL

Je le plains ce soleil, etre obliger de briller jour apres jour.Est-il notre
Dieu ? Seront nous ici sans cette lumi}re de la vie et de l'espoir ? Lumi}re
d'une id{e qu'est la vie ? Il sait nous bruler.se cachant derri}re cette
terrible flamme de la vie.Que nous cache-t-il ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : S

Quand je vous dit que mon Nirvana @ moi serait d'avoir un femme de mes r}ves.
Mais que cette femme serait un arbre.Vous me demandez Pourquoi un arbre.
Tout simplement parceque cet arbre se trouverait dan mon jardin particulier.
Chaque jours je viendrais la voir, voir comme cette belle plante cer{brale
pousse, si de nouvelle feuilles vielles sont pr}tent @ tomber.Prenant un
baton, je l'ai fait tombe d'un seul coup.
Si cette arbre me parler, je lui dirais :

-Je ferai tout ce que tu veux, je deviendrais ton eau, ton aliment, je me ferai
manger par toi.Je devriendarai un soleil pour toi.Je te laisserai libre de voir
se soleil dans tout les possitions que tu le souhait. Je veux ta beaut{.Cette
beaut{ je te la rendrais l'heure venu.Je partirai du soleil, de l'eau pour
entrer en toi et je pourrais enfin t'explorer.Explorer tes richesses de mon
soleil et de mes eaux.Mais ce n'est que mon eau et mon soleil qu j'explore.
Oui, car l'arbre est moi, mes la graine qui la fait grandir est toit et je ne
peu rien en changeait.Je d{borusaillerait le jardin pour te mettre @ laisse
puis je m'en irait en toi en te l'aissant le soleil et l'eau te liberte
pendant que je me trouverai en toii.Je l'aisserai la graine qui est ton esprit
et je batirai des arbres autour de toi.
Des arbres suviant ton imagination fleuriron @ cot{de nous.EN engendrarait une
vraie foret vierge.Et la libert{ nous comblera, par le primitif soleil et la
primitive eau de mes d{sirs.On sortirai des arbre pour s'arracher de l'eau et
rejoindre le soleil.Celui qui a veritablement fait grandir la graine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : TAC

 

Chapitre 1:couper
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TAC!TACtout la journee.TAC!TAC.Il est monteur de film,peu connu,mais
il coupait de la pellicule.Son age est de 39 ans et de puis peu.Il est ne
un 27 fevrier et on est le 1 Mars.
"-Comme ca c'est mieux,dit-il en se tournant vers un realisteur,peu connu
mais realisateur de film noir et dur.
-Oui,beaucoup mieux.Ecoute,tu finis la scene tout seul,il faut que je parte
j'ai un rendez-vous important avec un producteur,repondit le realisateur en
machant un cigare.
-Bien,de toute facon,je n'en es plus pour longtemps.
-Tchao,et a demain.
Il finit la scene en 30 minutes et sortit telephoner.
-Je ne t'ai pas reveiller ?
-Non,j'attendais ton coup de fil.
-J'arrive dans 10 minutes,le temps de fermer tout,ils sont tous partit.
-Bien, je t'attend."
Tres etrange comme conversation,pourquoi a-t-il telephone,simplement pour
dire cela a sa femme.OU meme si c'est sa femme.Que cache-t-il donc ?
Et puis cette femme aussi cache quelque chose, elle etait au courant qu'il
allait lui telephone.
Apres avoir fermer toute les porte du studio,il court,et court tres vite
(Byzarre tout ca, il cache vraiment quelque chose ce type)et arrive a sa voiture
Il sort du parking et allume une cigarette grace au briquet que lui a offert
sa femme.Laquelle la femme au telephone ou une autre.Parceque celle qui
etait au telephone n'a pas vraiment l'air d'etre sa femme.
Il arrive devant une maison.La femme l'attend a la porte.Il s'approche d'elle
qui a l'air si jeune.30 ans,oui pas plus.
-Tu as tout preparer ?
de quoi parle-t-il ?
-Oui,dans la voiture comme d'habitude.Tu ne pense pas qu'un jour on va se
faire prendre.
-non.
-Au fait tu ne m'embrasse pas ?
Bisou rapide sur la joue.
-Allons-y.Ou est ta voiture ?
Tout n'a pas l'air si bien preparez que ca.
Les deux personnages rentrent dans une voiture noire,pour ne pas etre vu
peut-etre;au fait il fait nuit.
3 kilometre ca use mais ils en on fait trois,pour etre arriver a une vielle
et grande baraque.
-C'est l….
-Je vais prendre les sacs.
Elle ouvre le coffre et se saissit de deux gros sacs.Un pleine,un vide.
L'homme l'attend et ils vont jusqu'a la porte.Grande porte.
-On passe par derriŠre.
-Comme tu veux.
Ils font donc le tour de la maison.Grande maison et qui n'a pas l'air habite.
-Celle l…,elle est parfait.
-Oui,elle est ni trop haute ni trop...
Ni trop quoi,de quoi il parle de plantes.Ah,non c'est une fenetre,elle est ni
trop haute ni trop je ne sais pas quoi,je n'ai pas entendu.Je suis trop loin.
-Vas-y sort le pied de biche,cheri.
Ah,nous y voila,no cambrioleur,oui je le savez depuis le debut mais
je ne voulez pas vous faire louper un petit uspense.
Il entre une fois la fenetre ouverte et se glisse a l'interieur.sa femme
le suis.
Ils ressortent plus tard avec,l'autre sac plein,plein de quoi j n'en sais trop
rien.Non vraiment je ne sais rien.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : TOURNAGE

 

Idees de tournage :

Suivre Stingo comme {tant perdu, le perdre lui-meme de temps en temps.Par ex.
quand il descend le sentier, Etre derri}re lui, bouger de droite @ gauche et
l'avoir tout de meme au milieu.Quand il arrive en bas du sentier faire tourner
la cam{ra et le perdre, le chercher, penchez-vous il est plus bas il retire
ses affaires pour aller dans l'eau.
Dans l'eau etre toujours derri}re lui regarder un requin qui passe.Etc...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : TUNEEL

 

La fin du tunnel (ou piscine) lui envoit une lumi}re apaisante.Un magnifique
jardin l'entoure.Son oiseau est sur son {paule et un homme s'approche de lui
en clopinant.Il donne @ l'oiseau de Jack une chose blanche @ manger.

"-Il a l'air gentil votre oiseau, dit l'homme."

Le rouge-george s'envole et va se d{poser sur une branche d'un saule pleureur
du jardin.

"-Rattrapez-le, sourit-il en regardant Jack."

Bras tendus et mains ouvertes, Jack se saisit de son volatile.Mais une chose
terrible se produit, Jack recule et s'accroche le pied sur un caillou.Il
tombe a la renverse dans l'herbe fraiche.Stingo BLACK se tient encore une fois
de plus devant lui.Mais cette fois, il a quelque chose de chang{, rien que
ses v}tements ne sont plus les meme.Ils sont rouges.Il est rouge.
Stingo tend la main a Jack pour lui permettre de se relever.Ils se tiennent
face @ face.Un sourire mutuel s'{chappe de leurs bouches et ils se serrent la
main.Et Stingo disparut dans Jack.Le terme disparaitre n'est pas juste.

"-Magie, demande Annie.
-Non, repondit l'homme.Oh, vous aussi vous avez un chouette petit oiseau."

Et la meme chose se produisit chez Annie.Lolita apparut et se fond dans
Annie.
Un vent chaud se l}ve et vient froler la moile {pini}re de Jack et d'Annie.Ce
vent ne venait de nul part mais ils le sentent, l@, en eux.Le soleil leurs
chauffer le dos et l'herbe leurs carressait les pieds nus.
Jack commenca a pleurer et Annie le serra contre elle.

"-Tout est fini, n'est pas peur, il est partit et ne reviendra jamais.
Soit en sur."

Jack la regarda et ils s'embrass}rent.
L'homme qui boite s'en alla.

"-Suivez moi s'il vous plait."

C'{tait un homme au visage sans bouche qui venait de leur parler.
Le couple parfait va se d{chirer une novelle fois, car cet homme veux que Jack
le suivre.

"-Que me voulez-vous ?
-Chut, fait l'homme sans bouche."

Il prend de force Jack par le bras et l'enl}ve d'Annie.Ses pieds glissent et
arrachent l'herbe du jardin qui laisse apparaitre des miliers de petites
fourmies.Son visage est p{trifi{, elle baisse sa tete en lachant des larmes
qui forment de petites fleurs.Elle ne voit plus Jack, son tendre amour.

Le jardin est parfaitement tenu en ordre et nettoy{ par des etres qui, avec
leur sorte de rateau d{tachent les impureter de ses longues herbes.
Une femme aux cheveux {lectrifi{s s'avance lentement vers Annie.

"-Ne pleures plus, ton Jack pr{pare ton arriv{e dans le couloir."

Deux hommes munis de violons, d{goulinant d'huile de coude, font grin\er
leurs archets.Les nettoyeurs du jardin, irrit{s par ce son, blotissent leur
tete dans leurs {paules.Annie se met @ courir dans tous les sens, se cognant
contre les branches des nombreux arbres, les violinistes l'attrape par le bras
en l'emp}chant de faire le moindre mouvement.Ils tiennent sa tete @ l'aide de
leurs grandes mains velues, lui {cartent les jambes, lui collent ses deux bras
contre le saule pleureur et lui font l{cher la seve qui coule lentement.

"-Les arbres, ceux sont des etres a qui nous avons retir{s la parole, dit
l'un des violonistes.Ils se cachent derri}re leur {corse, ils ont
d{couvert quelque chose qu'ils n'auraient vraiment pas du d{couvrir.On
les a fait bouger aux gr{s des vents, ils sont seuls.Ils ne peuvent
plus communiquer leur savoir.L{chez cette s}ve, vous saurez ce qu'il
cache.Vous ne voulez pas ? Oh, pourquoi ?"

Jack se tient dans une sorte de couloir ou des millions de gens bougent et
disparaissent.L'un deux s'approche de Jack et apr{s lui avoir l{che la s}ve
qui s'{coulait lentement de ses narines lui parle en sautillant et en se
giflant :

"-Naitre ou ne pas etre, disent ses hommes.Moi, dit-il en penchant son
visage rouge, je ne veux plus retourner dans leur monde.Allez,
laissez-moi votre place sur cette chaise."
-Laissez le tranquille, crie l'homme sans bouche qui vient d'apparaitre
au cot{ de Jack."

Jack regarde cette chaise, identique aux autres qui fourmillent dans ce
couloir.Car, se perd dans l'infini ce majestueux couloir illumin{ avec une
fantastique lumi}re jaune.De chaque cot{ de se couloir sont assient des
etres qui ont des bouches, des yeux, des narines mais qui ne sentent rien, ne
voient rien et ne parlent jamais.Ils r{flechissent @ longueur de temps en
penchant leurs tetes en arri}re.Habilles de blanc, ces Etres semblent etre,
oui, ils semblent etre des ...

"-Choissisez votre Divin, dit un homme marchant
lentement vers Jack.Vous, il parle a Jack, asseyez-vous sur cette
chaise.Elle vous attend.
-Vous voyez bien, il ne veut pas, continuer @ dire en lechant Jack et
en se giflant, l'homme au visage rouge.Laissez moi m'assoir @ sa place.
Je sais quelque chose, les arbres..."

H{las, pour cet homme, deux divins se l}vent dans le brouhaha de ce couloir et
le tirent chacun de leur cot{.L'un des deux finit par c{der et l'homme au
visage rouge est aspir{ par le Divin qui se rassoit comme si rien n'{tait
jamais arriv{.L'homme sans bouche se tourne et disparait.Quand a l'homme qui
marche doucement, il explique quelque chose @ Jack.

"-Les Divins qui sont assis dans ce couloir, cr{ent chacun un univers.
Ils r{flechissent et leurs id{es forment des plan}tes.Ce que vous
appelez des plan}tes, ceux sont les id{es que ce Divin se fait de son
univers.Vous {tiez dans le cerveau d'un Divin.Ceux qui sont sur ces
plan}tes, ceux sont @ eux de dire @ ce Divin si l'id{e qu'il a eu est
bonne ou mauvaise.Vous ne mourrez pas vous changez de monde et donc
d'id{e en choisissant un Divin dans le couloir de l'infini.Vous avez un
pass{ sur votre plan}te et vous la continuerez sur une autre id{e, une
autre plan}te, un autre univers, peut-etre un autre Dieu.Jusqu'@
parvenir @ etre un Divin.A priori vous avez cr{{ une bonne id{e, vous
allez pouvoir vous assoir et cr{er votre univers.Les plan}tes mortes
sont des id{es mortes.
-Ah, oui, et qu'a fait ce Divin ? dit Jack en montrant sa chaise.
-He...je ne peux rien dire."

Il se d{tourne de Jack et disparait.Jack regarde cette petite chaise et
s'assoit.Sa tete tombe en arri}re mais la couleur de ses vetements ne change
pas, elle est toujours Rouge.Une tache noire sur le plafond est dangereusement
fix{e par un Divin.Avec ses yeux ouverts, il donne l'impr{ssion de la regarder
attentivement.Ses yeux bougent leg}rement, ses sourcils se soul}vent, sa main
craque et il la soul}ve en la pointant sur cette tache qui pourtant est la
depuis une {ternit{.Il se l}ve, et les millions de gens s'arr}tent et le
regardent du plus profond du couloir.Il fait un geste comme s'il ne comprenait
pas la signification de cette tache qui tranchent sur le jaune lumineux.
Voici ce qu'il pense :
"Quand le temps rejoint la pens{e on ressent le poids du pass{.La pens{e
amene alors le temps avec elle.Le temps passe, le flambeau est la pens{e.
Rides est le manque de vie, mais aussi la fatigue menant @ la mort, comme elle
prouve le v{cu.
Ce qui coincide entre la pens{e et au temps ?La pens{e brule le temps jusqu'@
la mort d'un soleil amenant la vie et finisant la mort.Cycle vide et impr{cis
de notre existence.Les pens{es s'{loignent-elles de nous comme le fait le
temps ? O| vont-elles ces pens{es ?
Quand finira-t-il de rouler sur le d{sert ce grain de sable ?
Le regard d'un ciel nous amene @ penser :"Quand l'{toile va mourir,
le noir sera toujours l@.Comment a-t-elle fait pour naitre cette {toile ?
Par le rassemblement de plusieurs cailloux galactiques qui voyagent.Comment le
caillou a-t-il fait pour s'arr}ter de voyager ?
Mais d'ou viennent ces cailloux ? Le vide serait-il capable de cr{er ?
Mais croyez-vous que le vide ait lach{ sa cr{ation ? Les pens{es
rejoignent-elles le vide ? Ou restent-elles en nous ? Quel nous ? Si nous
venons du vide et que vous ne croyez pas au vide cr{ateur, il n'existe pas de
nous ?
Je me tiens devant un immense mur.Il est peint enti}rement d'un jaune net.Il
est vraiment immense.Je viens de m'appercevoir que celui qui a peint ce mur
a fait une tache noire sur le mur.Je m'en rapproche, elle m'intrigue.Je me
recule en la fixant du regard.Je vois alors le mur differement.Il ne me parait
pas si immense que cel@ ce mur.Une tache noire s'y est bien enferm{e @
l'interieur.Elle m'empeche de revoir le mur comme {tant immense.Peut-etre
n'aurais-je pas du voir cette tache ? Pourtant elle ne me semble pas inconnu ?
Est-ce le vide ? Le vide est-il noir ?
La pens{e est noire, elle se perd dans le temps jusqu'au vide qui grandit
notre etre.Finissant dans le choas de notre etre, qui am}ne la vie et d'autres
pens{s jusqu'@ la fin du temps.l'explosion de nos pens{es est l'agrandissement
sous forme d'une vie, d'un temps, d'une {motion suivant une {motion, d'un
retour dans l'explosion qui cr{e une autre pens{e, une autre {motion, et un
autre temps.Et le vide recr{.La tache est le vide impur.Je ne peux quand meme
pas l'oublier cette chose, elle a bien dur{ toute une vie.Je me suis l}v{ de
ma chaise pour aller parler @ un homme.

"-Avez-vous vu la tache sur le mur ?
-Oui, dit-il sans passion.
-Et vous la laissez-la toute notre vie ?
-Oui.
-Savez-vous dire autre chose que oui ?
-Oui.Je viens de m'apercevoir que je ne vois pas de tache moi.
-AH ! je m'excuse, je vais me rassoir.
-Non, aller ici, dans ce Divin.
-Pourquoi, dois-je faire cel@.Mr ?"
-Vous etes int{lligent n'est pas ?
-Oui.
-Pourquoi avez-vous vu cette tache ?
-Parceque je suis int{lligent.
-Que savez-vous de l'int{lligence ?
-Que c'est une tache.
-Allez-vous assoir dans un autre divin, s'il vous plait."

Je me dirige vers un Divin, le choissisant du regard.
Je me retourne vers l'homme :

"-Aucuns d'eux ne me plait.Je ne les vois pas comme {tant Divin.
-Voil@ la vraie tache !!"

Voil@ ce que pensait ce Divin.
Il se rassoit, pensant @ autre chose.Pensant @ autre chose.La tache n'existe
pas, le Divin l'a imagin{ seulement.
Annie, de son cot{, est assise dans le jardin.Toutes les fleurs qu'elle a cr{{
l'entoure, elle en prend une en la pin\ant.La fleur d{gage de la fum{e.
Elle s'endort.Elle r}ve qu'elle se tient dans l'obscurit{ et qu'un homme se
tient face @ elle.Il bouge ses bras en faisant des cercles, juste devant ses
yeux.

"-200,peut-etre 201.Tu en pense quoi, fait-il en n'arr}tant pas de remuer
ses grandes mains.
-1500, dit Annie.
-1501 ou 1529, tu ne peux pas le savoir.Mais tu {ssayes, c'est mal.
-Non, alors 204.
-204 ? 205 ? 206 ? 207 ? 208 ? 209 ? 210 , je ne pense pas, c'est
lassant.
-1530, c'est lui, je suis sur.
-1530, tu te trompe Lolita.
-1530, c'est moi dit Jack qui arrive derri}re l'homme impossible @
identifier.
-C'est toi, c'est vraiment toi.
-Pousses-toi."

Qui dit \a ?
Annie se r{veille, elle se tient dans le couloir de l'infini.Elle voit Jack
assit sur la chaise avec sa tete qui tombe.Elle s'avance et lui attrape les
bras, ils tombent.Elle s'assoit sur lui et se m{lange @ lui.Leur rouge se
transforme en blanc.Ils sont devenus un Divin.
L'homme sans bouche et l'homme qui marche lentement apparaisse devant eux :

"-Tu...Tu ne crois pas qu'il faudrait leur dire que l'amour n'existe pas.
-Tu parles des arbres.Ils ne se rendront pas compte qu'on se moque
d'eux, dit l'homme sans bouche."
-Cela fait une {ternit{ qu'on leur cache le secret.
-Et si, un jour il y arrivait @ le cr{er cet Amour {ternel, l'homme sans
bouche reste sans voix en regardant ce Divin et le couloir d'un dieu."

Et le couloir de l'infini suit son cour.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : UNIVERS

Si Dieu le veut,
je sifflerai dans la brume,
je danserai par mont et par vaut
dans les mondes amoureux,
je pleurerai de joie,
hier j'explore, demain je me repose,
Maintenant je suis las
Naviguer dans les diff}rents univers
Conqu}tes d'un jours, salutations gratuites
j'ai p{ch{ dans la noiceur des nuits,
j'ai relev{ ma tete dans la fine brume
par monts et par vaux le monde de l'amour
Amour de vous, relev{ un par un cet espace.
Je suis las d'explor{ vos univers,
mon univers est le votre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FICHIER : VIEILLE

Une famille se mit @ table, il y a de cel@ @ peu pres dix minutes.

"-Il faudrait acheter une nouvelle paire de chaussures @ Gr{gor, celle
qu'il a au pied sont completement us{es.
-Si tu veux, j'irai demain avec lui.
-Demain ? Un autre jour, je vais voir Michel demain, dit Gregor @ son
pere.
-C'est @ chaque fois pareil, il n'est jamais l@.
-Ce n'est pas grave.Tu as des nouvelles de ta vieille ?
-Elle ne va pas tr{s bien, on ne lui donne que trois jour @ vivre.
-Ce satan{ cancer, la moiti{ de ta famille y est pass{e @ cause de ce
cancer.
-Oui, @ croire que c'est g{n{tique.Mais pour l'instant je vais bien, je
te remercie, Annie.
-De rien, Jack.Veux-tu du poulet ?
-L'art de changer de sujet.Oui, je veux bien.Gr{gor, tu en veux."

Gr{gor n'entend rien, sa m}re place sa main devant son oreille et fait un
claquement de doigt.Il n'entend rien.
Quelqu'un frappe @ la porte, Jack se l}ve et va ouvrir.

"-Cette porte manque d'huile, il faudrait que j'en remette.Je le ferai
demain.
-Ah, tu vois, sourit Gr{gor.
-Mais il n'y personne.
-Tu es sur, pourtant on a bien frapp{, s'int{rroge Annie."

Jack va sur le palier, et surpris il recule et se retrouve dans le hall
d'entr{e.

"-Que ce passe-t-il Jack ? Tu as vu un fantome.
-C'est ma vieille, elle est dehors assise sur une des chaises du jardin.
Ma vielle ? dit-il en retournant dehors, que fais-tu ici ?
-Fais la rentrer voyons, elle ne va pas rester la-bas."

Jack prend sa vieille par la main et l'entraine dans le salon.Cette vieille
femme aux cheveux gris, s'assoit sur la seule chaise de libre.

"-Tu as quelque chose qui ne va pas, vieille ?"

Elle ne dit rien.

"-Comment es-tu venu jusqu'ici tu habites pourtant @ 200 kilom}tres
d'ici.
-Que se passe-t-il ? Vous avez mal quelque part ?
-Voyons, Annie, elle ne serait pas venu ici simplement pour nous dire
qu'elle ne va pas bien.
-Je m'en doute, mais regarde la, elle ne dit rien et son regard est
vitreux, chuchote Annie dans l'oreille de son mari."

Gregor, le petit garcon de 7 ans ne comprend pas non plus ce qu'il se passe,
il mange tout simplement dans le coin droit de cette petite et {troite
table.Tournant sa fouchette dans le poulet et avalant un morceau de temps en
temps ,il monte son regard et tend sa fourchette, garnie d'un morceau, vers la
vieille femme :

"-Il est tres bon ce poulet, fit-il en la regardant.Vous en voulez un
peu ?
-N'embetes pas la vieille, gregor.
-Je n'aime pas le regard qu'elle a envers moi."

Gr{gor continue @ manger.

"-Alors, vas-tu me dire comment tu es venu jusqu'ici ? Continue Jack."

Il se l}ve brutalement et reouvre la porte d'entr{e.

"-Voil@, il fallait me le dire, (il s'arr}te en regardant sa m}re et
continue d'une voix moins forte) que tu es venue en voiture..."

Il se rassoie sur le cot{ de la table.Comme en chef de famille, comme le chef
de maison, il pr{side la table.En ce moment la seule qui pr{side la table est
cette vieille femme @ la bouche d{s{ch{e !! Avec des cheveux ras{s (Elle avait
pourtant des cheveux au debut), un nez crochu, le corps maigre, et surtout ce
regard vide, elle est bien l@, parmis sa famille.
Le reste du diner continue sur cette r{p{tition: "Mais que veut-elle ?
Qu'as-tu a ne rien dire ? Du desert ? Et rien ne sort de cette vieille au
regard vitreux.


Apr{s le diner, le couple se retrouve au salon.La vieille est assise dans un
fauteuil.Tout les trois, ils regardent un bocal de poissons rouges.
Gr{gor est dehors, il voit ces parents mettre la vieille dans la voiture.Il
est derri}re un fourret et regarde la sc}ne.
Dans le salon la vieille commence @ parler.
Elle se tourne vers Annie.

"-Vous ne voulez pas que votre {paule vous t{l{porte pour voir l'heure de
votre mort."

Annie regarde la vieille d'un regard inquiet.

"-A moins que vous n'ayez pas de reveil @ cot{ de votre lit.Avez-vous un
reveil ?
-Jack, ram}ne ta m}re @ l'hopital."

Jack, qui regardait le bocal de poissons rouges, s'en d{tourne et r{pond @
Annie :

"-Non, c'est ma vieille et je la laisse ici.

Gr{gor arrive, il ne dit rien, il regarde la vieille au regard de nouveau
vitreux.Il est debout, le couple se retourne et le regarde.

"-Que se passe-t-il Gr{gor, dit Annie.
-Il est sourd, fit la vieille en sortant de son fauteuil et en s'ass{yant
par terre.
-C'est vrai tu es sourd Gr{gor, dit Jack, je ne le savais pas.

Gr{gor balance son pied en arri}re et fonce sur la vieille assise par terre.
Il lui mis un coup de pied dans la tete.La vieille saigne l{gerement.
Annie se l}ve.

"-Ta vieille @ cach{ les jouets rouges de Gr{gor, viens Gr{gor, je sais o|
ils sont.Ils sont dans un journal dans le coffre de ma chambre."

Gr{gor est d{rri}re le fourret et regarde ses parents mettre la vieille dans
la voiture.Elle a toujours la trace de sang.Une fois mise au volant, Gr{gor
entend ses parents discuter.

"-Je ne sais, si je dois la laissez partir, dit Jack, elle habite @ 200
kilom}tres d'ici.Je ne veux pas la laisser partir.
-Bon, alors c'est moi qui m'en vais dit Annie."

Elle se tourne vers Gr{gor, toujours cach{.

"-Allez, viens on s'en va.Allez Gr{gor, viens."

Jack est seul dans le salon avec sa vieille.Elle lui parle doucement.

"-J'ai fait un r}ve cette nuit.Je suis en train de perdre la tete.Les id{es
noires, que j'ai cr{e durant toute ma vie, me retiennent prisonni}re dans ma
tete.
Elles m'emp}chent de m'{chapper.Les id{es noires ont retenu ton ame dans ta
tete, disait quelqu'un dans mon r}ve.Une fois morte tu seras dans ton cerceuil
ne pouvant rien faire, rien dire.Tu seras toute seule, ne pensant qu'aux
id{es noires.Aux id{es noires.
Je me suis dit qu'il fallait que je me fasse incin{r{, mais cet etre m'a dit
que les flammes retiendront mon esprit @ tout jamais.Enfermer dans les
flammes.Id{es noires.Fracasses-moi la tete, une fois que je serais morte,
pour que mon ame s'envole.Lib}res-moi ainsi je pourrais aller voir le vieux.
Fraccasses-moi la tete."

Le t{l{phone sonne, Jack va r{pondre.La vieille entend les paroles sortirent
du combin{ t{l{phonique.

"-Jack ta vieille est morte, il y a vingt minutes.Elle est morte @ l'hopital
sans douleur.Je m'excuse Jack."

Jack raccroche et se retourne, la vieille a disparu.
Il est en face du cerceuil, et une pelle @ la main, il fraccasse la tete de
sa vieille.
Il est au t{l{phone et parle @ quelqu'un.

"-Annie, c'est toi.Reviens Jack, dit Jack en appelant Annie."

 

 

 


JE TIENS A REMERCIER DEUX PERSONNES QUI NE M'ONT PAS ENFONCéS DANS LES IDéES QUE J'AI PUES AVOIR POUR éCRIRE :

 

<Engagement de la photo en cours...

 

>Engagement de la seconde photo en cours...

 

JE N'EN REMERCIERAIS PAS QUELQUES AUTRES, DE PERSONNES, QUE SON MON G... ET QUELQUES AUTRES.
PAR RESPECT POUR ELLES JE N'éCRIERAIS PAS LEURS PRéNOMS MAIS, ELLES SE RECONNAITRONT PARFAITEMENT.
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TOUT DE MÊME... QUELQUES INITIALES...

P

F

S

 

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ASTA LA VISTA...